[EXTRAIT] IPHIGÉNIE EN TAURIDE by Christoph Willibald Gluck - Tara Erraught (Iphigénie)

L’ultime tragédie lyrique de Gluck met en scène trois personnages tourmentés par ce que la psychologie contemporaine qualifierait de réactions post-traumatiques : Iphigénie, rescapée du sacrifice exigé par la folie guerrière de ses compatriotes, Oreste, rongé par le remords d’avoir assassiné sa mère, et le roi Thoas, obsédé par des visions cauchemardesques de sa propre mort. Le metteur en scène Krzysztof Warlikowski situe l’oeuvre dans l’univers d’une maison de retraite, où l’héroïne, pensionnaire vieillissante, est hantée par son passé. Dans ce huis clos étouffant se confrontent des personnages aussi mythiques que réels, afin de mettre fin au cycle perpétuel de la violence.
MISE EN SCÈNE
Krzysztof Warlikowski
DIRECTION MUSICALE
Thomas Hengelbrock
AVEC
Tara Erraught
Jarrett Ott
Julien Behr
Jean‑François Lapointe
Marianne Croux
Orchestre et Chœurs de l’Opéra national de Paris
Informations et réservations sur www.operadeparis.fr/saison-21...

[@mllesarahauvray]

De toutes les versions qu'il m'a été donné d'entendre, c'est la plus extraordinaire, la mieux équilibrée, la plus puissante ! Bravo !

[@sandywaddell4303]

This aria appears simple, but makes significant demands upon the singer; Tara Erraught meets those demands admirably here. Her voice is lovely across its wide range.

[@TxemaMunoz]

Une merveille. Il faut redecouvrir Gluck.

[@josedolcefarniente5635]

Warlikowski always manages to spoil de magic of classical myths with a trivial contemporary staging. They call it “update”, but in my opinion it’s only lack of talent to dramatize the profound and elusive richness of the ancient tragedies. I still remember his deplorable production of Gluck’s “Alceste” in Madrid, with the main character childishly identified with Lady Di.
It’s not a question of old style vs. contemporary points of view, but of appropriateness or unsuitability to the libretto. For example, Bob Wilson has made marvellous productions of Gluck’s operas “Orpheus & Euridice” and “Alceste”, with a modern approach which deeply preserves the dark and mysterious magnetism of these works.
I think it’s a pity to get such a great performance by Tara Erraught and Thomas Hengelbrock disguised with so many disturbing and puerile touches of “modernity”.

[@richardfallon5507]

I agree, but the very presense of Ms.Erraught on any stage makes even this "production" absolute magic.

[@user-lm4ok1ki5l]

Not agree, never. But interesting, very much.

[@lyricodingo9003]

sauf pour la mise en scene

[@tavernedespoetes-Paul-Cosquer]

C’est en Aulide et non en Tauride.

[@pandacol4127]

Non non c'est bien Tauride

[@tavernedespoetes-Paul-Cosquer]

@@pandacol4127 oui c’est bien Tauride. J’ai écrit trop promptement.

[@leannechanteuse_54]

Enfait Iphigénie est né en Aulide puis a été emmené en Tauride par Diane pour devenir l'une de ses prêtresse et la sauvé du sacrifice