Nouveau générique et titre prometteur, j'attends la prochaine avec impatience. Les grappes de gamins vêtus de "loques" nous rapprochent familièrement des mendiants de Calcutta (Mombay) et de Bombay, passerelle humanitaire qui magnifie en nous l'éveil de la solidarité universelle. Nous sommes un et nous nous projetons aisément dans cette foule de miséreux sans avenir. (Les botteresses liégeoises ne sont pas absentes de cet épisode. Elles assumèrent durant ces temps le seul lien économique incontournable, à part la Meuse, pour acheminer tous les produits des hauteurs des pays de Liège au sein de la cuvette. La Chartreuse, la côte d'Ans pour la Hesbaye, celle de Fléron s'ouvrant sur le plateau de Herve. Elles jouèrent un rôle essentiel dans la distribution des marchandises. Mal payées, tout comme nos routiers qui assurent le ravitaillement de notre société de consommation.) Puis la crise alimentaire frappe la société de 1783 à 1788. Le pouvoir économique religieux est omniprésent et omnipotent et ne fait rien pour atténuer le malheur si visible. L' acceptance de la famine qui tue comme un fléau purificateur de dieu ! Comment ici ne pas faire la liaison entre nos ultras riches et le clergé de l'époque qui concentre les richesses. L' argent appelle l'argent et le bien être mais hélas la manne économique n'est pas redistribuée. L' actuel pape catholique François a eu cette image du verre rempli de richesses qui, sur le point de déborder et de répandre ses bienfaits à tous, ne cesse de grandir pour le plus grand bénéfice d'une poignée. L'orage s'approche. Peu parmi la société sont capables de mettre en mots l'idée de réforme et la nécessité du changement. Cela bouillonne à Liège comme à Paris. Le grondement du tonnerre effraye comme il rend tous nerveux. Rien ne bouge jusqu'au dernier moment avant qu'éclate la révolution . Bien vite le prochain épisode !
Nouveau générique et titre prometteur, j'attends la prochaine avec impatience. Les grappes de gamins vêtus de "loques" nous rapprochent familièrement des mendiants de Calcutta (Mombay) et de Bombay, passerelle humanitaire qui magnifie en nous l'éveil de la solidarité universelle. Nous sommes un et nous nous projetons aisément dans cette foule de miséreux sans avenir.
(Les botteresses liégeoises ne sont pas absentes de cet épisode. Elles assumèrent durant ces temps le seul lien économique incontournable, à part la Meuse, pour acheminer tous les produits des hauteurs des pays de Liège au sein de la cuvette. La Chartreuse, la côte d'Ans pour la Hesbaye, celle de Fléron s'ouvrant sur le plateau de Herve. Elles jouèrent un rôle essentiel dans la distribution des marchandises. Mal payées, tout comme nos routiers qui assurent le ravitaillement de notre société de consommation.)
Puis la crise alimentaire frappe la société de 1783 à 1788. Le pouvoir économique religieux est omniprésent et omnipotent et ne fait rien pour atténuer le malheur si visible. L' acceptance de la famine qui tue comme un fléau purificateur de dieu ! Comment ici ne pas faire la liaison entre nos ultras riches et le clergé de l'époque qui concentre les richesses. L' argent appelle l'argent et le bien être mais hélas la manne économique n'est pas redistribuée. L' actuel pape catholique François a eu cette image du verre rempli de richesses qui, sur le point de déborder et de répandre ses bienfaits à tous, ne cesse de grandir pour le plus grand bénéfice d'une poignée. L'orage s'approche. Peu parmi la société sont capables de mettre en mots l'idée de réforme et la nécessité du changement. Cela bouillonne à Liège comme à Paris. Le grondement du tonnerre effraye comme il rend tous nerveux. Rien ne bouge jusqu'au dernier moment avant qu'éclate la révolution . Bien vite le prochain épisode !