La crise de la masculinité - Vérités et conséquences avec Louis T

Sdílet
Vložit
  • čas přidán 23. 08. 2024
  • Le féminisme est-il en train de mener les hommes à la ruine ou est-ce juste un bouc émissaire un peu trop facile? Louis T enquête.
    Abonnez-vous à notre chaîne - goo.gl/WpXp1X (www.youtube.com...)
    Baveux, mais pas moqueur. Drôle, mais pas léger. Authentique, mais pas banal. Fabriqué à Montréal depuis 2003, URBANIA s’adresse à une communauté de gens curieux qui ont soif d’un média intelligent, irrévérencieux et fougueux. Notre mission: rendre l’ordinaire extraordinaire - Rejoignez-nous sur urbania.ca (urbania.ca/)
    Pour voir toutes nos vidéos - / urbaniamontreal
    Facebook - / urbania ou / urbaniamusique
    Instagram - / _urbania
    En collaboration avec ICI Tou.tv
    Pour regarder d'autres épisodes: go.urbania.ca/VC

Komentáře • 42

  • @eibhlinniccolla
    @eibhlinniccolla Před 5 lety +12

    Ce qui m'a toujours embrouillée c'est que beaucoup des problèmes chez les hommes sont vus comme étant de la faute des femmes, pas la structure sociétale qui empêche les hommes d'exprimer leurs émotions, avouer qu'ils sont stressés, ou avoir l'air stressé ou déprimé. Ils se voient incapable de changer les systèmes qui causent leurs problèmes, donc ils blâment les femmes. C'est un peu comme les racistes qui blâment les minorités pour leurs troubles fiscales, tout en votant pour les politiciens qui font passer des lois qui leur rendent de plus en plus pauvre.

    • @tadamyen1006
      @tadamyen1006 Před 4 lety +2

      "beaucoup des problèmes chez les hommes sont vus comme étant la faute des femmes" c 'est l'idéologie patriarcale. (patriarcat est un système socio-politique, qu'il justifie par une idéologie : sexisme via une autorité spirituel : religion, science, pseudo science : freud) . La mythologie et les religions ont toujours présenté les hommes comme des victimes = parce ce que sans souffrance pas de héros. Et des victimes de femmes ( Alexandre victime de sa mère, Adam victime de Eve etc..) cela permet de justifier la subordination des femmes. Après avoir donnée aux femmes un caractère diabolique (vénales, manipulatrice, imposture..) les femmes par définition deviennent de antinomie aux pouvoirs, quand les hommes ont un caractère saint (ambition, puissance, dieu le père..) qui en font par cette définition des leaders "naturel"s. La croyance populaire d'homme victime de "virilisme toxique" qui les stresserait au point de ne pas pouvoir "parler de leurs problèmes" est une invention masculiniste, comme la crise de la masculinité. Les hommes ne font QUE parler de leur problèmes (livre, film, article médias, politique, sportif) Parce ce que l'existence est exclusivement masculine, et que nous n'avons d empathie que pour le masculin. C'est pourquoi la défense des violeurs est quasi exclusivement porté par la victimisation masculine : "il est frustré", "il n'a pas fait exprès", "il est malade", "elle l'a provoqué". D'Adam à Rambo la souffrance masculine est mise en avant, si la souffrance masculine n'était pas sur représenté il n y aurai pas de pas de personnage, pas d'empathie, ni de défi a relever donc pas de heros. De Ulysse à Iron man la souffrance est masculine. C est d'ailleurs parce que cette humanité est réservé aux hommes que les viols etc, ont tant de mal a être condamnés, on s'interroge d'abord sur la conséquence que la décision aura sur les hommes. Le peu de film ou les femmes sont soi disant des héroines , les cinéastes prennent grand soin à ne pas leur donner de travailler le personnage dans une défi de souffrance psychique a relevé parce ce que personne n'y adhérerait. La souffrance est réservé aux hommes et c'est cette souffrance qui les glorifie (jésus/mahommet etc.).

    • @tadamyen1006
      @tadamyen1006 Před 4 lety +2

      ^^ d'abord je n'ai pas écrit que la souffrance masculine était exagéré mais surepresenté. Ensuite les hommes ont interdit aux femmes d'intégrer des emplois dans lesquels il faut faire la démonstration de force dont : l'armée, pompier, maçon, éboueurs . Le nombre d'homme tué à la guerre est l'illustration du sexisme.(voir marie marvingt par exemple qui a du se déguiser en homme pour faire la guerre, mais virée par des hommes) Mais je te rassure via l'impulsion donné par le mouvement féministe des femmes ont rejoint la diplomatie qui a permit de régler des conflits sans actions militaires. De rien) Ainsi que les autres métiers mais les hommes continuent à leur interdire ses emplois "masculins" par sexisme. Si tu veux chouiner vois avec les hommes qui interdisent certains emploi aux femmes parce ce que femmes. Quant au nombre de SDF, en réalité il est avéré que le comptage du nombre de femmes sdf est impossible, car les femmes sdf plus victimes que les hommes sdf de viols et de violences sont obligées d'être toujours en mouvement. Pour le nombre de suicide. Le suicide révèle une souffrance. Les femmes 2 fois plus de tentatives. la souffrance des femmes est donc plus importante chez les femmes. Mais bon, j'écris ça pour rien, vu la malhonnêteté intellectuelle qu'il faut avoir pour oser mettre le sexisme dont son victime les femmes sur le dos des femmes...

    • @tadamyen1006
      @tadamyen1006 Před 4 lety +2

      @John D'eau les hommes par sexisme, ont interdit (et continuent ) aux femmes l'emploi, notamment les emplois considérés "virils" par les hommes, comme : militaire et maçon, ça s'appelle la ségrégation professionnelle. Je te rappelle que pendant la guerre les femmes faisaient tous ces métiers, au retour de guerre les hommes les ont virés. Le pourcentage d'homme décédés à la guerre et victime d'accidents de travail est dû au sexisme des hommes. Voir le parcours de madame Marie Marvingt qui a dû se déguiser en homme pour participer à la guerre. Mais a été viré dès que l'on a su que c'était une femme. Je te rassure. Grâce aux féministes la proportion de femme dans les métiers cités augmente, mais les hommes font obstacle. Concernant les suicides. Les femmes font 2 fois plus de tentatives. Et si les raisons de suicides chez les hommes n'ont rien a voir avec leur relation avec les femmes. Les causes de suicide chez les hommes étant : difficultés socio-professionnelle, maladie mentale/handicap et addiction. Les femmes se suicide pour : difficultés familiales, abus sexuelle.

    • @machouilleur33
      @machouilleur33 Před 4 lety

      @@tadamyen1006 Bien que certains de vos propos dévoilent une vérité cachée, vous penchez beaucoup trop vers les généralités(mettre la majorité des hommes dans la même case), ce qui marque un grand manque de sérieux.

    • @tadamyen1006
      @tadamyen1006 Před 4 lety +1

      @@machouilleur33 Les hommes ont institués des lois, des religions, des cultures pour hiérarchiser les femmes et les hommes dans des classes sociales. Tout hommes fait partie de la classe sociale des hommes, oppressant la classe sociale des femmes. Que cela soit du mec violent au mec qui bénéficie d'un poste de cadre au détriment d'une femme, et cela sans même parler des privilèges et de l'exploitation quotidienne des femmes par les proches mâles.

  • @alexisgouet1437
    @alexisgouet1437 Před 5 lety +5

    Ça fait du bien d'entendre une chaîne avec moins de bêtises dans les commentaires, là, mais c'est pas pour ça qu'il en faut pas du tout, des commentaires !
    Merci et continuez !

    • @_urbania
      @_urbania  Před 5 lety +2

      Merci! On essaie de garder ça propre, mais c'est pas toujours facile.

    • @goldnwar
      @goldnwar Před 4 lety

      y'a suffissement de bêtises balancer dans la vidéo pour pas en rajouter en commentaire

  • @jemarchelentement4111
    @jemarchelentement4111 Před 5 lety +3

    Excellent ! (Comme toujours) : clarté, précision et humour. Merci .

  • @brazzierbwakayiman4051

    Ben tu vois si tu te présenterai en politique c sur je voterai pour.. toi mm si t un gars😉. T'as le coeur à la bonne place et le courage de regarder les choses en face et c avant tout ca ki fait de nous des Hommes 💪 Bigup ya

  • @Charles-zm4ot
    @Charles-zm4ot Před 5 lety

    L'expression de la liberté trouve sa légitimité dans des causes extérieures.
    L'idée de se faire dire quoi faire (que ce soit par un humoriste, un homme, une femme, la norme) peut nous choquer. Nous le savons bien ce que nous voulons. Les premières fois qu'on ressent de se faire dicter les choses, c'est par nos parents, qui illustrent une certaine autorité.
    Mais pour dire "non" une première fois, ou pour s'opposer, il ne suffit que de se sentir légitime afin de se révolter comme ce qu'on s'imagine l'autorité et qui est extérieure à soi. On dit alors "non" au parent, mais avec des mots plus raisonnables. En ce sens, n'importe quelle raison, fréquente dans la société, peut motiver une personne ou un groupe de personne à se sentir légitime de sa cause:
    d'un groupe d'homme associée à l'emblème de meute où la société ne perçoit que des cris et ridiculise la crise en méprisant ce qu'ils n'arrivent pas à exprimer jusqu'au groupe de femmes tristes qui n'ont plus de mots pour exprimer leur situation: ces deux pôles n'ont plus l'autorisation du langage pour exprimer leurs profondes impressions.
    Dans les deux cas, on perçoit par un stéréotype: la Femme domine, l'homme est dominé. Ou l'inverse; ça dépend des perceptions et des logiques auxquelles ont est attachés. La question commune, à se poser à titre individuel, est de se demander: comment se sortir de ces rôles serrés et éviter d'amplifier les stéréotypes de domination?
    Il vient alors à l'esprit de prendre sérieusement la question sous un nouvel angle: qu'est-ce qui me sécurise, ou plutôt: qu'est-ce qui me donne de la confiance? Suis-je capable de voir des hommes qui ne dominent pas et les en remercier. Suis-je capable de voir des femmes qui ne castrent pas et les en remercier?
    Ou dois-je plutôt m'attacher à l'idée que l'homme est castré et que la femme est dominée, dans les deux cas, par le sexe "opposé"? Ou est-ce un cas de bonne conscience qui cherche à amplifier ce stéréotype dont je me plains et que je déplore, mais qui, lorsqu'exprimé cristallise la réalité des mêmes mots, des mêmes idées déplorées.
    L'idée que "c'est la faute de la femme" ou l'idée que "c'est la faute de l'homme", il faut absolument les transformer, savoir voir en quoi elle parle de soi et de nous.
    Ces chagrins intimes et impressions diverses se copient d'une génération à l'autre et nous avons un travail d'imagination à défaire et à refaire afin d'exprimer notre propre autorité; pour écrire les pages de nos vies collectives. En tant que femme, en tant qu'homme.
    Car l'autorité, c'était en premier lieu ce qui nous permettait de la nouveauté: ce n'est que l'espoir de trouver la nouveauté à l'extérieur de soi qui nous fait se sentir légitime de se révolter contre ce que nos percevons être la source de nos dramatiques tristesses.
    L'autorité se confond avec la nouveauté et nous avons l'attente que la société ou telle entité nous donne ce qui nous est du. Ça parle de soi: et comment trouver ce qui nous est du et se le donner soi-même? S'il n'y avait pas cette société imaginée, y aurait-il des devoirs personnels de s'écouter et oserions-nous s'autoriser soi-même à tourner la pages vers des manières d'êtres plus saines?

  • @jftruthseeker989
    @jftruthseeker989 Před rokem

    Je déteste l’époque dans laquelle je vis. Les discours populaires d’aujourd’hui dans les médias et maintenant ancrés dans l’inconscient collectif me rendre cynique , et si tu as le malheur d’avoir une opinion et qui n’est pas celle du discours populaire, tu es en proie à toute la vicissitude humaine. Ce n’est pas compliqué, dans la vie si tu n’a pas de respect , bien frappe ton mur pour apprendre à vivre. Le féminisme est devenu toxique , le discours populaire parle toujours avec insidieuses insinuations. Avant, la réalité des hommes était beaucoup moins reluisante de ce que l’on parle de partout aujourd’hui. Ce discours comme quoi les hommes on écrasés lea femmes depuis toujours, je n’y adhère pas du tout et la société “patriarcale” était la réalité de 2% de la société, l’aristocratie et les dynasties familiales de businessman. Les deux sexes ont soufferts . Les hommes travaillaient du matin au soir dans des conditions épouvantables pour apporter le pain sur la table et ils servaient de chair à canon . Aujourd’hui, on peut faire croire n’importe quoi en cours contre l’homme et il finira par perdre tout ce qu’il a construit et s’il se révolte, il vivra la double peine et risque d’être considéré ce qu’il n’est pas un gros violent. avec des problèmes mentaux. J’ai vécu une histoire du genre et j’ai perdu tous mes liens sociaux qui définissaient mon identité, qui m’étaient chers . J’ai vécu et vis toujours de la solitude horrible . Quand j’ai voulu qu’on m’écoute, on a diminué ma souffrance et agis avec mépris. Un homme à notre époque qui a le malheur de tomber dans le gouffre n’a aucun soutien et il finit aux oubliettes. Je sais maintenant ce que veut dire l’aliénation , malgré le fait que je travaille et contribue à la société, c’est comme si on m’avait interdit le principal, d’avoir une vie sociale, d’avoir des liens structurants et une famille. Quand des gens me font la morale et qui eux-mêmes sont entourés d’une famille , je me demande bien pourquoi je suis si cynique

  • @gillesmorneau9239
    @gillesmorneau9239 Před 5 lety +8

    Juste au sujet du suicide...
    Si je comprend bien l'argument présenté ici, si un problème existe depuis des siècles, il ne vaut pas la peine d'être discuté, c'est bien ca. Donc les hommes se suicidait et c'est comme ca, ils continuent à le faire.
    Avec cette mentalité, c'est à se demander pourquoi on a commercialisé la pénicilline, les antibiotiques... Les femmes mourrait du cancer du sein et la médecine a fait des progrès immense. Imaginez si quelqu'un aurait dit il y a 50 ans "Les femmes meurent de ca depuis toujours, pourquoi faire un effort pour que ca change?"

    • @ChristopherCompagnon1AndOnly
      @ChristopherCompagnon1AndOnly Před 4 lety

      Oui, c'est une constante : quand c'est un homme, c'est pas grave. Il peut mourir, tout le monde s'en moque, c'est normal. Son rôle (pour le coup, le rôle de genre ne pose pas de problème) est de se sacrifier.

    • @tadamyen1006
      @tadamyen1006 Před 4 lety +3

      1. pas étayé car ....: Ce n'est pas le sujet de la capsule. 2. Les études sur les suicides démontrent que les hommes se suicident pour : manque d'argent/isolement professionnel (ce qui n'a aucune relation avec les femmes), addiction (aucune relation avec les femmes), maladie mentale (aucune relation avec les femmes). Mais puisque tu insistes. Les femmes se suicident/tentent de se suicidé : à cause des violences sexuelles subies (relation direct avec les hommes), à cause des pressions familiales (relation direct avec les hommes.)

    • @florencedaunais2918
      @florencedaunais2918 Před 3 lety +2

      Le point c'est que ce n'est pas à cause du féminisme que les hommes se suicident... d'ailleurs ce sont les hommes qui sont majoritairement propriétaires d'armes (à feu) et c'est une des raisons qui expliquent pourquoi les tentatives de suicides des hommes sont plus souvent concluantes

    • @florencedaunais2918
      @florencedaunais2918 Před 3 lety +1

      Ce n'est pas parce que ça dure depuis des siècles que ça ne mérite pas d'être discuté, au contraire, mais il ne faut pas symétriser les problèmes des hommes (qui sont malgré tout en position dominante) aux problèmes des femmes.

  • @studywith7983
    @studywith7983 Před 5 lety +1

    Je trouve le vidéo intéressant. L'extrait suivant (Les filles ont toujours eu plus de succès à l'école) (tiré d'un extrait de ce vidéo, 1min 57) me fait drôlement penser au statu quo des personnes qui considèrent les inégalités salariales entre les hommes et les femmes comme un phénomène naturel et acceptable (Les gars ont toujours eu plus de capacités à gagner de l'argent) (tiré d'un extrait d'un discours d'un gars frustré avec une bière de trop dans une brasserie douteuse). Heureusement, plusieurs politiques, lois et mouvements sociaux, combattent de plus en plus les inégalités salariales entre les hommes et les femmes, afin d'atteindre un jour (j'espère qu'il arrivera le plus vite possible) l'égalité entre les sexes! Cependant, et ce sans désire de nuire à l'émancipation des femmes, je me demande s'il serait possible d'observer le phénomène suivant (prenant en considération que les garçons ont toujours eu moins de succès à l'école):
    Nous assistons à des mesures (des bourses d'études dédiées exclusivement pour les femmes, sans équivalence pour les hommes) qui invitent les femmes à entreprendre des études supérieures, et ce dans plusieurs disciplines. (Personnellement, je trouve cette mesure adéquate et intéressante, dans l'optique qu'elle contribue à l'émergence et à l'insertion des femmes dans les métiers traditionnellement masculins). Toutefois, je me questionne sur le (pourquoi) de l'absence de ce type de mesure pour contribuer à l'émergence et à l'insertion des hommes dans les métiers traditionnellement féminins.
    Cette perception pourrait être complètement biaisée, donc j'ai décidé d'écrire (Bourse d'étude pour les femmes au Québec) et de vérifier la première page que m'offre le moteur de recherche (Google) sur le sujet. Voici les résultats obtenus:
    - Bourses d'études de l'association des femmes diplômées des université- section Québec (AFDU Québec). Montant de la bourse : Plusieurs bourses de montant variable. Critères : Étudiante temps plein à l'Université Laval, dans l'un des trois cycles. Aucune restriction sur la nature du programme d'étude. (Source : repertoire.bbaf.ulaval.ca/bourse/35368/bourses-detudes-de-lassociation-des-femmes-diplomees-des-universites-section-quebec-afdu-quebec).
    - Bourse d'études de la fédération canadienne des femmes diplçomées des université (FCFDU). Montant de la bourse : Plusieurs bourses de montant variable. Critères : Étudiante temps plein à l'Université Laval, soit au programme de deuxième ou troisième cycles. Aucune restriction sur la nature du programme d'étude. (Source : repertoire.bbaf.ulaval.ca/bourse/41811/bourses-detudes-de-la-federation-canadienne-des-femmes-diplomees-des-universites-fcfdu-automne-2018).
    - Bourse de l'Université de Montréal, pour les femmes / Fondation Léa-Roback. Montant de la bourse : Jusqu'à 3 500$. Critères : Étudiante qui poursuit des études se situant entre l'alphabétisation et le premier cycle universitaire. Aucune restriction sur la nature du programme d'étude. (Source : www.bourses.umontreal.ca/details.asp?id=1054).
    - Bourse de HEC Montréal, bourses destinées aux femmes poursuivant des études dans le secteur des Marchés financiers. Montant de la bourse : Trois montant de 10 000$. Critères : Étudiantes aux études supérieures. Nature du programme : Secteur des Marchés financiers. (Source : www.hec.ca/etudiants/financer-mes-etudes/bourses/bourses-organismes-externes/).
    - Bourse de Polytechnique Montréal, bourse de la fédération canadienne des femmes diplômées des universités. Montant de la bourse : Plusieurs bourses totalisant 100 000$. Critères : Étudiante à l'université. Aucune restriction sur la nature du programme. (Source : www.polymtl.ca/aide-financiere/bourses/recherche).
    - Bourse de l'Université de Sherbrooke, bourse de la Chaire pour les femmes en sciences et en génie au Québec. Montant de la bourse : Cela dépend de la bourse, il y en a 4 différentes réservées aux femmes. Critères : Étudiante dans le domaine des sciences et en génie. (Source : cfsg.espaceweb.usherbrooke.ca/bourses-et-concours/).
    - Bourse de la fondation Lea Roback, comprenant une bourse générale et deux autres bourses, la bourse Madelaine-Parent et la bourse Hélène-Pedneault. Montant de la bourse : de 1 000$ à 3 500$ pour les bourses générales et 2 000$ pour les deux autres bourses. Critères : Étudiante qui désirent poursuivre un projet d'études. Aucune restriction sur la nature du programme d'étude. (Source : www.fondationlearoback.org/bourse.htm).
    - Bourses d'excellence en études féministes de la Fondation de l'UQÀM. Montant de la bourse : Cela dépend des bourses, huit bourses sont présentés sur ce domaine d'étude. Critères : Le sexe n'est pas mentionné. La personne doit étudier dans un programme d'études féministes. (Source : iref.uqam.ca/etudes/bourses-detudes.html).
    Fin des résultats et j'étais heureux de voir que des centaines de bourses pouvaient aider des femmes du Québec à accomplir leurs rêves!
    Maintenant, j'ai tenté l'expérience avec les mots suivant (Bourse d'étude pour les hommes au Québec) et j'ai également vérifier les résultats que m'offre le moteur de recherche (Google) sur le sujet. Voici les résultats obtenus :
    - Aucune bourses... Sérieusement, j'en suis impressionné. Le seul article qui parle d'une bourse d'étude pour les hommes est de (Impact Campus), elle raconte que cette bourse a été annulée, car elle a été jugée discriminatoire par l'Université Laval. (Source : impactcampus.ca/actualites/bourse-detudes-masculine-comprendre-le-dossier-andre-gelinas/).
    En résumé, je trouve le vidéo intéressant.

    • @lunelie7724
      @lunelie7724 Před 5 lety

      En voulant créer de l'égalité, ça ne créer que plus d'inégalités. Quand pour compenser des inégalités, on offre plus de droits, arrive un jour où ça va coincer.

    • @tadamyen1006
      @tadamyen1006 Před 4 lety +3

      -_- hop là. l'inégalité vu par un masculiniste. fatigue. La norme est masculine, la définition que vous "donnez" de l'égalité est que pour que les femmes obtiennent "l'égalité" elles doivent se conformer à la norme masculine. Cette Définition masculiniste réclame que l'on ignore le système. Un système qui est défavorable aux femmes. La décision de facilité l'accès à l'éducation pour les femmes est impulsé par la reconnaissance que les femmes sont par leurs statut de femmes défavorisées (harcèlement, sexisme etc.) . C'est le principe d'équité.

    • @machouilleur33
      @machouilleur33 Před 4 lety

      @@tadamyen1006 Le principe d'équité ? Pas du tout. Si on veut vraiment faciliter l'accès à l'éducation et au travail pour les femmes, il faudrait plutôt punir les écoles et les entreprises sexistes.

  • @loewen486
    @loewen486 Před 5 lety +4

    Le féminisme politique et ses trois vagues a rendu palpables des conséquences objectives positives mais aussi négatives. Il est donc possible pour les hommes de noter l'évolution des choses au moins sur une génération. Comparez par exemple la masculinité des hommes dans les reportages des années 70 et ceux des années 2010. Vous verrez une féminisation des hommes tout à fait réelle. Concomitamment, la période correspond à une diabolisation croissante de la masculinité par les féministes. Les hommes ont de plus en plus peur d'assumer leur masculinité. Celle-ci étant montrée du doigt comme l'origine de tous les maux possibles.
    Il y a aussi le durcissement de la dissymétrie de la législation sur les divorces, la diabolisation du père, le durcissement du féminisme vindicatif anti-masculin qui a influencé le comportement des femmes et a dégradé les relation h/f. Chute de la natalité, des mariages, augmentation exponentielle du célibat sont des conséquence de cette dégradation.
    Notez aussi les orientations anthropologiques fortes du féminisme politique au pouvoir qui pousse à l'eugénisme par la procréation médicalement assistée, la marchandisation du corps de la femme par la gestation pour autrui. Sans sourciller d'un poil sur le plan éthique et moral.
    Et plus récemment encore, les conséquence du #metoo qui a marqué un changement significatif des hommes dans le sens d'une crainte réelle de draguer, de collaborer au travail avec les femmes, d'interagir sans crainte avec elles en général de crainte d'être mal interprété ou d'être accusé à tort de harcèlement. Le discours féministe a été odieux à l'égard des hommes coupables de tout. En encourageant la délation, les accusations publiques par le tribunal de l'opinion numérique.
    Donc oui cher Monsieur, le féminisme est en train de mener les hommes à la ruine mais aussi les femmes qui pour l'instant ne le réalisent pas.

    • @tadamyen1006
      @tadamyen1006 Před 4 lety +2

      Qu’est ce que tu appelles la “masculinité” des années 70? Ne pas faire les repas pour les enfants? Ne pas s’occuper des enfants? Empêcher les femmes de travailler? Ce qui s’oppose à ton ouin ouin du paragraphe 2
      En effet post - droit aux femmes d’être mère a égalité avec les pères a été autorisé par les hommes de manière très tardive. La parentalité était exclusivement masculine. Preuve que les hommes n’ont jamais défendu l'intérêt des enfants. Et c’est une fois que l’autorité parentale masculine n’a plus été exclusive qu’est né le concept du “papa poule” propagé dans les médias, loin des réalités statistiques et historiques de l'exercice de la paternité.
      Nous sommes en surpopulation mondiale, la chute de la natalité est bénéfique (les femmes ne sont pas des ventres), la chute des mariages assure la chute des divorces (dont tu te plains) l’augmentation des célibataires assure la baisse des violences conjugales et viols conjugaux.
      Tout féminisme est politique puisque vise un changement socio-économique.
      #metoo a envoyé un message à la société : l’impunité pour les violents, les violeurs ne seras plus la règle.
      Seul les violeurs, violents ont des craintes.
      Comme toutes avancées sociétales vers plus de paix et d’égalité, telle que l’abrogation de la peine de mort, la condamnation de l’inceste, droit des enfants et tous les droits acquis, celle ci est impulsé par les femmes, modifiant l’opinion public pour que des lois suivent.
      Jamais les lois ont anticipé une évolution sociétale, la législation ne fait que suivre.
      Post lutte féministe des années 60-70, jamais les pays occidentaux n'ont connu de période de paix aussi longue.

  • @AviLOrkQ
    @AviLOrkQ Před 4 lety

    Ce que j'en ai remarqué, la majorité des gens (hommes et femmes) n'ont pas la bonne définition de ce qu'est un homme, être viril. La définition de la majorité est superficielle, gros pénis, cogner fort, écraser les autres, gros chars, etc. C'est le plus grand fléau de l'humanité. Collectivement, cette idéologie nous empêche d'atteindre une réelle étoffe, car nous valorisons le mensonge et ridicullisons le vrai. Meilleure exemple, la réaction face à la pub de Gillette.

    • @machouilleur33
      @machouilleur33 Před 4 lety

      Votre démonstration de la masculinité stéréotypée n'est pas du tout celle de l'humanité. Ce serait affirmer que toutes les cultures voient la masculinité de la même façon.

  • @lafrancetartuffe
    @lafrancetartuffe Před 5 lety +5

    Le patriarcat vaut mieux que le maternalisme

    • @tadamyen1006
      @tadamyen1006 Před 4 lety +2

      le patriarcat cause des millions de mort. le "maternalisme" zero.

    • @satyalouis-guepin7692
      @satyalouis-guepin7692 Před 4 lety

      ​@@tadamyen1006
      Il faut aller dire ça aux millions de bébés que les femmes avortent dans la plus grande brutalité.
      Le féminisme a réussi à faire adhérer à la quotidienneté de la barbarie la plus odieuse.
      Le patriarcat octroie à ses victimes des sépultures décentes, tandis que les féministes
      jettent leurs bébés dans leurs toilettes, juste à côtés de leurs étrons.
      #ignoble

    • @tadamyen1006
      @tadamyen1006 Před 4 lety +4

      @@satyalouis-guepin7692 1. n'utilises pas de mots que tu ne comprends pas, c est gênant (féminisme/patriarcat). 2. la première cause d'avortement est le rapport sexuel avec un homme et l'absence de contraception masculine. 3. l'avortement est de cause patriarcale : viol, interdiction de contraception, politique d'enfant unique, naissance sélective selon le genre, les naissances illégitimes (honneur familiale), pression familiale, sociale etc..Les sociétés patriarcales poussent les femmes a l'avortement.
      Par exemple, chez les Yanomami (Brésil), lorsqu’une grossesse n’est pas désirée-cause de régulation ou d honneur masculine-, la société patriarcale encourage la femme à travailler au sixième ou septième mois de grossesse. 4. l'interdiction d'avorté est cause de mortalité. 5. l'avortement ne tue aucun bébé, pas plus que la masturbation est un génocide, et que la fellation du cannibalisme. Pour le peu de dignité que tu peu avoir garde le silence.

  • @scampifrity
    @scampifrity Před rokem

    En gros ce que tu dis c'est que ya rien là. Yen a pas de crise!? Tu essaie pittoyablement de minimiser l'impact du hookup culture, le privillège feminin, la dernière vague du féminisme., la pression sur les hommes. Oui tu as une belle plateforme pour passer des messages avec toute ton équipe et ta technique. En réalité tu es un homme qui n'est pas à l'abri de tout perdre après que ta femme parte avec un autre. Le best moment de ton clip c'est à partir 4:34 pendant 8 secondes et il n'y a absoluement rien de drôle la dedant, penses-y un instant. Seulement les femmes ( et les hommes friendzonés-betas-roses) peuvent rire .

  • @rico341
    @rico341 Před 4 lety +3

    Ce canadien est une femme bien

  • @stef2427
    @stef2427 Před 4 lety +4

    😂 Comme si ce personnage est bien placé pour parlé de la masculinité. Faut dire qu’à Urbania, il n’y a pas beaucoup de testostérone pour en parler de façon sérieuse. Continuer de manger du tofu pour combler votre niveau d’œstrogène.

  • @forgespellidesign
    @forgespellidesign Před 3 lety

    Quel manque d'empathie, Non les hommes ne sont pas de moumoune qui se plaignent pour rien. Tu devrait aller voir dans des groupe d'homme et tu verrais que leurs souffrances est réelles. Arrete de regardé des videos et va dans la vraie vie. Et non ce n'est pas la faute des féministes, et lâche moi avec le Patriarcat.