Chronique de l'épisode Ombre Mortelle qui marque l'arrivée de Vince Gilligan , et qui renoue avec le genre SF quelque peu délaissé dans cette saison 2.
C'est vrai que l'effet est assez semblable à posteriori avec l'épisode LE MESSAGE. Mais à l'époque de sa rédaction, entamée il y a environ quatre ans, j'étais à des années lumière d'X-Files, même si le grand vilain de l'histoire, Le Colonel a des relents de Tooms. Après le père et la communication est un sujet universel et dont j'ai pu découvrir l'étendue de l'évocation chez certain.es. au fil des lectures, rencontres , et confidences dans le cercle amical.
C'est cool ! Sincèrement je suis ravi quand les épisodes ne suscitent pas l'unanimité. Figure-toi que j'ai appris qu'un épisode que j'aime beaucoup - dans mes souvenirs - en saison 8 est souvent cité parmi les pires. Je l'ai appris avec un podcast sur X-Files sur la chaîne Le Coin Pop.
J'ai une petite tendresse pour cet épisode malgré tout, mais ça doit être mon coté chef op' qui ressurgit, aimant bien quand la lumière devient un personnage, voir plus ou moins directement un antagoniste. Mais c'est aussi mon côté chef'op qui tique lorsque l'ombre passe sous la porte comme si l'ampoule était à 10cm du sol. De plus, est-ce que Mulder ne découvre pas un peu trop facilement le problème grâce à une ampoule dévissée. Y avait peut-être plus subtile à trouver. Dommage aussi que le personnage de l'ex étudiante de Scully ne soit pas plus développée. On ne discerne pas vraiment son côté arriviste qui raye le parquet et ne sert finalement que de chair à trou noir (rien à voir avec le film que tu mentionnes néanmoins). Une première tentative mitigée de Gilligan, mais avec quelques promesses. Son deuxième épisode, Autosuggestion, sera hautement plus convaincant pour ma part.
C'est du caviar pr chef op, mais je trouve qu'il a été trop sage sur ce coup-là. Après peut-être qu'il a une sensibilité plus documentaire mais c'est marrant il a aussi bien bossé pr Friedkin que sa Némésis , Michael Mann via Miami Vice. ( Friedkin avait la dent dure vis à vis de Mann ). J'ai revu le prologue hier soir ( je me suis lancé Anasazi sur grand écran, et l'épisode est sur la même galette ), et le montage parallèle entre le conférencier dans sa chambre et Shaloub qui tambourine à la porte tjrs vecteur de confusion. Même s'il y a un insert sur le numéro de chambre pour nous faire comprendre que ce sont deux chambres différentes ( mais numéro de chambre sous exposé, on n'y prête pas attention). Après je l'ai vu d'affilé après CONTAMINATION, et ça n'a pas joué en sa faveur. C'est sympa de savoir que t'es chef op, si j'ai des questions je saurai à qui les poser 😅
@@jeremybeaujoin Je pratique plus vraiment niveau chef' op. Après nombre de court métrages et clips peu ou pas payé, je m'étais rabattu sur le montage (et reportage) histoire de crouter un peu.
Dans ton roman quand Charles parle avec son père mais qu'il entends rien, ça m'a fait penser à Scully et son père 😊
C'est vrai que l'effet est assez semblable à posteriori avec l'épisode LE MESSAGE. Mais à l'époque de sa rédaction, entamée il y a environ quatre ans, j'étais à des années lumière d'X-Files, même si le grand vilain de l'histoire, Le Colonel a des relents de Tooms. Après le père et la communication est un sujet universel et dont j'ai pu découvrir l'étendue de l'évocation chez certain.es. au fil des lectures, rencontres , et confidences dans le cercle amical.
J'ai adoré cet épisode
C'est cool ! Sincèrement je suis ravi quand les épisodes ne suscitent pas l'unanimité. Figure-toi que j'ai appris qu'un épisode que j'aime beaucoup - dans mes souvenirs - en saison 8 est souvent cité parmi les pires. Je l'ai appris avec un podcast sur X-Files sur la chaîne Le Coin Pop.
J'ai une petite tendresse pour cet épisode malgré tout, mais ça doit être mon coté chef op' qui ressurgit, aimant bien quand la lumière devient un personnage, voir plus ou moins directement un antagoniste. Mais c'est aussi mon côté chef'op qui tique lorsque l'ombre passe sous la porte comme si l'ampoule était à 10cm du sol. De plus, est-ce que Mulder ne découvre pas un peu trop facilement le problème grâce à une ampoule dévissée. Y avait peut-être plus subtile à trouver. Dommage aussi que le personnage de l'ex étudiante de Scully ne soit pas plus développée. On ne discerne pas vraiment son côté arriviste qui raye le parquet et ne sert finalement que de chair à trou noir (rien à voir avec le film que tu mentionnes néanmoins). Une première tentative mitigée de Gilligan, mais avec quelques promesses. Son deuxième épisode, Autosuggestion, sera hautement plus convaincant pour ma part.
C'est du caviar pr chef op, mais je trouve qu'il a été trop sage sur ce coup-là. Après peut-être qu'il a une sensibilité plus documentaire mais c'est marrant il a aussi bien bossé pr Friedkin que sa Némésis , Michael Mann via Miami Vice. ( Friedkin avait la dent dure vis à vis de Mann ). J'ai revu le prologue hier soir ( je me suis lancé Anasazi sur grand écran, et l'épisode est sur la même galette ), et le montage parallèle entre le conférencier dans sa chambre et Shaloub qui tambourine à la porte tjrs vecteur de confusion. Même s'il y a un insert sur le numéro de chambre pour nous faire comprendre que ce sont deux chambres différentes ( mais numéro de chambre sous exposé, on n'y prête pas attention). Après je l'ai vu d'affilé après CONTAMINATION, et ça n'a pas joué en sa faveur. C'est sympa de savoir que t'es chef op, si j'ai des questions je saurai à qui les poser 😅
Punaise je viens de piger ton allusion au trou noir ( je croyais que tu parlais de Watchmen). C'était une blague à retardement : bien joué 🤣
@@jeremybeaujoin Je pratique plus vraiment niveau chef' op. Après nombre de court métrages et clips peu ou pas payé, je m'étais rabattu sur le montage (et reportage) histoire de crouter un peu.