Critique Sans Spoil

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  • čas přidán 7. 03. 2020
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Komentáře • 9

  • @jiyere
    @jiyere Před 3 lety +14

    Comment ce mec ne peut avoir que 1.75K Abonnés...

  • @fudium34
    @fudium34 Před 3 lety +3

    Salut, je passe sur ce roman en deuxième partie de mon bac :) merci pour la vidéo elle permet de confirmer les pensés que j'ai eu !

  •  Před 4 lety +4

    Chouette critique sur un livre qui a été écrit il y a plus de quatre-vingt ans (en pleine montée des régimes totalitaires), mais ne vieillit pas ! Et le plus beau ? Malgré la complexité des sujets abordés, c’est un livre qui se lit comme un conte, en toute facilité ! Merci pour ton partage !

  • @cesteddiedavid
    @cesteddiedavid Před 3 lety +2

    Excellente vidéo !

  • @julesg7543
    @julesg7543 Před 3 lety +2

    Très intéressant de considérer ce roman comme une utopie avec des défauts (ce qui peut paraître antithétique) plutôt qu’une dystopie. D’ailleurs le roman oriente le lecteur à penser que la dystopie se situe dans la réserve avec les « hommes sauvages ».

    • @moonlightwarrior3769
      @moonlightwarrior3769 Před 3 lety +1

      Je ne suis pas convaincu, pour moi ce sont deux dystopies.
      Deux extrêmes opposés totalement, dont les personnages n'arrivent pas à conserver les bons côtés et chasser les mauvais.
      On a tout au long de l'œuvre des personnages tellement conditionnés qu'ils n'arrivent pas à trouver le bonheur ailleurs que dans leur conditionnement.
      Bien que l'on puisse croire que le sauvage et Helmholtz Watson soient ouvert d'esprit (ce qui n'est pas faux en soit), on s'aperçoit vite des limites de cette ouverture d'esprit quand ils sont face à l'inconnu. En effet, malgré toute leur bonne volonté ils ne parviennent pas à comprendre les principes de l'autre monde car il n'est pas assez concret vis à vis de leur expérience personnel ( exemple de Watson qui ne comprends pas ce qu'est vraiment une mère car il n'en a jamais eu).
      Pour moi cette œuvre démontre deux choses:
      - la première est que aussi bienveillant et ouvert d'esprit puissions nous être, il est compliqué de s'ouvrir au parfait inconnu sans balayer tout ce que nous pensons déjà savoir. Il n'existe de vérité que celle que l'on veut bien croire. "Rien n'est vrai, tout est permis" (cette phrase qui passe inaperçu dans assassins creed est qui est pourtant très philosophique).
      - la seconde est qu'aucun homme ne serait être heureux tant qu'ailleurs d'autres hommes seront heureux différemment. Nous chercherons à comprendre pourquoi notre voisin semble plus heureux alors qu'il ne vit pas comme nous. Plutôt que de se contenter de notre bonheur nous voudrons celui d'un autre.
      Évidemment, le meilleur des monde nous fait comprendre des tas de choses encore mais pour moi ce sont les deux que j'ai gardé.

    • @moonlightwarrior3769
      @moonlightwarrior3769 Před 3 lety

      Et bien sur le livre nous laisse sur une question ouverte qui pour moi est: le conditionnement est-il inévitable et est il une mauvaise chose ?

  • @thmnd7480
    @thmnd7480 Před 2 lety

    Bravo et merci. Tu es brillant.

  • @arti4choc
    @arti4choc Před 4 lety +3

    Décidément mes oreilles… "svastika knight" ? ou "night" ? Ah, là, pas de votre faute, l'anglais qui ne s'écrit jamais comme ça se prononce et réciproquement(*). Quant à son autrice…
    (*) “through the trough, you thought : it's tough, though”, ou à l'inverse ici "the nice knight denies "nigh-night"…