Accident vasculaire cérébral : rééducation membre sup

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  • čas přidán 7. 06. 2008
  • Cette vidéo démontre l'efficacité des techniques inspirées principalement par
    - BRUNNSTROM
    - et la rééducation fonctionnelle.
    Cependant, il est probable que toutes les techniques sérieuses de rééducation : BOBATH, PNF-KABAT, PERFETTI, CARR et SHEPHERD, Rééducation du membre supérieur par contrainte induite... ou simplement orthopédique et fonctionnelle auraient donné le même résultat en fin de progression.
    Le niveau maximal d'indépendance fonctionnelle se comporte comme un attracteur pour toutes les techniques de rééducation.
    ...à condition de ne pas interdire les activités fonctionnelles sous prétexte qu'elles risquent d'exacerber la spasticité.
    C'est la lésion cérébrale qui détermine les capacités résiduelles du patient et non le type de rééducation.
    Plusieurs études sérieuses et indépendantes comparant les différents types de rééducation sont arrivées à cette conclusion.
    Nous pensons que les différences entre les méthodes de rééducation portent essentiellement sur la rapidité plus ou moins grande à atteindre le niveau maximum d'indépendance fonctionnelle
    - sans perdre de temps inutilement,
    - en évitant au maximum les douleurs et l'algodystrophie,
    - et en préservant au mieux l'appareil orthopédique du patient.
    Autre différence entre les méthodes de rééducation : l'entraînement systématique et quantifié (chiffré) des activités de la vie quotidienne et des activités ludiques et sportives permet d'exploiter pleinement les capacités résiduelles du patient et d'éviter un syndrome de déconditionnement à l'effort. Cette exploitation des possibilités résiduelles ne modifie pas les lésions cérébrales, mais permet au patient de progresser à l'intérieur de son handicap.
    Les techniques présentées sur cette vidéo répondent parfaitement à ces différents critères.
    Bibliographie : Lord J.P.et Hall K. : Neuromuscular rééducation versus traditionnal programs for stroke rehabilitation. Arch Phys Med Rehabil 1986, 67, pp. 88-91
    Cette vidéo a été réalisée avec la collaboration :
    - du Docteur Gilbert HEURLEY (Médecin MPR),
    - de Béatrice CLARIN (Kinésithérapeute),
    - d'Arnaud CHOPLIN (Kinésithérapeute Cadre de Santé),
    - de Roland SULTANA (Kinésithérapeute Cadre de Santé),
    - et bien sûr de la patiente (très motivée).
    Remerciements à Jeanne M. LAVIGNE qui a su me transmettre avec patience et compétence, ses connaissances théoriques et pratiques concernant l'approche de BRUNNSTROM, lors de mon séjour aux USA.
  • Věda a technologie

Komentáře • 5

  • @rehabilitation7
    @rehabilitation7 Před 15 lety +1

    Les techniques présentées sur cette vidéo répondent parfaitement à ces différents critères.

  • @rehabilitation7
    @rehabilitation7 Před 15 lety +1

    Nous pensons que les différences entre les méthodes de rééducation portent essentiellement sur la rapidité plus ou moins grande à atteindre le niveau maximum d'indépendance fonctionnelle
    - sans perdre de temps inutilement,
    - en évitant au maximum les douleurs et l'algodystrophie,
    - et en préservant au mieux l'appareil orthopédique du patient.

  • @rehabilitation7
    @rehabilitation7 Před 15 lety

    Le niveau maximal d'indépendance fonctionnelle se comporte comme un attracteur pour toutes les techniques de rééducation.
    ...à condition de ne pas interdire les activités fonctionnelles sous prétexte qu'elles risquent d'exacerber la spasticité.

  • @rehabilitation7
    @rehabilitation7 Před 15 lety

    Autre différence entre les méthodes de rééducation : l'entraînement systématique et quantifié (chiffré) des activités de la vie quotidienne et des activités ludiques et sportives permet d'exploiter pleinement les capacités résiduelles du patient et d'éviter un syndrome de déconditionnement à l'effort. Cette exploitation des possibilités résiduelles ne modifie pas les lésions cérébrales, mais permet au patient de progresser à l'intérieur de son handicap.

  • @rehabilitation7
    @rehabilitation7 Před 15 lety

    C'est la lésion cérébrale qui détermine les capacités résiduelles du patient et non le type de rééducation.
    Plusieurs études sérieuses et indépendantes comparant les différents types de rééducation sont arrivées à cette conclusion.