Analyse et commentaires sur Fight Club (1999) de David Fincher

Sdílet
Vložit
  • čas přidán 13. 09. 2024
  • Analyse et commentaires sur Fight Club (1999) de David Fincher par Yannick Rolandeau
    Montage, mixage et graphisme : Théo Bonaccio
    Et pour nous aider grâce à Tipeee : fr.tipeee.com/...
    Auteur d'essais sur le cinéma : www.editions-h...

Komentáře • 36

  • @odysseusvoyageaucentreducinema

    Et pour nous aider grâce à Tipeee : fr.tipeee.com/user/yannick-102
    Auteur d'essais sur le cinéma : www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=auteurs&obj=artiste&no=26832

  • @phenixcrox
    @phenixcrox Před 4 měsíci +2

    Très étrange que je n'ai pas reçu la notification pour cette vidéo !
    C'était vraiment intéressant ! Vous êtes allé beaucoup plus loin que la plupart des gens sur ce sujet !

  • @laurentprevot3281
    @laurentprevot3281 Před 6 měsíci +2

    Il est appréciable de voir ainsi critiquer le type de mise en scène, trop répandu, qui repose sur le clinquant, les effet recherchés pour eux-mêmes et le côté démonstratif.
    Une telle vidéo peut vraiment aider les gens à faire preuve de discernement. Pouvoir faire la différence entre les films qui conditionnent le regard et ceux qui lui ouvrent des horizons, c'est essentiel. C'est d'autant plus utile aujourd'hui où la domination qui s'exerce sur les individus passe par le management de leurs perceptions.

  • @victornareg6801
    @victornareg6801 Před 7 měsíci +2

    Même si on n est pas totalement d'accord sur tous les enjeux et les ressorts du film , c est un point de vue nouveau et efficace. Merci

  • @dasvdm
    @dasvdm Před 3 měsíci +1

    génial ; merci

  • @FATIH93380
    @FATIH93380 Před 7 měsíci +2

    Merci pour vos analyses !

  • @karelknightmare6712
    @karelknightmare6712 Před 11 dny +1

    Merci pour votre vidéo, très agréable et détaillée sur ce film magnifique qui reste malgré les années.
    Je pense que vous attribuez à Fincher un message qu'il n'a pas,
    Fight Club est l'histoire d'un schizophrène qui souffre d'une dissociation terrible de la personnalité,
    et sa descente aux enfers nous amène à nous questionner effectivement sur la masculinité, le consumérisme, l'anticonformisme...
    Mais le coté subversif, faussement cynique de Fincher n'invite pas à porter ou à dénigrer un courant de pensée.
    Il le dit d'ailleurs dans des interviews. Ce qu'il aime c'est inviter le spectateur à faire le lien, à se questionner.
    Personnellement, je crois que le lien entre les oeuvres de Fincher c'est la mise en garde contre nos narratifs, nos convictions.
    Il s'amuse à les moquer, à montrer leurs contradictions.
    Le point principal qui, je crois, n'est pas dans votre analyse, c'est qu'aucun personnage principal à part Jack n'est réel dans le film.
    Ni Tyler, ni Bob, ni aucun membre du projet Mayhem, ni même Marla, ils sont l'expression de sa psyché qui se fragmente et se fragilise.
    Cela permet de développer une intrigue irréelle et incohérente, révélatrice des clichés contradictoires que Jack a sur le monde, le consumérisme, la masculinité, le conformisme...
    Le plus fort, je trouve, étant que le film montre la vanité futile de tout ça, chacun se perdant dans un but, un sens.
    Ce qui compte pour Fincher, surtout dans Fight Club, c'est d'inciter à observer la réalité, en se méfiant du filtre de nos pensées.
    Pensées qui vous ont peut-être convaincue que Fincher ruine "sa potentialité à dire des choses sur la réalité", alors que son but déclaré est précisément l'inverse.

    • @odysseusvoyageaucentreducinema
      @odysseusvoyageaucentreducinema  Před 10 dny

      @@karelknightmare6712 oui enfin et sans refaire mon analyse, nous sommes à Hollywood avec étude de marché. Fincher n’a rien d’un cinéaste d’envergure pour avoir réalisé clips et publicités et utilisé une mise en scène très mode. Et cela se démontre par les éléments concrets filmiques sur lesquels je m’appuie sinon on peut dire tout et n’importe quoi sur un film. Et là il y a trop d’invraisemblances comme par hasard le happy end si attendu. Tout de même… et je me demande que veut un tel film par rapport aux films cités (Haneke) et même par rapport à la filmographie de Fincher qui ne brille pas par sa cohérence.

    • @karelknightmare6712
      @karelknightmare6712 Před 10 dny

      @@odysseusvoyageaucentreducinema je pensais que vous vouliez parler du film. Pardon de m’être trompé.
      Ces idées d’ailleurs ne sont pas les miennes. Ce sont celles défendues par le réalisateur.
      Un peu comme Paul Verhoeven dont on avait traité son starship troopers de profascistes.
      Et qui a plein d’anecdotes sidérantes sur cette période.
      Sans voir ce qui est devant vous et même sans être pleinement explicite tout de même très suggéré. Il est impossible de porter un regard pertinent sur l’œuvre.
      Bien sûr que Marla n’est pas réel. Un pro comme vous de la mise aura vu les dizaines de d’éléments de mises en scènes qui le montrent.
      De même la maison sur Paper Street est un clin sans doute grossier pour vous que c’est une maison imaginaire. Tout comme l’expression paper street qui désigne un endroit qui n’existe que sur un plan.
      Sans voir le parallèle entre Marta et Tyler, leur impact sur les insomnies de Jack, la scène ironique de leurs ébats alors que Jack est couché. J’imagine que Fight est une coquille de noix comme ça.
      Ne pas voir que Fincher moque la puérilité dans ce film. C’est un peu la démonstration de l’abandon du réalisme dont on parlait.
      À s’accrocher à des dogmes, des ´filtres’ qu’on met sur ses yeux.
      On abandonne la quête de réalité. Et on se perd dans des considérations de personnes et des procès d’intention.
      Plus que mon avis ou le votre. Sur l’intention, Fight est objectivement une œuvre a plusieurs niveaux de lecture, avec de très nombreux éléments de réflexion laissés ça et là.
      Chacun repart avec ce qui a résonné chez lui.
      Mais sans comprendre ni voir la complexité, je peux voir la Joconde et dire qu’elle est laide et sur côté .
      C’est le syndrome de Dunning Kruger.

    • @odysseusvoyageaucentreducinema
      @odysseusvoyageaucentreducinema  Před 10 dny

      @@karelknightmare6712 Je ne m'intéresse pas aux propos des réalisateurs sur leur film, seulement au film qui a été réalisé et monté comme tel.
      il est trop facile de jouer sur deux tableaux pour retomber sur ses pattes à chaque fois et la mise en scène clinquante le dit. On ne joue pas d'une telle mise en scène par hasard comme dans Requiem for a dream où le film en vient à se contredire lui-même. Et c'est ce que je dis à la fin en indiquant que le film joue sur deux plans contradictoires, ce qui est devenu une pirouette facile à repérer. De même avec l'idée que chaque spectateur prend ce qu'il lui plaît alors que le film est bien mis en scène d'une certaine façon, a été monté d'une telle manière et pas autrement. L'image n'est jamais innocente.
      Comme pour Verhoeven, procédé de jouer d'un second degré mis au premier degré, au premier plan pour dynamiter toute critique, ce que fait Tarantino d'une façon perverse avec un message subliminale sur la vengeance permise. Là, on aboutit à une œuvre qui n'a plus rien à dire de concret, plus aucun sens de l'observation sur une situation actuelle. Il ne reste qu'à regarder un spectacle filmique qui ne donne plus à penser.

    • @karelknightmare6712
      @karelknightmare6712 Před 10 dny

      @@odysseusvoyageaucentreducinema je crois comprendre ce que vous dites.
      Un film devrait présenter une idée la porter, la faire affronter des contradictions peut être pour mieux valoriser un message.
      Peut être que Chaplin vous plait dans ce sens.
      Je n’ai pas revu Requiem for a dream depuis longtemps, dans mon souvenir le film ne se contredit pas, il montre différent aspect plus ou moins accepté socialement de l’addiction à différentes drogues, et montre chacun des protagonistes faire le même chemin qu’icare à croire qu’il vont toucher le soleil avant de s’anéantir.
      Ce qui vous déplaît c’est que le réalisateur ne prenne pas parti?
      Qu’il ne dénonce pas?
      Vous parliez du manque de fil conducteur dans l’œuvre de Fincher.
      Au contraire c’est un réalisateur ouvertement obsédé par un seul message, et qu’il répète à l’envie. C’est notre narratif qui nous ruine et ruine nos relations.
      Fight club met en garde contre les certitudes de genres et de conformisme quelqu’ils soit.
      Gone girl sur les genres également et sur la theatralisation des relations personnelles.
      Mindhunter sur le rapport à la folie et le rejet simpliste par dehumanisation.
      Button sur nos illusions quant au temps qu’il nous reste et les étiquettes qu’on se colle.
      Zodiac sur nos obsessions et sur la quête encore de vérité. Malgré un doute insurmontable malheureusement dans cette affaire horrible.
      The social network sur la trahison et notre triste capacité à se persuader sans vraiment se convaincre qu’on n’agit pas mal.
      Je comprends que vous n’aimiez pas cette manière de faire.
      Et que vous portiez les messages militants. C’est noble.
      Mais honnêtement dire que Fincher est un réalisateur qui cède à la facilité et qui ne prend pas de risque aussi bien en terme de mise en scène que de soins au détail ultra maladif…
      Je ne pense pas du tout que ce soit la réalité.
      Le subversif je trouve que c’est bien, ça emmène des profils de gens très différents et s’ils y reviennent ils découvrent des aspects différents et parfois changé de vue sur leur vie.
      C’est comme Tolkien qui n’aimait pas la vision cynique de Herbert alors qu’elle ne l’est pas.
      Les deux sont bien pour moi, douter et plus difficile que d’affirmer.

    • @odysseusvoyageaucentreducinema
      @odysseusvoyageaucentreducinema  Před 9 dny

      @@karelknightmare6712 Vous n'y êtes pas et il suffit de regarder les films dont je fais l'éloge pour remarquer que je ne valorise nullement un message (un slogan) humaniste ou autre, mais quelqu'un qui sait développer un thème à travers la complexité et l'ambiguïté. Comme 2001. Ou un autre film complexe comme Chinatown de Roman Polanski. sa mise en scène d'ailleurs sans effet est un modèle du genre à l'opposé du film clinquant de Basic instincts de Paul Verhoeven franchement racoleur.
      Requiem for a dream est un long clip quasi gouvernemental qui dit en gros que la télévision et la drogue, c'est mal en reprenant les codes du clip promus par la télévision elle-même et en agitant sans cesse sa caméra. En cela, il se contredit. On ne critique pas la télévision en reprenant ses codes. Il vaut mieux voir Panique a needle parc de Jerry Schatzberg.
      Fight club finit sur un happy end grotesque dans un film irréaliste quant au contenu et où l'on peut dire tout et son contraire ? Où est la complexité ? Comment l'expliquer ? Je ne vois aucune complexité. S'il voulait faire dans la complexité, il ne ferait pas un film attractif avec moult effets spéciaux pour rendre captif son spectateur de la nouvelle génération.
      Que nous dit-il en critiquant soi-disant la société de consommation ? Que la lutte est vaine ? Bien. Mais quand il se réveille, il est où en tuant son double d'un façon irréaliste (voir Edgar Poe) ? Il se tire une balle et prend sa nana par la main et contemple des destructions comme un spectacle ? Et ? J'ai donné mon interprétation et il est trop facile de malmener le spectateur pour lui faire croire que tout est faux alors que notre société repose sue des ressorts bien particuliers. Même genre de faux suspense dans Basic instincts où Sharon Stone approche la main d'un pic à glace, renversant l'arrestation de l'autre femme. Vieux truc d'Hollywood.
      Le film n'est pas fait par un cinéaste sans moyens. Un film subversif est Network de Sydney Lumet qui étudiait la mise en avant des rebelles pour faire de l'audimat au sein même de la télévision.
      Je ne rappelle plus ses autres films somme toute banals mais dans Fight Club, la mise en scène reste tape-à-l'œil, genre MTV, rien à voir avec une mise en scène posée qui étudie son sujet. Ce se voit qu'il vient du clip et de la publicité. C'est là qu'on remarque un cinéaste d'envergure dans le traitement du sujet quand il renonce à tous ses effets clinquants pour traiter un sujet dans ses tenants et aboutissants. Et comparativement, on trouve une telle complexité dans les romans de Flaubert, de Maupassant, de Tolstoï et j'en passe

  • @ForeskinWillis
    @ForeskinWillis Před 7 měsíci +6

    En tant que "jeune rebelle dégénéré" cette analyse ma vraiment ouvert les yeux, j'ai toujours adulé le personnage de Tyler Durden du fait de son charisme et de ses discours anticonsumériste mais je doit avouer que le film et sa narration joue totalement sur ces envies de rebellions sans substance contre le "système" tout en utilisant les même procédés de celui-ci , j'en ai fais moi même les frais en rêvant d'un Tyler Durden qui viendrait me sortir de cette société proto-dystopique en la combattant, mais quand j'y pense c'est exactement ce que veut ce "système", que je me batte contre lui afin de le légitimer pendant qu'il s'extase devant le spectacle de sa fausse destruction. PS : Pour un comparatif réaliste le mouvement antifasciste est un exemple parfait de cette fausse rebellions émanant du système.

    • @odysseusvoyageaucentreducinema
      @odysseusvoyageaucentreducinema  Před 7 měsíci +2

      Je vous remercie pour votre franchise et avec humour en vous qualifiant de "jeune rebelle dégénéré".
      1/ Disons que le film joue d'une révolte extrême car la révolte était avant logique (la Commune en 1871) et sans référent. Les révoltés jouaient leur vie et ils ont été horriblement reprimés.
      2/ Là à un moment, le cinéaste la remet en cause avec un double que l'on peut tuer en redevenant indemne !
      3/ La destruction finale qui devrait être rejetée est devenue un spectacle jouissif et virtuel. Voilà il ne reste aux "révoltés" que la contemplation esthétique et virtuelle de la destruction comme consolation de leur impuissance.
      Les groupes d'extrême gauche dans les années soixante tenaient le même discours. Quand on voit ce que Cohen-Bendit et Romain Goupil sont devenus... des macronistes.
      Network (1976) de Sydney Lumet annonçait la couleur. A voir.
      Pasolini disait que le fascisme reviendrait sous les traits de l'antifascisme.

  • @rodgerhaynin8013
    @rodgerhaynin8013 Před 7 měsíci +2

    Je suis un gros joueur de jeux vidéo, mais je déteste ce film, haha. Je préfère nettement des œuvres comme ‘Salò’ ou ‘Funny Games’, tous deux volontairement dérangeants et qui remettent en cause nos rapports morbides à la violence et à la société du spectacle. Prenons aussi ‘La Jeune Fille et la Mort’, qui aborde le problème de la vengeance et de la fameuse loi du Talion. En tout cas, votre critique est intéressante et l’analyse de la vidéo est pertinente. C’est toujours agréable d’avoir vos impressions sur les films que vous appréciez le moins. Je plussoye.

    • @odysseusvoyageaucentreducinema
      @odysseusvoyageaucentreducinema  Před 7 měsíci +1

      Vous devez être l'un des rares à être un gros joueur de jeux vidéo et à aimer Salo ou Funny Games sans doute parce que vous avez une vision différente des œuvres d'art et des jeux. Vous comprenez sans doute que dans ce formatage peu y échappent. Les Français lisent très peu de nos jours (et rarement de grands romans) et quand je les vois dans le métro avec leur portable... Enfin, je vous remercie de votre commentaire car autant on peut décortiquer des chefs d'œuvre, autant décortiquer des films dits cultes pour voir ce qu'ils recèlent est important pour saisir l'esprit du temps.

    • @rodgerhaynin8013
      @rodgerhaynin8013 Před 7 měsíci +2

      @@odysseusvoyageaucentreducinema Je vous en prie. Comment passer à côté d’œuvres telles que celles d'Edgar Allan Poe, de Lovecraft, de Kafka ou bien de Buzzati, pour ne citer qu'eux, dans le registre de l'étrange ?

  • @Stooms21
    @Stooms21 Před 3 měsíci

    Merci pour cette analyse !
    Par contre je ne la partage pas dans la mesure où votre critique est que le film prétend vouloir faire naître un sentiment de révolte tout en usant des artifices du capitalisme. De mon point de vue, le film est justement une critique de la critique du capitalisme et le film joue de cette ironie par exemple quand Tyler, joué par brad pitt, critique dans un bus une pub pour calecon. Il ne s'agit pas de faire l'éloge de cette révolte fascisante contre la mondialisation mais plutôt montrer les impasses auxquelles peuvent mener cette forme de nihilisme

    • @odysseusvoyageaucentreducinema
      @odysseusvoyageaucentreducinema  Před 2 měsíci

      Je vous remercie de votre commentaire.
      Vous oubliez la fin. Le happy end et le côté totalement irréaliste de la disparition du Double.
      Je ne dis pas que le film légitime cette révolte puisque elle est révélée mais que le cinéaste n’en fait qu’un spectacle pour noyer le poisson. Et détruire tout ce qu’une fiction pourrait en dire.

  • @johannesjones3602
    @johannesjones3602 Před 7 měsíci

    Ce film a eu 20 ans d'avance sur son temps.

    • @odysseusvoyageaucentreducinema
      @odysseusvoyageaucentreducinema  Před 7 měsíci

      En quoi ?

    • @johannesjones3602
      @johannesjones3602 Před 7 měsíci +1

      @@odysseusvoyageaucentreducinema Pas un succès foudroyant quand il est sorti en salle, mais par contre, par après en DVD, il a explosé les ventes. Les gens n'étaient pas prêt à un tel genre de film a sa sortie. Maintenant il passe beaucoup mieux.

    • @vanzipper6486
      @vanzipper6486 Před 5 měsíci

      ​@@johannesjones3602👍

    • @bertygarden
      @bertygarden Před 4 měsíci

      Pourquoi en avance? Ce thème est récurrent depuis très longtemps en littérature comme en peinture.

    • @johannesjones3602
      @johannesjones3602 Před 4 měsíci

      @@bertygarden . Il n'a pas eu le succès escompté lors de sa sortie en salle. C'est seulement après, quand il est sorti en DVD que les ventes ont explosé.
      Les gens n'étaient pas prêt à ce genre de film.....

  • @kamix2492
    @kamix2492 Před 7 měsíci

    Analyse très originale qui la rend pertinente face à la montagne de pseudos explications du film qui ne sont que des pales copies de la page wikipedia du film. Cependant je ne vous rejoins pas sur la critique de l'extériorité du diable en nous que représente Tyler Durden. Le mal est peut être intrinsèque à nous mais il peut être dissocié de notre volonté propre qui nous permet justement de vouloir le rejeter. L'extériorisation de ce mal est un bon moyen je trouve d'essayer de s'en débarrasser.

    • @odysseusvoyageaucentreducinema
      @odysseusvoyageaucentreducinema  Před 7 měsíci

      Je vous remercie de votre commentaire. Dans le film, il y a le mal littéralement extérieur au personnage puisqu'il peut s'en débarrasser d'un coup de révolver. Irréaliste. Le mal est intrinsèque mais on peut en avoir conscience pour tenter de le contrôler (plutôt que de le rejeter) ou de ne pas y succomber. Réaliste. Mais il n'est pas extérieur (et le film est grotesque sur ce point car à la fin, le narrateur contemple ce que sa part maudite a faite !) car s'il est extérieur littéralement, vous le transposez en un bouc émissaire au final.

    • @younext456
      @younext456 Před 7 měsíci

      ​@@odysseusvoyageaucentreducinemaje ne crois pas qu'il s'agit d'un film manichéen

    • @odysseusvoyageaucentreducinema
      @odysseusvoyageaucentreducinema  Před 7 měsíci

      @@younext456 C''est bien de l'affirmer, il faut maintenant le démontrer. Car je pourrais inverser la proposition.

    • @bertygarden
      @bertygarden Před 4 měsíci +1

      ​@@odysseusvoyageaucentreducinema Je suggère qu'il ne s'agit que d'une technique commode: montrer un double négatif au cinéma est plus facile que d'imaginer in abstracto une sorte de combat intérieur à un seul homme. Le problème est que, de nos jours, l'individu libre est un mythe et que l'esclavage des esprits prospère.

  • @Saliceforever3366
    @Saliceforever3366 Před 6 měsíci +1

    Critique conformiste se croyant anticonformiste d'un film conformiste que certains croyaient anticonformiste. Onanisme intellectuel du critique qui s'écoute critiquer et ne fait que reproduire ce qu'il croit dénoncer.

    • @janleloup1573
      @janleloup1573 Před 6 měsíci +1

      Pour l'instant, vous ne rentrez pas dans le détail et vous vous amusez à faire des pirouettes avec les mots.

    • @Saliceforever3366
      @Saliceforever3366 Před 6 měsíci

      @@janleloup1573 Je ne rentrerai pas dans le détail et ce sera mon dernier commentaire. Vous avez fait une vidéo et moi un commentaire. Pas la peine d'écrire un pavé pour étaler ma culture et vous la votre en réponse. Je ne cherche pas à débattre, j'ai répondu à votre vidéo. Vous êtes suffisamment intelligent et cultivé pour comprendre ce que j’ai voulu dire.

    • @janleloup1573
      @janleloup1573 Před 6 měsíci +4

      @@Saliceforever3366 En général, quand on ne sort pas un seul argument, ce qu'on n'en a pas. Surtout face à un commentaire qui s'appuie sur le film. Vous avez aimé le film et comme le commentaire vous irrite car il l'a démonté, vous sortez votre formule qui pourrait être utilisée sur n'importe quel film, histoire de faire de l'opposition aveugle ou rageuse. Entre votre commentaire et celui argumenté du film, j'ai vite choisi.