bien d'accord ! Ces interminables " illustrations sonores " sont trop souvent laides, totalement dénuées de pertinence , et indignes de l'invité ! Madig 22.30
1:00 Le tour du mon "à" bicyclette 1:16 Enfourner un fidèle destrier? Enfourcher...(A moins que l'invité ne soit un bouffeur de chevaux, je ne vois pas comment il pourrait enfourner un pégase comme on enfourne un petit four.)
Et bien je préfère l'original à la copie.Toujours. Henri de Montfreid plutôt que le produit ultra marqueté comme s'est si bien les construire notre pays..
Je vote pour l'epiphanie, mais pas la sienne. C'est bien qu'il reconnaisse qu'il est un touriste, à l'heure de la mondialisation. Un ascète, à cheval, à vélo, dans une grotte ou en bateau à voile, qui se fait sa pub. Comme une femme met toujours un slip dans son sac à main, ou prend une photo de son séjour pour après, pour raconter son aventure avec lyrisme. Une peur qui fouette, un frisson bon marché, un mec qui cherche les myrtilles, le miel et le beurre, comme De Gaulle demandait du pain et du saucisson à l'aubergiste du coin, effaré qu'il se contente de choses aussi simples. Ne parlons pas des pauvres, ils préfèrent la télé aux pommes bio. Un choix de vie.
N’est pas donné à chacun de partir 6 mois au bord du Baikal ,de traverser 3 mois la France à pied,de suivre 3 mois l’Axe du Loup…et nous en faire partager l’expérience ! Je vous trouve très fine bouche,rassasiée ,méprisante ,petite bourgeoise bien-pensante finalement,confite dans vos petites certitudes… J’aime Tesson parce qu’il m’oblige à penser,méditer sur ma condition et sur le monde tel qu’il est ,etc.C’est déjà beaucoup !
Oui STESSON nous oblige à réfléchir, prendre du recul, à agir...a retrouver par la solitude compagne retrouver ses fondements naturels sur la vie.. Avec pour TESSON une force psychique...mentale qui le rend solide ..réactif.. face aux cauchemards rencontrés..Un exemple de suffisance vitale
Pour Guillaume Thouroude, les stéréotypes de Tesson sur les peuplades qu'il rencontre ne constituent qu’une face de « sa stratégie de distinction aristocratique », dont le revers est un « mépris de classe » consistant à effacer du récit les petites mains rendant possibles ces voyages, en vue de « romantiser une solitude héroïque ». Or, pointe-t-il, « Sylvain Tesson se revendique ermite au bord du lac Baïkal tout en remerciant ses mécènes à la fin du livre ». D’un label obtenu dans le cadre d’une coopération franco-russe aux équipements signés Millet, l’écrivain-ermite n’oublie pas ses sponsors. À Paris, le même qui clame être « le produit d’une époque qu’[il] déteste » propose via plusieurs agences des conférences pour cadres en quête de motivation. Ses thèmes d’intervention ? « Résilience », « inspiration », « leadership »… La haine de la modernité n’empêche pas d’animer des séminaires d’entreprise.
@@aureliechenot9700 Thouroude votre idole n’a sûrement pas lu Tesson.Il a encore moins commis une œuvre du même calibre et donc a besoin de critiquer pour exister…C’est dommage mais c’est ainsi que va le monde…
Ru ne devrais pas parler de ce faf. Les idées qu'ils propagent sont dangereuses, comme Céline en son temps quoi. Les idées de rejet conduisent à des actes de haine
Un être passionné et passionnant
Très bel interview, j'ai du même prendre des notes.
Sylvain Tesson : l'écrivain qu'on aime.
La mélancolie...indispensable espace de liberté face aux outrances..des temps trop certains...solitude bien venue pour se ressourcer 🎉🎉😅
Radio France pourrait - elle remettre en postcast téléchargeable cet entretien ? Ce serait tellement sympathique pour les auditeurs intéressés!
Quelle peine ces chansons imbéciles ! Merveilleux Sylvain Tesson !
bien d'accord ! Ces interminables " illustrations sonores " sont trop souvent laides,
totalement dénuées de pertinence , et indignes de l'invité ! Madig 22.30
J'adore Eva Bester et Sylvain Tesson
1:00 Le tour du mon "à" bicyclette
1:16 Enfourner un fidèle destrier? Enfourcher...(A moins que l'invité ne soit un bouffeur de chevaux, je ne vois pas comment il pourrait enfourner un pégase comme on enfourne un petit four.)
Belle émission, dommage que la programmation musicale soit aussi médiocre.
Les pubs sont insupportables et ne permettent pas d’aller loin dans l’écoute.
C'est super agressif
Vanessa… mais quelle nullité, quelle pollution.
On ne dit pas un You-koulélé mais un Ou-koulélé
Beaucoup l'ont appris en Afrique anglophone...
Et bien je préfère l'original à la copie.Toujours.
Henri de Montfreid plutôt que le produit ultra marqueté comme s'est si bien les construire notre pays..
Je vote pour l'epiphanie, mais pas la sienne. C'est bien qu'il reconnaisse qu'il est un touriste, à l'heure de la mondialisation. Un ascète, à cheval, à vélo, dans une grotte ou en bateau à voile, qui se fait sa pub. Comme une femme met toujours un slip dans son sac à main, ou prend une photo de son séjour pour après, pour raconter son aventure avec lyrisme. Une peur qui fouette, un frisson bon marché, un mec qui cherche les myrtilles, le miel et le beurre, comme De Gaulle demandait du pain et du saucisson à l'aubergiste du coin, effaré qu'il se contente de choses aussi simples. Ne parlons pas des pauvres, ils préfèrent la télé aux pommes bio. Un choix de vie.
N’est pas donné à chacun de partir 6 mois au bord du Baikal ,de traverser 3 mois la France à pied,de suivre 3 mois l’Axe du Loup…et nous en faire partager l’expérience !
Je vous trouve très fine bouche,rassasiée ,méprisante ,petite bourgeoise bien-pensante finalement,confite dans vos petites certitudes…
J’aime Tesson parce qu’il m’oblige à penser,méditer sur ma condition et sur le monde tel qu’il est ,etc.C’est déjà beaucoup !
Oui STESSON nous oblige à réfléchir, prendre du recul, à agir...a retrouver par la solitude compagne retrouver ses fondements naturels sur la vie..
Avec pour TESSON une force psychique...mentale qui le rend solide ..réactif.. face aux cauchemards rencontrés..Un exemple de suffisance vitale
Pour Guillaume Thouroude, les stéréotypes de Tesson sur les peuplades qu'il rencontre ne constituent qu’une face de « sa stratégie de distinction aristocratique », dont le revers est un « mépris de classe » consistant à effacer du récit les petites mains rendant possibles ces voyages, en vue de « romantiser une solitude héroïque ». Or, pointe-t-il, « Sylvain Tesson se revendique ermite au bord du lac Baïkal tout en remerciant ses mécènes à la fin du livre ». D’un label obtenu dans le cadre d’une coopération franco-russe aux équipements signés Millet, l’écrivain-ermite n’oublie pas ses sponsors. À Paris, le même qui clame être « le produit d’une époque qu’[il] déteste » propose via plusieurs agences des conférences pour cadres en quête de motivation. Ses thèmes d’intervention ? « Résilience », « inspiration », « leadership »… La haine de la modernité n’empêche pas d’animer des séminaires d’entreprise.
@@aureliechenot9700 Thouroude votre idole n’a sûrement pas lu Tesson.Il a encore moins commis une œuvre du même calibre et donc a besoin de critiquer pour exister…C’est dommage mais c’est ainsi que va le monde…
@@user-pr4mg3lg8fHu V76
Ru ne devrais pas parler de ce faf. Les idées qu'ils propagent sont dangereuses, comme Céline en son temps quoi. Les idées de rejet conduisent à des actes de haine