Merci pour cette chanson que je dédie à tous ceux qui comme moi se procurent des prétextes pour veiller tard ! Merci de ce partage délicat car j 'adore Barbara et amitiés .
domage un soir j ai loupe une ocassion de la voir c" etait a morge en suisse elle et decéde juste après hélas heureusement quelle sera eternelle avec ses chanson
Barbara reste en effet éternelle même si elle a fini par s endormir définitivement, j'ai eu cette incroyable chance de la voir sur scène dans les années 1980 et je devais la revoir à Paris mais la mort l a emportée, mais sa voix, son talent et ses sublimes textes restent pour le plus grand plaisir de nous qui l aimons.
À voir tant de gens qui dorment et s'endorment à la nuit Je finirai, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi À voir tant d'yeux qui se ferment, couchés dans leur lit Je finirai par comprendre qu'il faut que je m'endorme aussi J'en ai connu des grands, des beaux, des bien bâtis, des gentils Qui venaient pour me bercer et combattre mes insomnies Mais au matin, je les retrouvais, endormis dans mon lit Pendant que je veillais seule, en combattant mes insomnies À force de compter les moutons qui sautent dans mon lit J'ai un immense troupeau qui se promène dans mes nuits Qu'ils aillent brouter ailleurs, par exemple, dans vos prairies Labourage et pâturage ne sont pas mes travaux de nuit Sans compter les absents qui me reviennent dans mes nuits J'ai quelquefois des vivants qui me donnent des insomnies Et je gravis mon calvaire, sur les escaliers de la nuit J'ai déjà connu l'enfer, connaîtrai-je le paradis? Le paradis, ce serait, pour moi, de m'endormir la nuit Mais je rêve que je rêve qu'on a tué mes insomnies Et que, pâles, en robe blanche, on les a couchées dans un lit À tant rêver que j'en rêve, les revoilà, mes insomnies Je rôde comme les chats, je glisse comme les souris Et Dieu, lui-même, ne sait pas ce que je peux faire de mes nuits Mourir ou s'endormir, ce n'est pas du tout la même chose Pourtant, c'est pareillement se coucher les paupières closes Une longue nuit, où je les avais tous deux confondus Peu s'en fallut, au matin, que je ne me réveille plus Mais au ciel de mon lit, y avait les pompiers de Paris Au pied de mon lit, les adjudants de la gendarmerie Ô Messieurs dites-moi, ce que vous faites là, je vous prie Madame, nous sommes là pour veiller sur vos insomnies En un cortège chagrin, viennent mes parents, mes amis Gravement, au nom du Père, du Fils et puis du Saint-Esprit Si après l'heure, c'est plus l'heure, avant, ce ne l'est pas non plus Ce n'est pas l'heure en tout cas, mais grand merci d'être venus Je les vois déjà rire de leurs fines plaisanteries Ceux qui prétendent connaître un remède à mes insomnies Un médecin pour mes nuits, j'y avais pensé, moi aussi C'est contre lui que je couche mes plus belles insomnies À voir tant de gens qui dorment et s'endorment à la nuit J'aurais fini, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi Mais si s'endormir c'est mourir, ah laissez-moi mes insomnies J'aime mieux vivre en enfer que dormir en paradis Si s'endormir c'est mourir, ah laissez-moi mes insomnies J'aime mieux vivre en enfer que de mourir en paradis
À voir tant de gens qui dorment et s'endorment à la nuit Je finirai, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi À voir tant d'yeux qui se ferment, couchés dans leur lit Je finirai par comprendre qu'il faut que je m'endorme aussi J'en ai connu des grands, des beaux, des bien bâtis, des gentils Qui venaient pour me bercer et combattre mes insomnies Mais au matin, je les retrouvais, endormis dans mon lit Pendant que je veillais seule, en combattant mes insomnies À force de compter les moutons qui sautent dans mon lit J'ai un immense troupeau qui se promène dans mes nuits Qu'ils aillent brouter ailleurs, par exemple, dans vos prairies Labourage et pâturage ne sont pas mes travaux de nuit Sans compter les absents qui me reviennent dans mes nuits J'ai quelquefois des vivants qui me donnent des insomnies Et je gravis mon calvaire, sur les escaliers de la nuit J'ai déjà connu l'enfer, connaîtrai-je le paradis? Le paradis, ce serait, pour moi, de m'endormir la nuit Mais je rêve que je rêve qu'on a tué mes insomnies Et que, pâles, en robe blanche, on les a couchées dans un lit À tant rêver que j'en rêve, les revoilà, mes insomnies Je rôde comme les chats, je glisse comme les souris Et Dieu, lui-même, ne sait pas ce que je peux faire de mes nuits Mourir ou s'endormir, ce n'est pas du tout la même chose Pourtant, c'est pareillement se coucher les paupières closes Une longue nuit, où je les avais tous deux confondus Peu s'en fallut, au matin, que je ne me réveille plus Mais au ciel de mon lit, y avait les pompiers de Paris Au pied de mon lit, les adjudants de la gendarmerie Ô Messieurs dites-moi, ce que vous faites là, je vous prie Madame, nous sommes là pour veiller sur vos insomnies En un cortège chagrin, viennent mes parents, mes amis Gravement, au nom du Père, du Fils et puis du Saint-Esprit Si après l'heure, c'est plus l'heure, avant, ce ne l'est pas non plus Ce n'est pas l'heure en tout cas, mais grand merci d'être venus Je les vois déjà rire de leurs fines plaisanteries Ceux qui prétendent connaître un remède à mes insomnies Un médecin pour mes nuits, j'y avais pensé, moi aussi C'est contre lui que je couche mes plus belles insomnies À voir tant de gens qui dorment et s'endorment à la nuit J'aurais fini, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi Mais si s'endormir c'est mourir, ah laissez-moi mes insomnies J'aime mieux vivre en enfer que dormir en paradis Si s'endormir c'est mourir, ah laissez-moi mes insomnies J'aime mieux vivre en enfer que de mourir en paradis
Merci pour cette chanson, et pensée pour ceux qui traversent de longues insomnies.
Une merveille... je n'ai pas de mots tellement je l'aime... j'ai eu la chance de la rencontrer
4:58, cours demain à 9 heures: merci Barbara tu me sauves, non de la fatigue, mais de la détresse!
WOW! A great singer songwriter. Love her music.
Merci pour cette chanson que je dédie à tous ceux qui comme moi se procurent des prétextes pour veiller tard !
Merci de ce partage délicat car j 'adore Barbara et amitiés .
Merci pour cette magnifique voix et si belle chanson
sublime partage merci beaucoup .J'adore Barbara
Pour les insomniaques je vous conseille les programmes de france culture qui diffuse des trésors grace aux archives de la radio française.
Best flower French gave us ❤
Merci pour la vidéo !
domage un soir j ai loupe une ocassion de la voir c" etait a morge en suisse elle et decéde juste après hélas heureusement quelle sera eternelle avec ses chanson
Barbara reste en effet éternelle même si elle a fini par s endormir définitivement, j'ai eu cette incroyable chance de la voir sur scène dans les années 1980 et je devais la revoir à Paris mais la mort l a emportée, mais sa voix, son talent et ses sublimes textes restent pour le plus grand plaisir de nous qui l aimons.
Merci 👍 💕 amitiés bises Murielle
Merciiiiiiiiiiiii
À voir tant de gens qui dorment et s'endorment à la nuit
Je finirai, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi
À voir tant d'yeux qui se ferment, couchés dans leur lit
Je finirai par comprendre qu'il faut que je m'endorme aussi
J'en ai connu des grands, des beaux, des bien bâtis, des gentils
Qui venaient pour me bercer et combattre mes insomnies
Mais au matin, je les retrouvais, endormis dans mon lit
Pendant que je veillais seule, en combattant mes insomnies
À force de compter les moutons qui sautent dans mon lit
J'ai un immense troupeau qui se promène dans mes nuits
Qu'ils aillent brouter ailleurs, par exemple, dans vos prairies
Labourage et pâturage ne sont pas mes travaux de nuit
Sans compter les absents qui me reviennent dans mes nuits
J'ai quelquefois des vivants qui me donnent des insomnies
Et je gravis mon calvaire, sur les escaliers de la nuit
J'ai déjà connu l'enfer, connaîtrai-je le paradis?
Le paradis, ce serait, pour moi, de m'endormir la nuit
Mais je rêve que je rêve qu'on a tué mes insomnies
Et que, pâles, en robe blanche, on les a couchées dans un lit
À tant rêver que j'en rêve, les revoilà, mes insomnies
Je rôde comme les chats, je glisse comme les souris
Et Dieu, lui-même, ne sait pas ce que je peux faire de mes nuits
Mourir ou s'endormir, ce n'est pas du tout la même chose
Pourtant, c'est pareillement se coucher les paupières closes
Une longue nuit, où je les avais tous deux confondus
Peu s'en fallut, au matin, que je ne me réveille plus
Mais au ciel de mon lit, y avait les pompiers de Paris
Au pied de mon lit, les adjudants de la gendarmerie
Ô Messieurs dites-moi, ce que vous faites là, je vous prie
Madame, nous sommes là pour veiller sur vos insomnies
En un cortège chagrin, viennent mes parents, mes amis
Gravement, au nom du Père, du Fils et puis du Saint-Esprit
Si après l'heure, c'est plus l'heure, avant, ce ne l'est pas non plus
Ce n'est pas l'heure en tout cas, mais grand merci d'être venus
Je les vois déjà rire de leurs fines plaisanteries
Ceux qui prétendent connaître un remède à mes insomnies
Un médecin pour mes nuits, j'y avais pensé, moi aussi
C'est contre lui que je couche mes plus belles insomnies
À voir tant de gens qui dorment et s'endorment à la nuit
J'aurais fini, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi
Mais si s'endormir c'est mourir, ah laissez-moi mes insomnies
J'aime mieux vivre en enfer que dormir en paradis
Si s'endormir c'est mourir, ah laissez-moi mes insomnies
J'aime mieux vivre en enfer que de mourir en paradis
Merci :)
Il est 3H et je viens de me réveiller; impossible de me rendormir, alors je viens sur CZcams pour tuer le temps mais c'est dur !!!
Elle reste la plus grande....
J’aime bien Barbara qui chante , elle ressemble à un arbre triste qui chante
❤️
À voir tant de gens qui dorment et s'endorment à la nuit
Je finirai, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi
À voir tant d'yeux qui se ferment, couchés dans leur lit
Je finirai par comprendre qu'il faut que je m'endorme aussi
J'en ai connu des grands, des beaux, des bien bâtis, des gentils
Qui venaient pour me bercer et combattre mes insomnies
Mais au matin, je les retrouvais, endormis dans mon lit
Pendant que je veillais seule, en combattant mes insomnies
À force de compter les moutons qui sautent dans mon lit
J'ai un immense troupeau qui se promène dans mes nuits
Qu'ils aillent brouter ailleurs, par exemple, dans vos prairies
Labourage et pâturage ne sont pas mes travaux de nuit
Sans compter les absents qui me reviennent dans mes nuits
J'ai quelquefois des vivants qui me donnent des insomnies
Et je gravis mon calvaire, sur les escaliers de la nuit
J'ai déjà connu l'enfer, connaîtrai-je le paradis?
Le paradis, ce serait, pour moi, de m'endormir la nuit
Mais je rêve que je rêve qu'on a tué mes insomnies
Et que, pâles, en robe blanche, on les a couchées dans un lit
À tant rêver que j'en rêve, les revoilà, mes insomnies
Je rôde comme les chats, je glisse comme les souris
Et Dieu, lui-même, ne sait pas ce que je peux faire de mes nuits
Mourir ou s'endormir, ce n'est pas du tout la même chose
Pourtant, c'est pareillement se coucher les paupières closes
Une longue nuit, où je les avais tous deux confondus
Peu s'en fallut, au matin, que je ne me réveille plus
Mais au ciel de mon lit, y avait les pompiers de Paris
Au pied de mon lit, les adjudants de la gendarmerie
Ô Messieurs dites-moi, ce que vous faites là, je vous prie
Madame, nous sommes là pour veiller sur vos insomnies
En un cortège chagrin, viennent mes parents, mes amis
Gravement, au nom du Père, du Fils et puis du Saint-Esprit
Si après l'heure, c'est plus l'heure, avant, ce ne l'est pas non plus
Ce n'est pas l'heure en tout cas, mais grand merci d'être venus
Je les vois déjà rire de leurs fines plaisanteries
Ceux qui prétendent connaître un remède à mes insomnies
Un médecin pour mes nuits, j'y avais pensé, moi aussi
C'est contre lui que je couche mes plus belles insomnies
À voir tant de gens qui dorment et s'endorment à la nuit
J'aurais fini, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi
Mais si s'endormir c'est mourir, ah laissez-moi mes insomnies
J'aime mieux vivre en enfer que dormir en paradis
Si s'endormir c'est mourir, ah laissez-moi mes insomnies
J'aime mieux vivre en enfer que de mourir en paradis