La Vie Parisienne (11/18) - Je suis veuve d'un colonel

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  • čas přidán 13. 08. 2011
  • La Vie Parisienne - Jacques Offenbach (1819 - 1880)
    Opéra-bouffe en 4 actes
    Présenté à l'Opéra national de Lyon, décembre 2007
    Je suis veuve d'un colonel
  • Hudba

Komentáře • 6

  • @michangot
    @michangot Před 8 lety +7

    C'est (au contraire de certains commentaires) une excellente version de cet opéra-bouffe d'Offenbach, mise en scène avec panache par Laurent Pelly et la plupart des interprètes (notamment Laurent Naouri : le baron et Marie Devellereau : Gabrielle) sont excellents... Le timbre et la voix de Marie Devellereau valent largement celle d'Yvonne Printemps et elle est totalement dans l'esprit caustique et railleur d'Offenbach ! Oser parler de "clowneries" alors qu'il s'agit de l'une des oeuvres les plus déjantées et débridées d'Offenbach relève du non-sens et montre que pour certains esprits chagrins, la naphtaline est un parfum...

  • @catfav6317
    @catfav6317 Před 9 lety

    je préfère de loin l'interpretation d'Yvonnes Printemps dans la Valse de Paris , un bijou à voir et revoir.....

  • @BernardPetithomme
    @BernardPetithomme Před 10 lety

    Peut mieux faire car trop de moderne enlève de la vérité . A quand Carmen en tenue gothique...........

  • @eurogen1060
    @eurogen1060 Před 10 lety

    Quelle affreux jeu de la veuve du Colonel : Offenbach n'a pas besoin de ces clowneries; pas plus d'ailleurs qu'il ne gagne à ces décors et à cette mise en scène moderniste qui n'est fidèle ni au texte, ni à l'esprit, ni à la musique de l'œuvre.
    Il faudrait que les metteurs en scène actuels soient plus respectueux des chefs d'œuvre du passé et de leurs auteurs.

    • @leplume75
      @leplume75 Před 10 lety +4

      l'esprit de l'oeuvre, en se remettant dans le contexte de l'époque, c'était surtout de faire rigoler le public... Celle-là plus encore peut-être que tout le reste de l'oeuvre d'Offenbach! Après tout, tant pis si certains "trucs" de mise en scène ne sont pas d'une légèreté infinie, cf. la manif de cheminots de la première scène. Une mise en scène triste, c'est cela qui manquerait de fidélité à l'oeuvre.