Label Histoire : Jean Vilar a t-il vendu son âme à Avignon en 68 ?

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  • čas přidán 3. 03. 2014
  • Vous connaissez le Festival d'Avignon, qui donne le tempo de la culture chaque été depuis 1947, mais savez-vous jusqu'à quel point l'été 68 l'a dévasté et a dévasté son créateur Jean Vilar.
    En 68, Jean Vilar, le monument du théatre populaire devient l'homme à abattre.
    De jeunes beatniks aux cheveux longs vont faire trembler les murs d'Avignon !
    « Vieille lune, valet de la bourgeoisie, directeur de supermarché artistique »,
    Vilar va endosser tous les mauvais rôles.
    Alors Jean Vilar, était-il un metteur en scène qui a vendu son âme en 68
    ou un simple paratonnerre, dépassé par les événements ?
    Myriam Bounafaa et François Reynaert mènent l'enquête.

Komentáře • 2

  • @chien1789
    @chien1789 Před 10 lety +1

    « Je privilégie la place publique depuis cinquante ans pour offrir mon théâtre musical parce que c’est le meilleur moyen de mettre en scène le poète et le grand public. De temps en temps les agents culturels de la classe moyenne me programment dans leurs maisons de la culture; ou bien c’est l’élite qui m’invite dans ses salons.
    L’Art naît dehors, après le travail, nous échangeons le pain et les paroles de nos vies et nous appelons cela poésie. Après une rude journée je joue bien de la guitare car j’ai de quoi raconter de vrai, entre chaque note passe ma vie, le tempo suit les battements de mon cœur.
    Les exploiteurs mettent quatre murs autour des artistes et mettent à la porte le prix d’entrée. Il se trouve que lorsque l’on pose des murs autour de l’oiseau, l’on coupe ses ailes.
    Les paresseux qui ont peur de vivre et qui ne veulent pas travailler se déguisent en artistes pour mendier l’oisiveté. D’autres cherchent le facile et trouvent le moyen de survivre en se mettant au goût d’une clientèle comme simples prostitués à la mode du jour.
    Les clients consomment la fast culture car la culture est souvent une manière de consommer et de faire vendre des produits.
    Bref, quelques-uns sont nés pour donner quand les autres ne savent que prendre.
    Les marchands doivent tout aux artistes et au public. Les marchands vivent des dons du public. Le public et les artistes sont le peuple roi.
    Les marchands sont alliés aux classes moyennes et à l’élite richissime pour enrôler les artistes qui s’engagent pour un petit pain et des jouets et qui acceptent d’armer la poésie par leur collaboration. Les flics et les agents culturels sont là pour faire circuler la monnaie ».
    Pierre Montmory - trouveur

  • @yvelinec3557
    @yvelinec3557 Před 6 lety

    JE NE CROIS PAS §§!!!?
    Je ne connais qu' une seule personne?KÎ? soît VENÛE ÂVEC MOÎ §§!!!? Pas mon fils?
    Aux cheveux RASES????