Concernant la mise en scène de La Esmeralda de cette folle à l’opéra de Tours : féministe oui. Metteuse en scène talentueuse non. De même que pour tout le reste. À peine 6 musiciens, des chœurs inexistants. Le ténor qui pousse des petits cris plaintifs, la basse complètement inaudible. Cet interprétation de la Esmeralda est désastreuse. Seule Esmeralda elle même rattrape un peu cette catastrophe sur l’air de la fin. Il ne faut pas mélanger féminisme au détriment de l’opéra. Mais ça c’est le seul but de la metteuse en scène qui au contraire de réhabiliter cette œuvre l’a complètement déshonorée. Les spectateurs de ce dimanche n’étaient pas dupes. Loin des ovations explosives et exaltées on n’a eu droit qu’à quelques applaudissements hésitants. L’opéra de Tours a entendu mieux !
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Concernant la mise en scène de La Esmeralda de cette folle à l’opéra de Tours : féministe oui. Metteuse en scène talentueuse non. De même que pour tout le reste. À peine 6 musiciens, des chœurs inexistants. Le ténor qui pousse des petits cris plaintifs, la basse complètement inaudible. Cet interprétation de la Esmeralda est désastreuse. Seule Esmeralda elle même rattrape un peu cette catastrophe sur l’air de la fin. Il ne faut pas mélanger féminisme au détriment de l’opéra. Mais ça c’est le seul but de la metteuse en scène qui au contraire de réhabiliter cette œuvre l’a complètement déshonorée. Les spectateurs de ce dimanche n’étaient pas dupes. Loin des ovations explosives et exaltées on n’a eu droit qu’à quelques applaudissements hésitants. L’opéra de Tours a entendu mieux !