Il y a donc un grand intérêt à utiliser le Moxy régulièrement à l'entraînement par exemple pour voir si nous sommes dans le domaine d'intensité ciblé ?
Je pense que c’est une des options. Mais comme Andrew en parle dans le podcast il y a d’autres moyens de déterminer l’état de forme du jour et ajuster les W ou BPM en fonctiion de la forme du jour (par exemple un échauffement standardisé 5x3' à intensité progressive)
Avons nous des informations théoriques ou empiriques sur la capacité d'un athlète à faire évoluer ses domaines d'intensités? Autrement dit, est-ce qu'un athlète à une marge de progression illimité vis-à-vis de ses domaines d'intensités?
La marge de progression sera toujours limitée par le potentiel génétique de l’athlète. La réalisation de ce potentiel sera liée à la qualité et la quantité d’entraînement fournit.
Ok je comprends. Ca veut dire qu'avec les données sur la génétique + les données physiologiques + le programme d'entraînement, on pourrait simuler l'évolution des domaines d'intensités pour un athlète landa.
Merci d'avoir expliqué ce que représentent les "domaines" et les "zones" en lien avec le contexte. Ma question est simple : dans tes bilans j'ai cru observer que le "domaine modéré", en dessous du premier seuil, regroupait les "zones" 1,2 et une partie de la "zone" 3. Je fais référence ici aux "zones" définies par Polar* Si j'ai bien compris, dans cette vidéo tu dis que le "domaine" modéré, en dessous du premier seuil, comprendrait uniquement les "zones" 1 et 2. * "Zone" 1 : échauffement/récupération "Zone" 2 : endurance fondamentale "Zone" 3 : régulier aérobie "Zone 4" : tempo Qu'elle est le raisonnement le plus cohérent ?
Merci pour cette pensée du jour 👊⚡️
💪💪
Il y a donc un grand intérêt à utiliser le Moxy régulièrement à l'entraînement par exemple pour voir si nous sommes dans le domaine d'intensité ciblé ?
Je pense que c’est une des options. Mais comme Andrew en parle dans le podcast il y a d’autres moyens de déterminer l’état de forme du jour et ajuster les W ou BPM en fonctiion de la forme du jour (par exemple un échauffement standardisé 5x3' à intensité progressive)
Avons nous des informations théoriques ou empiriques sur la capacité d'un athlète à faire évoluer ses domaines d'intensités? Autrement dit, est-ce qu'un athlète à une marge de progression illimité vis-à-vis de ses domaines d'intensités?
La marge de progression sera toujours limitée par le potentiel génétique de l’athlète. La réalisation de ce potentiel sera liée à la qualité et la quantité d’entraînement fournit.
Ok je comprends. Ca veut dire qu'avec les données sur la génétique + les données physiologiques + le programme d'entraînement, on pourrait simuler l'évolution des domaines d'intensités pour un athlète landa.
Merci d'avoir expliqué ce que représentent les "domaines" et les "zones" en lien avec le contexte.
Ma question est simple : dans tes bilans j'ai cru observer que le "domaine modéré", en dessous du premier seuil, regroupait les "zones" 1,2 et une partie de la "zone" 3. Je fais référence ici aux "zones" définies par Polar*
Si j'ai bien compris, dans cette vidéo tu dis que le "domaine" modéré, en dessous du premier seuil, comprendrait uniquement les "zones" 1 et 2.
* "Zone" 1 : échauffement/récupération
"Zone" 2 : endurance fondamentale
"Zone" 3 : régulier aérobie
"Zone 4" : tempo
Qu'elle est le raisonnement le plus cohérent ?
expliquer en conduisant .on comprend rien a tes explications 😆😆
Merci pour le retour 😉