(Vidéo) Françoise Dolto - Extrait d'une interview sur la psychanalyse

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  • čas přidán 27. 08. 2024
  • (Vidéo) Françoise Dolto - Extrait d'une interview sur la psychanalyse (1982)

Komentáře • 7

  • @zepatrn871
    @zepatrn871 Před 3 měsíci +1

    Je suis un étudiant à ARJ, et une tâche m'était imposée par ma chère prof de français : regarder une vidéo sur Françoise Dolto et répondre à une série de questions la concernant. Suite au visionnage de la vidéo, j'ai pu comprendre l'importance de la psychanalyse et l'impact profond de Dolto sur la psychologie de l'enfant. Avec la contribution de Françoise Dolto, j'ai réalisé que chaque enfant a besoin d'être écouté et compris dans ses émotions et ses réflexions. Notre approche des enfants a été profondément transformée par Dolto, qui met en avant l'importance de reconnaître et de respecter leur parole, même lorsqu'ils sont très jeunes. Selon elle, les enfants ont une vie intérieure riche et un peu complexe (ce n'est pas le cas de ma sœur) et il est primordial de leur fournir un environnement où ils peuvent exprimer librement leurs émotions et leurs inquiétudes ( parfois elles n'ont pas de sens pour être honnête). Ce que j'ai trouvé dommage, c'est le fait qu'elle n'explique pas, à travers le dédale de ses théories psychanalytiques ( je ne sais pas si cela se dit😅 ) , l'influence de la doctrine sur l'enfant.

  • @IsabelleMD75
    @IsabelleMD75 Před rokem +4

    Lire Françoise Dolto m’a beaucoup aidé dans mon métier d’infirmière pédiatrique

  • @pelllligrin
    @pelllligrin Před rokem +2

    Ça fait du bien de comprendre ce qu'on entend et s'y sentir en accord, merci pour cette vidéo

  • @roldanfernandes9779
    @roldanfernandes9779 Před rokem +3

    Super intéressant merci énormément !

  • @mounialisaaa2391
    @mounialisaaa2391 Před 2 měsíci

    Elle restera aussi la mère de Carlos. Big bisou

  • @jacquesvanrillaer2033
    @jacquesvanrillaer2033 Před 7 měsíci

    A 7min 20, Dolto dit que la « psychothérapie » vise à faire disparaître le symptôme, tandis que, dit-elle à 8m45, la psychanalyse ne vise pas à faire disparaître le symptôme.
    En effet. Les psychanalystes ne travaillent pas sur les symptômes ; les symptômes demeurent ; on les dédaigne ou on les assume, comme l’illustre le cas de Pierre Rey, ancien rédacteur en chef de Marie-Claire. Rey avait consulté Lacan pour des phobies sociales. Au terme de 10 années de séances quotidiennes d’analyse (des séances, il est vrai, très courtes, voire minuscules), il constate que ses phobies n’ont pas disparu : « L’avouer aujourd’hui me fait sourire : je suis toujours aussi phobique. Mais, entre-temps, j’ai négocié avec mes phobies. Ou je ne me mets plus en position d’avoir à les éprouver, ou, le dussé-je, les considérant comme l’accident d’un temps vide, je les subis avec la résignation ennuyée qu’appellent les fatalités extérieures » (“Une saison chez Lacan", p. 77).
    Freud concluait son premier livre ("Etudes sur l'hystérie") par ces mots : « Beaucoup est acquis si nous réussissons à transformer la misère hystérique en malheur commun ». A la fin de sa carrière, il ne pouvait offrir davantage.