Emmanuel Kant (4/5) : Le problème du mal radical
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- čas přidán 27. 08. 2024
- Les Nouveaux Chemins de la connaissance
Date de diffusion : 26.03.2009
Invité : Michaël Foessel (philosophe)
« Le fondement de ce mal ne peut pas, comme on a pris l’habitude de le dire communément, être situé dans la sensibilité de l’homme et dans les inclinations naturelles qui en dérivent. Ce n’est pas seulement qu’elles n’ont aucun rapport direct au mal (bien plutôt elles donnent à l’intention morale dans sa force l’occasion de prouver ce qu’elle est, intention de la vertu), c’est que nous ne sommes pas responsables de leur existence […] ; en revanche nous sommes responsables du penchant au mal qui, tandis qu’il concerne la moralité du sujet et découvre par conséquent en celui-ci un être qui agit librement, doit pouvoir lui être imputé comme à un être faillible. »
Kant, La Religion dans les limites de la simple raison (1793)
Bravo M.Foessel ainsi qu'à votre invité, M. Einthoven dont la logorrhée nous démontre une grande richesse de vocabulaire. Et merci de ne pas trop l'avoir interrompu, c'est d'une grande courtoisie de votre part !
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Mille mercis❤
Le débat est délicat. le "mal" est aussi choisi...parce que plus simpliste (réfléchir a ce qui est bien prend du temps est limite les pouvoirs et les possibilités). Ainsi pour son plaisir personnel, l'homme s'orientera vers une forme de mal... ne serait-ce pour cacher une vérité, qui lui fera du tort..
" être ou ne pas être
avec sa " conscience
Très clair, merci. Je recommande le profil collection Hatier sur le mal de Michael Foessel
Si vous êtes tous dans un couple lln
Merci
Je suis en train d écrire un essai et je dois dire que je préfère la notion de Plotin
Car kant réduit trop cet aperçu du mal et associer la liberté au mal il faut pousser y autrement et autre chose à apporter et je me donne du temps ...
Je n‘arrive pas à trouver la vidéo (2/5)…peut-être avez-vous un lien?
A mon avis la représentation mathématique de Kant est difficile à saisir parce que logiquement le Mal est posé comme le contraire du bien , son négatif . L opposé sur une méme droite par rapport au zéro . Or mathématiquement comme phénoméne physique ou social le Mal est orthogonal au bien , c est son contradictoire et non son contraire . Comme çà s inscrit dans un cercle en cas d égalité, la différence qualitative s évalue en degré , comme le mouvement d un point autour du centre . Sur ce point deux segments orthogonaux marquent les causes du mouvement .L erreur de situer le mal et le bien comme contraires , sur une meme direction , ou pour rendre raison du mouvement circulaire est trés commune ; Y compris chez Hegel qui explique le mouvement circulaire par l opposition d une force centrifuge à une force centripede .
Très difficile...
Beaucoup de détours inutiles surtoutde la part de l’interviewer (on s’étale sur spinoza sans rapport etc.). Décevant.
grrrrand merci
9:00
L'intérêt de ces émissions sont les invités.
On a pas besoin des questions ou commentaires niais de Entowen.
Il est aussi nul que Van dreeth.
Mais les deux ont couché utiles.