C'est un entraînement, par la pratique. Soit via le drill (pas toujours une mauvaise solution), ce qui permet de traiter quelques cas spécifiques. Soit via des "freins", par exemple demander de détailler la réponse ou de résoudre le même problème de 3 façons. En complément: toujours donner un retour sur ces biais. Expliquer pourquoi la mauvaise réponse est sortie. Les questions tiroirs peuvent être tenantes, mais elles évitent le problème (donc pas d’inhibition) et difficiles à corriger (une erreur au début rend tout le reste faux et oblige le correcteur à repartir de la "mauvaise" solution et corriger en supposant la réponse précédente juste)
j'apprécie trop bien vos théories scientifiques sur l'apprentissage chez l'enfant, merci.
Merci.
Très bien. Et du coup, concrètement, on fait comment pour inhiber...?
C'est un entraînement, par la pratique. Soit via le drill (pas toujours une mauvaise solution), ce qui permet de traiter quelques cas spécifiques.
Soit via des "freins", par exemple demander de détailler la réponse ou de résoudre le même problème de 3 façons.
En complément: toujours donner un retour sur ces biais. Expliquer pourquoi la mauvaise réponse est sortie.
Les questions tiroirs peuvent être tenantes, mais elles évitent le problème (donc pas d’inhibition) et difficiles à corriger (une erreur au début rend tout le reste faux et oblige le correcteur à repartir de la "mauvaise" solution et corriger en supposant la réponse précédente juste)
Correction: Les questions tiroirs peuvent être tentantes...
Inhiber, c'est "savoir dire non à soi-même", à ses propres impulsions, désirs, croyances, ambitions. C'est ça non? Sa voir se remettre en question