Franz Liszt, est mort certes dans une certaine solitude, puisque ni Cosima, ni ses élèves n'ont daigné s'occuper de lui, trop occupé a profiter de la vie, et des légèretés qu'offrait le festival. Néanmoins, une jeune allemande de 23 ans du nom de Lina Schmalhaussen, qui était élève de Liszt, n'as eu de cesse de veiller, et de s'occuper du compositeur. Elle arriva a Bayreuth le 22 juillet 1886, Liszt mourra 9 jours plus tard. Si ça n’était pas de l'amour, il y avait entre les deux une grande affection, Schmalhaussen admirant et aimant Liszt de tout son cœur, et Liszt, vieil homme et mourant, avec pour seul bonheur la dévotion du jeune femme a son chevet. Un livre du nom de '' La Mort de Franz Liszt : le récit par son élève Lina Schmalhaussen '' retrace le 10 derniers jours de la vie du compositeur, ainsi que les 4 jours qui suivirent son décès. C'est une chronique précieuse pour quiconque se demande comment Liszt appréhenda la mort.
8:33 La virtuosité de Liszt lui permet d'accéder et d'exploiter des territoires sonores qui n'existaient pas avant lui et ainsi de développer le territoire pianistique qui sera repris par les autres grands compositeurs de piano (Debussy, Rachmaninov, Ravel etc) Par exemple la superposition des plans sonores (qui semble être jouer par différents musiciens, par plusieurs pianos) : un chant melodique, majestueux, ample et simple et tout autour des ornements dans des graves, dans des aiguës qui virvoltent et qui donnent un univers hallucinant; il y'a aussi des Résonances dans des éclats fulgurants qui se créent dans le piano et qui n'existaient pas avant lui.
36:55 Sonate débute avec 2 notes très brèves - comme une sorte de coup du destin qui arrive, qui tape à la porte - et sont immédiatement suivi par une gamme descendante - issue de quelques grottes - puis de nouveau les deux notes et ainsi de suite. Liszt ecrit cette Sonate à la même époque que sa Faust symphonie et est encore tres imprégné par le thème de Faust, il n'est pas interdit de reprendre les thématiques de sa sonate, on peut penser que ces themes là représentent des personnages. Par exemple : Le theme de Faust parrait irrémédiablement tiré vers le bas; theme de Mephistopheles qui parrait ricaner derrière lui (à la mains gauche) et où lui est superposé un theme qui rappelle celui de Faust (à la main droite); vient ensuite un theme qui pourrait être le theme de Dieu, de Sa grandeur qui arrive et écarte tout le monde sur son passage; quand on analyse la partition, le thème de Marguerite n'est autre que celui du diable (avec ces 5 notes répétées dans les deux thèmes)
Et pourtant, il se disait HONGROIS lui-même et jamais allemand. Bien qu'il était allemand par rapport à ses racines, il était plutôt fier de se présenter comme Magyar !
![Résonance[s]](http://yt3.ggpht.com/ytc/AIdro_kwJfwfbqWAo-qA1fZUhvEMNSCX9lX2M9RTFhqjMGHf7A=s48-c-k-c0x00ffffff-no-rj)
Liszt fut un génie perturbé toute sa vie... repose en paix Sir Liszt ❤❤❤❤❤❤
Franz Liszt, est mort certes dans une certaine solitude, puisque ni Cosima, ni ses élèves n'ont daigné s'occuper de lui, trop occupé a profiter de la vie, et des légèretés qu'offrait le festival. Néanmoins, une jeune allemande de 23 ans du nom de Lina Schmalhaussen, qui était élève de Liszt, n'as eu de cesse de veiller, et de s'occuper du compositeur. Elle arriva a Bayreuth le 22 juillet 1886, Liszt mourra 9 jours plus tard. Si ça n’était pas de l'amour, il y avait entre les deux une grande affection, Schmalhaussen admirant et aimant Liszt de tout son cœur, et Liszt, vieil homme et mourant, avec pour seul bonheur la dévotion du jeune femme a son chevet. Un livre du nom de '' La Mort de Franz Liszt : le récit par son élève Lina Schmalhaussen '' retrace le 10 derniers jours de la vie du compositeur, ainsi que les 4 jours qui suivirent son décès. C'est une chronique précieuse pour quiconque se demande comment Liszt appréhenda la mort.
Merci pour le livre " La mort de Franz Liszt " je vais le lire.
Merci beaucoup pour cette 2 ° écoute.
Merci beaucoup
Merci et Bravo
merci
8:33 La virtuosité de Liszt lui permet d'accéder et d'exploiter des territoires sonores qui n'existaient pas avant lui et ainsi de développer le territoire pianistique qui sera repris par les autres grands compositeurs de piano (Debussy, Rachmaninov, Ravel etc)
Par exemple la superposition des plans sonores (qui semble être jouer par différents musiciens, par plusieurs pianos) : un chant melodique, majestueux, ample et simple et tout autour des ornements dans des graves, dans des aiguës qui virvoltent et qui donnent un univers hallucinant; il y'a aussi des Résonances dans des éclats fulgurants qui se créent dans le piano et qui n'existaient pas avant lui.
36:55 Sonate débute avec 2 notes très brèves - comme une sorte de coup du destin qui arrive, qui tape à la porte - et sont immédiatement suivi par une gamme descendante - issue de quelques grottes - puis de nouveau les deux notes et ainsi de suite.
Liszt ecrit cette Sonate à la même époque que sa Faust symphonie et est encore tres imprégné par le thème de Faust, il n'est pas interdit de reprendre les thématiques de sa sonate, on peut penser que ces themes là représentent des personnages.
Par exemple : Le theme de Faust parrait irrémédiablement tiré vers le bas; theme de Mephistopheles qui parrait ricaner derrière lui (à la mains gauche) et où lui est superposé un theme qui rappelle celui de Faust (à la main droite); vient ensuite un theme qui pourrait être le theme de Dieu, de Sa grandeur qui arrive et écarte tout le monde sur son passage; quand on analyse la partition, le thème de Marguerite n'est autre que celui du diable (avec ces 5 notes répétées dans les deux thèmes)
Et pourtant, il se disait HONGROIS lui-même et jamais allemand. Bien qu'il était allemand par rapport à ses racines, il était plutôt fier de se présenter comme Magyar !
Liszt cherchait pas à peaufiner !? alors la non c'est faux, justement les nombreuses versions de ses oeuvres prouvent le contraire.
De la publicité. Dommage.
C'est nul