I have heard this beautiful hymn from Cavalleria Rusticana countless times, as this is one of my favourite operas, but never as beautifully sung as Elina does it. The choir is also magnificent. BRAVOOOOOO!
I have watched this video for a number of years. One of my favorite pieces of music, but by Elina Garanca, truly amazing. She is wonderful, as is the music.
Esto es el cielo en la tierra. Esta parte de C. R. De verdad conmueve. La voz de la Sra. Garanca impresionante que me eriza el cuerpo. Y su belleza física !!! Es un privilegio disfrutar todo esto, junto.
Toujours plus magnifique sur scène avec tes représentations éblouissantes, ma sublime Elïna Garanča adorée à la passion, ô mon Rossignol au beau visage auréolé des chatoyantes cheveux dorés, tes hymnes aux sonorités exquises et gracieux ébranlent des doux frémissements mon âme granitique. Ô mon Rossignol obsédant, tes yeux grands et bleus d’éclats transfigurateurs, ô mon Oiseau du lointain paradis musical de la Lettonie, Oiseau de mes mirages de tendresse et fantasmes d’amour spirituelle : enivrant mirage doré des mille et un décors des splendeurs mirifiques, des souffles du suprême lyrisme enchanteur du bel canto frémissant, vibrant de captivantes émotions. Peter, ton Cavalier de Prose enchanté.
Deeply touching in its sheer and delicate performance. Many thanks to all who participated in this presentation. It is a perfect jewel, Thank you, e.conboy
SPLENDIDA MERAVIGLIOSA ELINA. E' INSUPERABILE! Notare: canta come soprano e non come mezzo-soprano, questo pezzo immortale composto da P. Mascagni quando aveva solo 18 anni!Elina, non finirai mai di sorprendermi! GRAZIE!
Restera imprégné dans les souvenirs des mélomanes les plus délicats, un concert spirituel tel la prestigieuse représentation d’Avent dans « l’Église des Femmes » de Dresde par la force incantatoire de la tessiture mezzo chaude de ma déesse enchanteresse Elïna ; diva aux ultimes perfectionnements de la vocalisation, aussi merveilleux en lyrique qu’en dramatique. De la concertation géniale de l’Agnus Dei de Georges Bizet, de la basse vibration des instruments de cuivre aux sonorités pathétiques émerge la vocalisation sublime de sa voix d’un éventail de timbres émus, accompagnée des sonorités tamisé et des bassons, et cors anglais, et des hautes bois, euphonie raffinée des instruments à corde et de percussion. Sa voix s’étire du bas poignant de sensibilité, se prolonge aux hauteurs évocatoires de la vénération divine. La résonance ébranle l’atmosphère, fait vibrer l’air sous le haut ciel vouté d’arcs en pierres taillées, fait vibrer avec l’air du magnifique oratorio en symbiose les fibres intimes des âmes du public tant ému par les splendeurs de son émouvante voix chaude, douce et pleine d’affections tendres, des sons d’une infinie délicatesse du sacré : mouvants du décrescendo au crescendo ondulatoire ou poussés avec une grande agilité du fond de sa gorge des passages prenantes, modulées par sa langue et ses lèvres d’un visage d’une beauté féminine exquise dans la dévotion. Sous la direction fabuleuse de Pablo Haras-Casado, dans le transfert vouté de l’Église, se répande de son délectable raffinement vocal une inoubliable résonnance mirifique, une divine atmosphère d’harmonie et du recueillement avec la virtuosité des instrumentalistes de grand talent de l’orchestre. Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.
Elïna Garanča: Regina caeli, laetare, alleluia, Adventskonzert aus Dresden 29.11.2014 Kammerchor der Frauenkirche - Sächsischer Staatsopernchor. Dirigent Pablo Heras-Casado. La monumentale Église de Femmes de Dresde, reconstruite par une architecture d’une fabuleuse beauté du style gothique, réalise un univers sonore inouï aux chants sacrés de la liturgie en latin. Aussi dans de cette grandiose représentation de l’oratorio de Paques « Regina caeli, laetare, alleluia », (Reine du ciel, réjouis-toi, alléluia), sur la joie de la résurrection du Christ, (arrangé par compositeur Pietro Mascagni), le remarquable ensemble de l’orchestre, chœur et solistes est dirigé avec la finesse extraordinaire du brio magistral du talentueux chef d’orchestre Pablo Haras-Casado. Le prélude des sonorités éthérées de l’orgue suivie de la réponse chorale raffinée alterne des voix graves des hommes avec les voix hautes des femmes. L’ensemble choisi de toutes les beautés sonores des tessitures et colorations s’estompe et remonte en éblouissant graduel. Ces accords vocaux chargés de force dramatique de la prière créent un fond sonore ondoyant de spiritualité avec l’harmonie des bois, des cuivres jointes des cordes de l’orchestre en formation circulaire dans le transept d’une magnificence architecturale et somptuosité de l’art décorative. Le roulement appuyé des timbales avec des passages fortissimos des violons accroit l’harmonie du dramatique par l’extraordinaire effet de l’émotionnel. De cet admirable fond orchestral de l’hymne de Paques du XIIe siècle de la piété mélodieusement polyphonique, se détache avec une poignante virtuosité en solo les sublimités vocales mezzo-soprano de la ravissante cantatrice Elïna Garanča. L’imploration la grâce salvatrice de la puissance céleste par ses hauts vocaux est d’une pureté digne d’une soprano colorature. Son chant émerveillant se répand, se réverbère dans la magnifique structure des colonnes, monte vibrante aux galeries circulaires jusqu’aux voûtes et arcades, fait naître dans l’auditoire des irrésistibles émotions attendrissantes. Sa voix parfaitement flexible, la mesure paraît couler comme un fleuve enchanteur de sa gorge déployée, sans effort visible et sans limite possible, modulée avec une exquise sensibilité dans les cavités sonores de sa bouche, synchronisé à ravir du jeu des muscles du buste, du cou et de la face, des mimique et geste expressives de toute beauté en harmonie de l’exquise mélodie des mystères de l’incantation du spirituel. D’un port de tête de charme altier de la prodigieuse reine du lyrisme colorature qu’Elïna incarne, le paroxysme de l’émotion spirituelle de l’oratorio de Pâques est produit par un majestueux crescendo du motif de prière à la Saint Marie par l’élévation vocale en finale de l’alléluia de la supplication, « Sois dans la joie et l'allégresse », pour parvenir aux félicités de la vie éternelle... son regard d’extase fixé vers le ciel. Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté d’Elïna, de sa sublime Reine.
fascinating music, fascinating enchanteress Elina. But where are they? Looks like those enormous gothic churches. It's the innegiate, il Signor non è morto, di Cavalleria Rusticana.
Toujours plus magnifique sur scène avec tes représentations éblouissantes, ma sublime Elïna Garanča adorée à la passion, ô mon Rossignol au beau visage auréolé des chatoyantes cheveux dorés, tes hymnes aux sonorités exquises et gracieux ébranlent des doux frémissements mon âme granitique. Ô mon Rossignol obsédant, tes yeux grands et bleus d’éclats transfigurateurs, ô mon Oiseau du lointain paradis musical de la Lituanie, Oiseau de mes mirages de tendresse et fantasmes d’amour spirituelle : enivrant mirage doré des mille et un décors des splendeurs mirifiques, des souffles du suprême lyrisme enchanteur du bel canto frémissant, vibrant de captivantes émotions. Peter, ton Cavalier de Prose enchanté.
Elïna Garanča: Regina caeli, laetare, alleluia, Adventskonzert aus Dresden 29.11.2014 Kammerchor der Frauenkirche - Sächsischer Staatsopernchor. Dirigent Pablo Heras-Casado. La monumentale Église de Femmes de Dresde, reconstruite par une architecture d’une fabuleuse beauté du style gothique, réalise un univers sonore inouï aux chants sacrés de la liturgie en latin. Aussi dans de cette grandiose représentation de l’oratorio de Paques « Regina caeli, laetare, alleluia », (Reine du ciel, réjouis-toi, alléluia), sur la joie de la résurrection du Christ, (arrangé par compositeur Pietro Mascagni), le remarquable ensemble de l’orchestre, chœur et solistes est dirigé avec la finesse extraordinaire du brio magistral du talentueux chef d’orchestre Pablo Haras-Casado. Le prélude des sonorités éthérées de l’orgue suivie de la réponse chorale raffinée alterne des voix graves des hommes avec les voix hautes des femmes. L’ensemble choisi de toutes les beautés sonores des tessitures et colorations s’estompe et remonte en éblouissant graduel. Ces accords vocaux chargés de force dramatique de la prière créent un fond sonore ondoyant de spiritualité avec l’harmonie des bois, des cuivres jointes des cordes de l’orchestre en formation circulaire dans le transept d’une magnificence architecturale et somptuosité de l’art décorative. Le roulement appuyé des timbales avec des passages fortissimos des violons accroit l’harmonie du dramatique par l’extraordinaire effet de l’émotionnel. De cet admirable fond orchestral de l’hymne de Paques du XIIe siècle de la piété mélodieusement polyphonique, se détache avec une poignante virtuosité en solo les sublimités vocales mezzo-soprano de la ravissante cantatrice Elïna Garanča. L’imploration la grâce salvatrice de la puissance céleste par ses hauts vocaux est d’une pureté digne d’une soprano colorature. Son chant émerveillant se répand, se réverbère dans la magnifique structure des colonnes, monte vibrante aux galeries circulaires jusqu’aux voûtes et arcades, fait naître dans l’auditoire des irrésistibles émotions attendrissantes. Sa voix parfaitement flexible, la mesure paraît couler comme un fleuve enchanteur de sa gorge déployée, sans effort visible et sans limite possible, modulée avec une exquise sensibilité dans les cavités sonores de sa bouche, synchronisé à ravir du jeu des muscles du buste, du cou et de la face, des mimique et geste expressives de toute beauté en harmonie de l’exquise mélodie des mystères de l’incantation du spirituel. D’un port de tête de charme altier de la prodigieuse reine du lyrisme colorature qu’Elïna incarne, le paroxysme de l’émotion spirituelle de l’oratorio de Pâques est produit par un majestueux crescendo du motif de prière à la Saint Marie par l’élévation vocale en finale de l’alléluia de la supplication, « Sois dans la joie et l'allégresse », pour parvenir aux félicités de la vie éternelle... son regard d’extase fixé vers le ciel. Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté d’Elïna, de sa sublime Reine.
Restera imprégné dans les souvenirs des mélomanes les plus délicats, un concert spirituel tel la prestigieuse représentation d’Avent dans « l’Église des Femmes » de Dresde par la force incantatoire de la tessiture mezzo chaude de ma déesse enchanteresse Elïna ; diva aux ultimes perfectionnements de la vocalisation, aussi merveilleux en lyrique qu’en dramatique. De la concertation géniale de l’Agnus Dei de Georges Bizet, de la basse vibration des instruments de cuivre aux sonorités pathétiques émerge la vocalisation sublime de sa voix d’un éventail de timbres émus, accompagnée des sonorités tamisé et des bassons, et cors anglais, et des hautes bois, euphonie raffinée des instruments à corde et de percussion. Sa voix s’étire du bas poignant de sensibilité, se prolonge aux hauteurs évocatoires de la vénération divine. La résonance ébranle l’atmosphère, fait vibrer l’air sous le haut ciel vouté d’arcs en pierres taillées, fait vibrer avec l’air du magnifique oratorio en symbiose les fibres intimes des âmes du public tant ému par les splendeurs de son émouvante voix chaude, douce et pleine d’affections tendres, des sons d’une infinie délicatesse du sacré : mouvants du décrescendo au crescendo ondulatoire ou poussés avec une grande agilité du fond de sa gorge des passages prenantes, modulées par sa langue et ses lèvres d’un visage d’une beauté féminine exquise dans la dévotion. Sous la direction fabuleuse de Pablo Haras-Casado, dans le transfert vouté de l’Église, se répande de son délectable raffinement vocal une inoubliable résonnance mirifique, une divine atmosphère d’harmonie et du recueillement avec la virtuosité des instrumentalistes de grand talent de l’orchestre. Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.
Elïna Garanča: Regina caeli, laetare, alleluia, Adventskonzert aus Dresden 29.11.2014 Kammerchor der Frauenkirche - Sächsischer Staatsopernchor. Dirigent Pablo Heras-Casado. La monumentale Église de Femmes de Dresde, reconstruite par une architecture d’une fabuleuse beauté du style gothique, réalise un univers sonore inouï aux chants sacrés de la liturgie en latin. Aussi dans de cette grandiose représentation de l’oratorio de Paques « Regina caeli, laetare, alleluia », (Reine du ciel, réjouis-toi, alléluia), sur la joie de la résurrection du Christ, (arrangé par compositeur Pietro Mascagni), le remarquable ensemble de l’orchestre, chœur et solistes est dirigé avec la finesse extraordinaire du brio magistral du talentueux chef d’orchestre Pablo Haras-Casado. Le prélude des sonorités éthérées de l’orgue suivie de la réponse chorale raffinée alterne des voix graves des hommes avec les voix hautes des femmes. L’ensemble choisi de toutes les beautés sonores des tessitures et colorations s’estompe et remonte en éblouissant graduel. Ces accords vocaux chargés de force dramatique de la prière créent un fond sonore ondoyant de spiritualité avec l’harmonie des bois, des cuivres jointes des cordes de l’orchestre en formation circulaire dans le transept d’une magnificence architecturale et somptuosité de l’art décorative. Le roulement appuyé des timbales avec des passages fortissimos des violons accroit l’harmonie du dramatique par l’extraordinaire effet de l’émotionnel. De cet admirable fond orchestral de l’hymne de Paques du XIIe siècle de la piété mélodieusement polyphonique, se détache avec une poignante virtuosité en solo les sublimités vocales mezzo-soprano de la ravissante cantatrice Elïna Garanča. L’imploration la grâce salvatrice de la puissance céleste par ses hauts vocaux est d’une pureté digne d’une soprano colorature. Son chant émerveillant se répand, se réverbère dans la magnifique structure des colonnes, monte vibrante aux galeries circulaires jusqu’aux voûtes et arcades, fait naître dans l’auditoire des irrésistibles émotions attendrissantes. Sa voix parfaitement flexible, la mesure paraît couler comme un fleuve enchanteur de sa gorge déployée, sans effort visible et sans limite possible, modulée avec une exquise sensibilité dans les cavités sonores de sa bouche, synchronisé à ravir du jeu des muscles du buste, du cou et de la face, des mimique et geste expressives de toute beauté en harmonie de l’exquise mélodie des mystères de l’incantation du spirituel. D’un port de tête de charme altier de la prodigieuse reine du lyrisme colorature qu’Elïna incarne, le paroxysme de l’émotion spirituelle de l’oratorio de Pâques est produit par un majestueux crescendo du motif de prière à la Saint Marie par l’élévation vocale en finale de l’alléluia de la supplication, « Sois dans la joie et l'allégresse », pour parvenir aux félicités de la vie éternelle... son regard d’extase fixé vers le ciel. Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté d’Elïna, de sa sublime Reine.
I have heard this beautiful hymn from Cavalleria Rusticana countless times, as this is one of my favourite operas, but never as beautifully sung as Elina does it. The choir is also magnificent. BRAVOOOOOO!
Totally blown away
I have watched this video for a number of years. One of my favorite pieces of music, but by Elina Garanca, truly amazing. She is wonderful, as is the music.
Do you know the location of this video?
Un mezzo soprano che canta da soprano! Incredibile!
Majestic !
Que bella voz. No me canso de escuchar Elina Garanca es actualmente la mejor mezzo del mundo. Bonita, excelente voz y excepcional actriz.
El placer que causa escuchar una voz divina revestida de una belleza terrenal suprema es imposible de describir, solo cabe disfrutarlo.
Perfecta!!!!! Bravísima!!!! Canta con todo el corazón y con una voz y técnica magníficas.
Garanca superb bravo
Beauty and talent is almost too magnificent too take in all at once!
Another triumph by Elina Garanca. She is simply incredible.
Divino!!
The greatest mezzo- soprano on earth. Bringing heaven to each piece she sings.
So is Rene Fleming.
Elina ist ein Geschenk des Himmels an uns!
I agree with you...
Wonderful Elina!
MARAVILLOSA LA SRA ELINA GARANCA SU FRESCA VOS MUY EMOCIONANTE.
Stunning!!!
I heard several versions by different artists but Elina Garanca is the BEST bar NONE!!
Absolutely! 😊
Elina is superb!!
SHe does her usual glorious best. I love Elina. Holly Gudmundson
O autor se excedeu em beleza nesta ária !!!
Splendida!
Inacreditável essa moça cantando!
Realmente... Olavo tem Razão
Gorgeous music----------in my youth, as a Pre-Vatican 2 Catholic, I knew this music almost be heart. Irina ! -----------MJL, 77 y/o
Elina bravissima, musica celestiale.
Mamma mia, what a voice!!
Voce straordinaria! Veramente insuperabile! Bravissima!
Bravissima e molto bella! Gran bella voce!
Bravo Elina
Sra Garanca, sublime
Great aria by an incredible and marvellous singer !
Una voz emocionante de Elina👌✨🤩
Indah..
Grazie, grazie!!! Che musica sublime!
SUBLIME AS USUAL... YOU ARE THE GREATEST ELINA
Regina Elina Garanca
Beautiful hymn singer music. Thank you all for this
memories of early years of my Pre-VAtican 2 , Catholic upbringing.
Esto es el cielo en la tierra. Esta parte de C. R. De verdad conmueve. La voz de la Sra. Garanca impresionante que me eriza el cuerpo. Y su belleza física !!! Es un privilegio disfrutar todo esto, junto.
ELINA, ERES FENOMENAL
Breath taking
Die Frauenkirke von Dresden!! Wunderbar!
Toujours plus magnifique sur scène avec tes représentations éblouissantes, ma sublime Elïna Garanča adorée à la passion, ô mon Rossignol au beau visage auréolé des chatoyantes cheveux dorés, tes hymnes aux sonorités exquises et gracieux ébranlent des doux frémissements mon âme granitique.
Ô mon Rossignol obsédant, tes yeux grands et bleus d’éclats transfigurateurs, ô mon Oiseau du lointain paradis musical de la Lettonie, Oiseau de mes mirages de tendresse et fantasmes d’amour spirituelle : enivrant mirage doré des mille et un décors des splendeurs mirifiques, des souffles du suprême lyrisme enchanteur du bel canto frémissant, vibrant de captivantes émotions.
Peter, ton Cavalier de Prose enchanté.
Sono incantata da tanto amore!
Deeply touching in its sheer and delicate performance. Many thanks to all who participated in this presentation. It is a perfect jewel, Thank you, e.conboy
Que potência! Minha mezzo-soprano favorita! ❤🇧🇷
Élina Regina caeli et terrae !
Alleluia! ❤️🙏🏼🙏🏼🙏🏼
Thanks for this video, I had forgotten how beautiful it is and Elina totally masters the depth of this wonderful music.
Do you know where it is?
@@debschaefer7820 I believe its the Staatskapelle in Dresden
@@danietheron5175 thanks.
Flawless beauty of voice and body
SPLENDIDA MERAVIGLIOSA ELINA. E' INSUPERABILE! Notare: canta come soprano e non come mezzo-soprano, questo pezzo immortale composto da P. Mascagni quando aveva solo 18 anni!Elina, non finirai mai di sorprendermi! GRAZIE!
hermosamente bello
Restera imprégné dans les souvenirs des mélomanes les plus délicats, un concert spirituel tel la prestigieuse représentation d’Avent dans « l’Église des Femmes » de Dresde par la force incantatoire de la tessiture mezzo chaude de ma déesse enchanteresse Elïna ; diva aux ultimes perfectionnements de la vocalisation, aussi merveilleux en lyrique qu’en dramatique.
De la concertation géniale de l’Agnus Dei de Georges Bizet, de la basse vibration des instruments de cuivre aux sonorités pathétiques émerge la vocalisation sublime de sa voix d’un éventail de timbres émus, accompagnée des sonorités tamisé et des bassons, et cors anglais, et des hautes bois, euphonie raffinée des instruments à corde et de percussion.
Sa voix s’étire du bas poignant de sensibilité, se prolonge aux hauteurs évocatoires de la vénération divine. La résonance ébranle l’atmosphère, fait vibrer l’air sous le haut ciel vouté d’arcs en pierres taillées, fait vibrer avec l’air du magnifique oratorio en symbiose les fibres intimes des âmes du public tant ému par les splendeurs de son émouvante voix chaude, douce et pleine d’affections tendres, des sons d’une infinie délicatesse du sacré : mouvants du décrescendo au crescendo ondulatoire ou poussés avec une grande agilité du fond de sa gorge des passages prenantes, modulées par sa langue et ses lèvres d’un visage d’une beauté féminine exquise dans la dévotion.
Sous la direction fabuleuse de Pablo Haras-Casado, dans le transfert vouté de l’Église, se répande de son délectable raffinement vocal une inoubliable résonnance mirifique, une divine atmosphère d’harmonie et du recueillement avec la virtuosité des instrumentalistes de grand talent de l’orchestre.
Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.
As usual Elina is simply the best! :D
Well said...Correctly said...Elina is a living angel!
MusikPiratCH As always!!
Magnífico =D
mascagni verdi rossini puccini e altri sono musica immortale italiaNA
Elïna Garanča: Regina caeli, laetare, alleluia, Adventskonzert aus Dresden 29.11.2014 Kammerchor der Frauenkirche - Sächsischer Staatsopernchor. Dirigent Pablo Heras-Casado.
La monumentale Église de Femmes de Dresde, reconstruite par une architecture d’une fabuleuse beauté du style gothique, réalise un univers sonore inouï aux chants sacrés de la liturgie en latin. Aussi dans de cette grandiose représentation de l’oratorio de Paques « Regina caeli, laetare, alleluia », (Reine du ciel, réjouis-toi, alléluia), sur la joie de la résurrection du Christ, (arrangé par compositeur Pietro Mascagni), le remarquable ensemble de l’orchestre, chœur et solistes est dirigé avec la finesse extraordinaire du brio magistral du talentueux chef d’orchestre Pablo Haras-Casado.
Le prélude des sonorités éthérées de l’orgue suivie de la réponse chorale raffinée alterne des voix graves des hommes avec les voix hautes des femmes. L’ensemble choisi de toutes les beautés sonores des tessitures et colorations s’estompe et remonte en éblouissant graduel. Ces accords vocaux chargés de force dramatique de la prière créent un fond sonore ondoyant de spiritualité avec l’harmonie des bois, des cuivres jointes des cordes de l’orchestre en formation circulaire dans le transept d’une magnificence architecturale et somptuosité de l’art décorative. Le roulement appuyé des timbales avec des passages fortissimos des violons accroit l’harmonie du dramatique par l’extraordinaire effet de l’émotionnel.
De cet admirable fond orchestral de l’hymne de Paques du XIIe siècle de la piété mélodieusement polyphonique, se détache avec une poignante virtuosité en solo les sublimités vocales mezzo-soprano de la ravissante cantatrice Elïna Garanča. L’imploration la grâce salvatrice de la puissance céleste par ses hauts vocaux est d’une pureté digne d’une soprano colorature. Son chant émerveillant se répand, se réverbère dans la magnifique structure des colonnes, monte vibrante aux galeries circulaires jusqu’aux voûtes et arcades, fait naître dans l’auditoire des irrésistibles émotions attendrissantes.
Sa voix parfaitement flexible, la mesure paraît couler comme un fleuve enchanteur de sa gorge déployée, sans effort visible et sans limite possible, modulée avec une exquise sensibilité dans les cavités sonores de sa bouche, synchronisé à ravir du jeu des muscles du buste, du cou et de la face, des mimique et geste expressives de toute beauté en harmonie de l’exquise mélodie des mystères de l’incantation du spirituel.
D’un port de tête de charme altier de la prodigieuse reine du lyrisme colorature qu’Elïna incarne, le paroxysme de l’émotion spirituelle de l’oratorio de Pâques est produit par un majestueux crescendo du motif de prière à la Saint Marie par l’élévation vocale en finale de l’alléluia de la supplication, « Sois dans la joie et l'allégresse », pour parvenir aux félicités de la vie éternelle... son regard d’extase fixé vers le ciel.
Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté d’Elïna, de sa sublime Reine.
Divine Élina !
Impresionante
I think this role is made to Elina
Absolutely a pleasure to listen to,,, Anyone know as to what Church this is...
The only thing I can say after hearing this is: OH my God. This is flawless and beautiful. Absolutely sublime. Elina, would you please marry me?
September 2022 who’s here
super
Brava!!!
🌹
fascinating music, fascinating enchanteress Elina.
But where are they? Looks like those enormous gothic churches.
It's the innegiate, il Signor non è morto, di Cavalleria Rusticana.
They're in Dresden...
It's in the Dresden Frauenkirche (Notre Dame, rebuilt 1993-2005). And it's baroque, not gothic ;-)
!
Verliefd
a que nota llega elina garanca al final?
B5.
gracias!
Bravo Elina
Toujours plus magnifique sur scène avec tes représentations éblouissantes, ma sublime Elïna Garanča adorée à la passion, ô mon Rossignol au beau visage auréolé des chatoyantes cheveux dorés, tes hymnes aux sonorités exquises et gracieux ébranlent des doux frémissements mon âme granitique.
Ô mon Rossignol obsédant, tes yeux grands et bleus d’éclats transfigurateurs, ô mon Oiseau du lointain paradis musical de la Lituanie, Oiseau de mes mirages de tendresse et fantasmes d’amour spirituelle : enivrant mirage doré des mille et un décors des splendeurs mirifiques, des souffles du suprême lyrisme enchanteur du bel canto frémissant, vibrant de captivantes émotions.
Peter, ton Cavalier de Prose enchanté.
Elïna Garanča: Regina caeli, laetare, alleluia, Adventskonzert aus Dresden 29.11.2014 Kammerchor der Frauenkirche - Sächsischer Staatsopernchor. Dirigent Pablo Heras-Casado.
La monumentale Église de Femmes de Dresde, reconstruite par une architecture d’une fabuleuse beauté du style gothique, réalise un univers sonore inouï aux chants sacrés de la liturgie en latin. Aussi dans de cette grandiose représentation de l’oratorio de Paques « Regina caeli, laetare, alleluia », (Reine du ciel, réjouis-toi, alléluia), sur la joie de la résurrection du Christ, (arrangé par compositeur Pietro Mascagni), le remarquable ensemble de l’orchestre, chœur et solistes est dirigé avec la finesse extraordinaire du brio magistral du talentueux chef d’orchestre Pablo Haras-Casado.
Le prélude des sonorités éthérées de l’orgue suivie de la réponse chorale raffinée alterne des voix graves des hommes avec les voix hautes des femmes. L’ensemble choisi de toutes les beautés sonores des tessitures et colorations s’estompe et remonte en éblouissant graduel. Ces accords vocaux chargés de force dramatique de la prière créent un fond sonore ondoyant de spiritualité avec l’harmonie des bois, des cuivres jointes des cordes de l’orchestre en formation circulaire dans le transept d’une magnificence architecturale et somptuosité de l’art décorative. Le roulement appuyé des timbales avec des passages fortissimos des violons accroit l’harmonie du dramatique par l’extraordinaire effet de l’émotionnel.
De cet admirable fond orchestral de l’hymne de Paques du XIIe siècle de la piété mélodieusement polyphonique, se détache avec une poignante virtuosité en solo les sublimités vocales mezzo-soprano de la ravissante cantatrice Elïna Garanča. L’imploration la grâce salvatrice de la puissance céleste par ses hauts vocaux est d’une pureté digne d’une soprano colorature. Son chant émerveillant se répand, se réverbère dans la magnifique structure des colonnes, monte vibrante aux galeries circulaires jusqu’aux voûtes et arcades, fait naître dans l’auditoire des irrésistibles émotions attendrissantes.
Sa voix parfaitement flexible, la mesure paraît couler comme un fleuve enchanteur de sa gorge déployée, sans effort visible et sans limite possible, modulée avec une exquise sensibilité dans les cavités sonores de sa bouche, synchronisé à ravir du jeu des muscles du buste, du cou et de la face, des mimique et geste expressives de toute beauté en harmonie de l’exquise mélodie des mystères de l’incantation du spirituel.
D’un port de tête de charme altier de la prodigieuse reine du lyrisme colorature qu’Elïna incarne, le paroxysme de l’émotion spirituelle de l’oratorio de Pâques est produit par un majestueux crescendo du motif de prière à la Saint Marie par l’élévation vocale en finale de l’alléluia de la supplication, « Sois dans la joie et l'allégresse », pour parvenir aux félicités de la vie éternelle... son regard d’extase fixé vers le ciel.
Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté d’Elïna, de sa sublime Reine.
Restera imprégné dans les souvenirs des mélomanes les plus délicats, un concert spirituel tel la prestigieuse représentation d’Avent dans « l’Église des Femmes » de Dresde par la force incantatoire de la tessiture mezzo chaude de ma déesse enchanteresse Elïna ; diva aux ultimes perfectionnements de la vocalisation, aussi merveilleux en lyrique qu’en dramatique.
De la concertation géniale de l’Agnus Dei de Georges Bizet, de la basse vibration des instruments de cuivre aux sonorités pathétiques émerge la vocalisation sublime de sa voix d’un éventail de timbres émus, accompagnée des sonorités tamisé et des bassons, et cors anglais, et des hautes bois, euphonie raffinée des instruments à corde et de percussion.
Sa voix s’étire du bas poignant de sensibilité, se prolonge aux hauteurs évocatoires de la vénération divine. La résonance ébranle l’atmosphère, fait vibrer l’air sous le haut ciel vouté d’arcs en pierres taillées, fait vibrer avec l’air du magnifique oratorio en symbiose les fibres intimes des âmes du public tant ému par les splendeurs de son émouvante voix chaude, douce et pleine d’affections tendres, des sons d’une infinie délicatesse du sacré : mouvants du décrescendo au crescendo ondulatoire ou poussés avec une grande agilité du fond de sa gorge des passages prenantes, modulées par sa langue et ses lèvres d’un visage d’une beauté féminine exquise dans la dévotion.
Sous la direction fabuleuse de Pablo Haras-Casado, dans le transfert vouté de l’Église, se répande de son délectable raffinement vocal une inoubliable résonnance mirifique, une divine atmosphère d’harmonie et du recueillement avec la virtuosité des instrumentalistes de grand talent de l’orchestre.
Peter, son « Cavalier de Prose » enchanté.
Elïna Garanča: Regina caeli, laetare, alleluia, Adventskonzert aus Dresden 29.11.2014 Kammerchor der Frauenkirche - Sächsischer Staatsopernchor. Dirigent Pablo Heras-Casado.
La monumentale Église de Femmes de Dresde, reconstruite par une architecture d’une fabuleuse beauté du style gothique, réalise un univers sonore inouï aux chants sacrés de la liturgie en latin. Aussi dans de cette grandiose représentation de l’oratorio de Paques « Regina caeli, laetare, alleluia », (Reine du ciel, réjouis-toi, alléluia), sur la joie de la résurrection du Christ, (arrangé par compositeur Pietro Mascagni), le remarquable ensemble de l’orchestre, chœur et solistes est dirigé avec la finesse extraordinaire du brio magistral du talentueux chef d’orchestre Pablo Haras-Casado.
Le prélude des sonorités éthérées de l’orgue suivie de la réponse chorale raffinée alterne des voix graves des hommes avec les voix hautes des femmes. L’ensemble choisi de toutes les beautés sonores des tessitures et colorations s’estompe et remonte en éblouissant graduel. Ces accords vocaux chargés de force dramatique de la prière créent un fond sonore ondoyant de spiritualité avec l’harmonie des bois, des cuivres jointes des cordes de l’orchestre en formation circulaire dans le transept d’une magnificence architecturale et somptuosité de l’art décorative. Le roulement appuyé des timbales avec des passages fortissimos des violons accroit l’harmonie du dramatique par l’extraordinaire effet de l’émotionnel.
De cet admirable fond orchestral de l’hymne de Paques du XIIe siècle de la piété mélodieusement polyphonique, se détache avec une poignante virtuosité en solo les sublimités vocales mezzo-soprano de la ravissante cantatrice Elïna Garanča. L’imploration la grâce salvatrice de la puissance céleste par ses hauts vocaux est d’une pureté digne d’une soprano colorature. Son chant émerveillant se répand, se réverbère dans la magnifique structure des colonnes, monte vibrante aux galeries circulaires jusqu’aux voûtes et arcades, fait naître dans l’auditoire des irrésistibles émotions attendrissantes.
Sa voix parfaitement flexible, la mesure paraît couler comme un fleuve enchanteur de sa gorge déployée, sans effort visible et sans limite possible, modulée avec une exquise sensibilité dans les cavités sonores de sa bouche, synchronisé à ravir du jeu des muscles du buste, du cou et de la face, des mimique et geste expressives de toute beauté en harmonie de l’exquise mélodie des mystères de l’incantation du spirituel.
D’un port de tête de charme altier de la prodigieuse reine du lyrisme colorature qu’Elïna incarne, le paroxysme de l’émotion spirituelle de l’oratorio de Pâques est produit par un majestueux crescendo du motif de prière à la Saint Marie par l’élévation vocale en finale de l’alléluia de la supplication, « Sois dans la joie et l'allégresse », pour parvenir aux félicités de la vie éternelle... son regard d’extase fixé vers le ciel.
Peter, le « Cavalier de Prose » enchanté d’Elïna, de sa sublime Reine.