Montréal : le bien-être francophone

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  • čas přidán 20. 06. 2024
  • Megalopolis - Les Nouveaux Explorateurs - Montréal
    Plus grande ville étudiante nord-américaine, c’est la ville la plus abordable du continent ; une ville d’artistes qui s’est faite une réputation, notamment grâce à ses festivals. Bienvenue à Montréal ! 2ᵉ grande ville du pays, on la surnomme l’Amsterdam de l’Amérique du Nord, la seule ville canadienne entourée d’eau.
    Si Toronto est aujourd’hui la capitale économique du Canada, l’île de Montréal s’est hissée au rang de capitale culturelle du pays. C'est le début de l'été dans la métropole québécoise, tandis que les Montréalais profitent de la douceur estivale après un hiver plutôt rude, Alexandra Leroux entame son exploration des mouvements émergents.
    Réalisateur : Alexandra Leroux
  • Zábava

Komentáře • 8

  • @tylerrood6643
    @tylerrood6643 Před 18 dny

    j'ai adoré ce documentaire sur la vie de Montréal 😍

  • @lesprilib1
    @lesprilib1 Před 26 dny

    Les premières villes francophones (en dehors de Paris) sont en Afrique. Paris est 2ème. Montréal n'est que 8ème.

  • @youbute1831
    @youbute1831 Před 25 dny

    le vrai problème des anglais a Montréal,c'est notre revolution tranquille.
    le Canada, sans en être parfaitement conscient, traverse la plus grande crise de son histoire et que le Québec est à l'origine de cette crise. Le nationalisme canadien-français, de plus en plus lié aux Québécois, s'en trouve exacerbé. Le nombre de groupes séparatistes augmente. Quelques-uns adoptent une attitude beaucoup plus extrême, et le front de libération du Québec se tourne vers le terrorisme.

  • @ericst-laurent8161
    @ericst-laurent8161 Před 26 dny +4

    Mais qu'est ce qu'ils peuvent repande comme connerie au debut du reportage a propos de la supposer police de la langue a Montreal ! Les Quebecois ne sont pas contre l'idee d'apprendre une deuxieme ou une troisieme langue voyons !
    Les jeunes Quebecois commence a apprendre l'anglais en premiere annee du primaire. Nous somment avec les Acadiens la seule population majoritairement bilingue du Canada.
    Le probleme ce sont les anglos de Montreal qui refusent d'apprendre quelques mots de Francais car trop borne et qui se comporte comme des neo-colonialistes en terrain conquis.
    Partout dans le monde le fait de savoir parler le Francais est synonyme d'elitisme et de personne cultive sauf au Canada ou c'est plutot synonyme de citoyen de deuxieme categorie.

    • @youbute1831
      @youbute1831 Před 25 dny

      Ta pas tout faux l'Acadien,le vrai problème des anglais a Montréal,c'est notre revolution tranquille.
      le Canada, sans en être parfaitement conscient, traverse la plus grande crise de son histoire et que le Québec est à l'origine de cette crise. Le nationalisme canadien-français, de plus en plus lié aux Québécois, s'en trouve exacerbé. Le nombre de groupes séparatistes augmente. Quelques-uns adoptent une attitude beaucoup plus extrême, et le front de libération du Québec se tourne vers le terrorisme.

  • @stephaneruscito8091
    @stephaneruscito8091 Před 24 dny

    C'est du n'importe quoi ce documentaire. Vous mélangez tout. Ce que revendique entre autres les francophones au Québec, c'est d'etre servis dans leurs langues, et que le francais soit prédominant dans l'affichage, on empèche personne de parler entre eux dans la lanque de leurs choix.

  • @pierredrapeau7313
    @pierredrapeau7313 Před 21 dnem

    Quel ramassis de balivernes datant de 2013... On semble occulter qu'il y a à peine 50 ans, soit une génération, le Québécois francophone typique était sous scolarisé et en situation de pauvreté. Comparativement au Noirs américains, le Québécois moyen avait moins de scolarité et était moins bien rémunéré. Parler français, dans plusieurs milieux de travail, garantissait une niveau moindre de salaire, à compétences égales et limitait les opportunités d'avancement. Les discussions avec les patrons étaient souvent en anglais seulement et on interdisait à certains employés d'échanger en français entre eux. Avant de faire de tels reportages, il serait bon d'avoir une perspective historique au lieu de caricaturer la situation linguistique du Québec à coup de «Language Police». La réalité montréalaise est que les deux tiers des francophones parlent aussi anglais alors que le quart des anglophones peuvent converser en français...