Enquête : Vivre dehors par grand froid
Vložit
- čas přidán 9. 12. 2016
- Pour la première fois à Reims dans la Marne, des tentes ont fait leurs apparitions le long d'un grand boulevard de la ville. Ce sont des albanais, kurdes et arméniens qui logent majoritairement dans ces habitations.
- Zábava
VIVE LA FRANCE DES RICHES
Tous les pays devraient avoir exactement les mêmes droits sans aucunes exceptions et comme sa le monde irait mieux c est sur car nous sommes tous des personnes humaines par dessus tout ! Valerie
bien oui il sont a la rue mais il y a aussi des non émigrés a la rue et dans les bois aussi et depuis des années ?
oui mais ceux la ils compte pas pour l etat francais
Mai pourquoi ils viennent tousses en Frances?
@@jonathannunes8576 parce que la France est devenue une poubelle , malheureusement
@@ann.m.4794 oui, je l’avais remarqué, merci.
@@jonathannunes8576 les aides sociales ,les soins gratuit voilà pourquoi..et parce qu ils savent qu ils passeront tjr devant un français,pour le logement,social'c tout
En tant que très ancienne civilisation européenne, l’Arménie a droit à toute notre sollicitude
Oui.
bonjour..le peuple pour le peuple.
merci pour le partage on leur souhaite un avenir meilleurs 👍❤❤
Ils veulent Un 5 étoiles peut être ?
lacroix rouge c rare de les voir de nos jours marauder
Si vous saviez le nombre de fois où ils ont été agressés...par les SDF qu'ils venaient secourir !!!
Bien sûr que c'est possible de dormir dehors l'hiver si tu prévois du matos pour ne pas avoir froid
???
C'est formidable le '115' !
😢
Les droits de l'homme sont respectés en France mdrrr
Eh bah oui desolée
ils a plus de place pour les autre dans la rue regarder juste tout c'est appartement inoccupé partout quand les offert au moin les logement vide
Ils peuvent retourner en Arménie, ça ira mieux
Dsl pour eux mais ils sont réfugiés de quoi?
l'Arménie n'est pas guerre que je sache.
ET LES FRANÇAIS???
Les français et les étrangers ont construit la France et peuvent enssemble aider les plus vulnérables si ont les intègre dans nos sociétés
En revanche les humains sont pas tous égaux face à la situation de la précarité dont je fais face
@@melikaterfa2212 vrai, il y a ceux qui se donnent la peine de travailler et montre l exemple a leurs enfants et ceux qui preferent les allocs et leurs enfants font de meme, une chaine sans fin
@@melikaterfa2212 c'est faux tu frouilles
Un avion et retour au pays au frais de l'ambassade.
Le mieux c'est dans la forêt sous une tente kaki
oui c'est se que je ferait si je finie à la rue un jour
@@rolandvincent2130 tu est déjà à la rue
Faut arrêter en Arménie c'est pas RDC ou Mali, Somalie, faut faire le tri
Penser au français avant
Exactement .
Et penser aux 2... Ah tu n y avais pas pensé
@@Yo-ue2ny va en Afrique tu n auras rien a mangé
@meharis tu dors pas ?
Tu vien en France 🇫🇷 tu travailles ce pour vivre sur notre dos asse 600e taxe sur ma fiche pais ça fait mal pour pais pour ces bom rien
Tina Lopes écrit correctement le français stp ça pique
@@cassisframboise3521 faut dormir
j aimerai bien voir si un francais serai sdf ds leur bled si ils Donne quelque chose
Le mieux est qu'ils retournent dans leur pays (à leurs frais). Il y fait bien moins froid qu'ici.
heureusement que tu est rien. Rien un zéro zéro.
la France c est devenu le Kosovo
Ils débarquent en couplé et ils font un tour de manège est ce que c'est la croix rouge leur paie ,? Moi si je veux faire un tour je me le paie et on les hébergé moi je me suis débrouille une assistante sociale m avait dit vous aurez bien les moyens de vous payer une chambre d hôtel pour un jour ou plusieurs mieux vaut êtes étranger en France
Mdr
Juju dbz j
.
. L
😘
Boul'vard du hasard.
Mes pas s'allongeaient boulevard du hasard.
Direction destinée par l'instinct par la faim !
En errance sur les quais je divague mes lendemains. Que pourrais-je faire d'autre
par mes absences ?
Et dans ces rues à déambuler en somnambule hiver été !
Quelle vérité sur le banc de ce monde ? À en avaler, avalanche en aval d'absurdes abstinences.
De rêves, de démence ! Et d'abord où vais-je ? Traîner et pointer du doigt telle île refuge.
Ce cru que l'on me refuse, que je ne pourrai boire.
Et ce ventre sans silence qui réclame sa pitance.
Dans la totale indifférence de ceux qui ne te voient pas.
Ces gens-là ignorent tes souffrances.
Ta faim est toujours présente.
Et ces jambes de fatigue qui te tiennent, te trimballent.
Dans l'insomnie du temps qui passe.
L'insoutenable te trépasse.
Sans toit ni loi cent fois sans toi.
SDF sans griefs autre que mon visage n'ayant plus de sens ni de nom non-droit évoqué. évoquais- je ? Et vos cages ? Âmes charitables !
No man'sky ? No man's land
Quel ciel ou nuage, frontière, révoqué ?
J'habite Andromède, lointaine galaxie
Sans domicile fixe je suis une étoile de plus, électron libre dans l'univers.
Nanoparticule de l'enfer.
SDF mon appellation contrôlée à titre d'humain.
S'il me fallut mendier mon pain, m' enlever
Le peu de fierté qu'il me restait. Perdre mon entrain. Descendre aussi bas que chien, la misère me laissa tout d'même entrevoir quelque lumière d'espoir.
En escale sur cette terre. De passage mais pourquoi ?
La raison de ma maigre existence, je l'ignore profondément.
SD "Figé" fiché rue des pavés impasse de la vie.
Le sanscrit du trottoir la belle affaire ! Bien loin des trésors des Indes galantes. Faut croire !
Mon nom est ainsi inscrit comme un interdit. L'eau qui coule caniveau ne reflète guère cette lune dont j'ai si souvent rêvé la pâleur. Ce que je crie !
Je suis un homme croyez-le ou non !
Sans nul bien sans aucun nom.
Effacé comme au Tréport sans attache.
Ancre est mon cœur. Plume mon Apache.
Mon bras de pitié vers Mont-de-pieté. L'aumône de la honte devant des regards d'indifférence, impitoyables nulle clémence.
N'ai-je jamais été cet homme honnête ne serait-ce qu'une seule fois dans ma vie ?
Me voici flanqué net sur l'bitume après bien des péripéties. Comme balayé sous l'tapis. Dormant sous les ponts.
Une poussière sans un cri. Aucune plainte mais bon !
SD cri ! C'est bien mon nom.
SDF ma raison.
Tellement pesante cette fatigue que je
m'écroule à même le sol comme tas de chiffon sympathique en boule, le temps fut long.
Préserver le peu de vie qu'il me reste.
Qu'importe mon odeur ces effluves de souffrance comme peste venant déranger ma respiration. Quelqu'un à l'horizon ? Non ! Seulement un ou deux passants disparaissant dans cette brume sans un regard et nul geste.
Évidemment leurs nuits ne ressemblent point aux miennes. Dans le froid la faim et l'angoisse au petit matin.
Le cœur si lourd les yeux éteints.
Une péniche au loin s'éloigne. Mais !
Je dois repartir à tout prix hors de portée
des braves gens. À l'abri de certains badauds .
Si par un étrange hasard votre chemin croisait ma vue et mon destin, le pain partagé ensemble sera celui de l'amitié.
La fraternité est une aubaine. Et
les quais de Seine, la voie de reine.
Le 8 /o9/2022. 3h06..
Auteurs. Jean-Marie Diomandé.
Et Jean-Robert Dray.
Adaptation. Jean-Robert Dray.
Musique Jean-Robert Dray.
C est pas finis l immigrants le cpl arméniens l homme dentiste placé dans un village qui manque un dentiste pourquoi pas biensur on peut prendre toute la misere du monde