Se acelera siempre con un poco de freno, para evitar, al estar tan bajo, la falta de viento y la plegada frontal que a esa altura no se puede recuperar y luego aterrizaje con viento de culo, peligroso con arboles y piedras en el aterrizaje, menos mal que no había mucho viento.
Quand on fait une fermeture asymétrique l'aile tourne (surtout ici, rotation très rapide), donc on perd son "cap" (sa direction). La règle est de retrouver en priorité un cap correct (bon mais ici pas trop de danger, il n'y avait pas de relief à proximité qu'on risquerait de percuter comme c'est le cas lors d'un soaring le long d'une falaise).
C'était une journée très thermique, j'avais pris du +5m/s soutenu au Pic des Mouches et ça thermiquait aussi sur l'atterro de l'observatoire donc il faut tenir son aile, ce que je ne fais pas (on voit que mes mains tiennent les 2 élévateurs ensemble au lieu de "sentir" l'aile aux freins ou aux arrières). Or l'accélérateur change l'incidence avec un risque de fermeture accru. Donc c'est la combinaison de ces éléments qui crée la fermeture (et surtout l'accélération car franchement, non accélérée mon aile ferme très peu et généralement les bouts d'aile seulement).
@@helenemassi Non, là je planais tranquillement (!) vers l'atterro. Mais je venais de faire mon vol du Pic des Mouches qui était très thermique (du +5m/s) donc ces jours là il faut rester méfiant, on peut entrer dans un thermique ou une "dégueulante" sans que ça prévienne, donc il faut être prêt à contrer un mouvement d'aile brutal.
Aile Gin Atlas (version 1), homologuée B. Une aile très saine et plutôt perfo pour sa catégorie, qui ferme peu mais prévient souvent (bouts d'ailes qui ferment, sans conséquence), sauf ici où elle a fermé d'un coup.
@@rems7474 Comme je fais qq petits cross de temps en temps, je vole en conditions thermiques, heureusement. Une fermeture asymétrique (ou autre incident de vol), ça arrive, on n'arrête pas de voler pour autant !
Je croyais que les nouvelles voiles de parapente ne ferme plus ??? 😂😂😂 Ça reste du tissu et de la ficelle !! Le delta est un engin plus sûr, c'est une aile avec plus de finesse et de vitesse.. donc moins de risque !!
Ouais... le delta peut faire un "tumbling", pas cool non plus. Ensuite ça dépend du niveau d'homologation de l'aile de parapente: A ou B, pas trop à craindre en général (sauf près du relief), C et au-delà, c'est plus pointu donc faut savoir bien gérer.
Se acelera siempre con un poco de freno, para evitar, al estar tan bajo, la falta de viento y la plegada frontal que a esa altura no se puede recuperar y luego aterrizaje con viento de culo, peligroso con arboles y piedras en el aterrizaje, menos mal que no había mucho viento.
Ah oui effectivement, ça c'est fait ;-)
Je pense que c' est une Gin Carrera 1. en tout cas, très sage lors de la fermeture...
On entend bien le vario au sol qui fait office de cardio :)
Bonjour, tu accélères au second barreau?
Bonjour, oui, à fond, ce qui n'était pas du tout utile ici. Lors d'une journée très thermique (et près du sol), c'est à éviter....
Bonjour,
Le gars au sol dit le cap , ça veut dire quoi exactement ?
Quand on fait une fermeture asymétrique l'aile tourne (surtout ici, rotation très rapide), donc on perd son "cap" (sa direction). La règle est de retrouver en priorité un cap correct (bon mais ici pas trop de danger, il n'y avait pas de relief à proximité qu'on risquerait de percuter comme c'est le cas lors d'un soaring le long d'une falaise).
Bonjour, ça c'est a cause d'accélération ?
C'était une journée très thermique, j'avais pris du +5m/s soutenu au Pic des Mouches et ça thermiquait aussi sur l'atterro de l'observatoire donc il faut tenir son aile, ce que je ne fais pas (on voit que mes mains tiennent les 2 élévateurs ensemble au lieu de "sentir" l'aile aux freins ou aux arrières). Or l'accélérateur change l'incidence avec un risque de fermeture accru. Donc c'est la combinaison de ces éléments qui crée la fermeture (et surtout l'accélération car franchement, non accélérée mon aile ferme très peu et généralement les bouts d'aile seulement).
@@eddyparapente483 bonjour,
Ça thermiquait donc vous montait?
@@helenemassi Non, là je planais tranquillement (!) vers l'atterro. Mais je venais de faire mon vol du Pic des Mouches qui était très thermique (du +5m/s) donc ces jours là il faut rester méfiant, on peut entrer dans un thermique ou une "dégueulante" sans que ça prévienne, donc il faut être prêt à contrer un mouvement d'aile brutal.
Aile ?
Aile Gin Atlas (version 1), homologuée B. Une aile très saine et plutôt perfo pour sa catégorie, qui ferme peu mais prévient souvent (bouts d'ailes qui ferment, sans conséquence), sauf ici où elle a fermé d'un coup.
Même pas peur ! 🥵 😁
Euh... si, un peu quand même ! D'abord ça secoue, ensuite c'était près du sol.
@@eddyparapente483 Je suis contant que ça se soit bien passé. Je te souhaite de bons vols..... le soir en restite . 😁
@@rems7474 Comme je fais qq petits cross de temps en temps, je vole en conditions thermiques, heureusement. Une fermeture asymétrique (ou autre incident de vol), ça arrive, on n'arrête pas de voler pour autant !
Je croyais que les nouvelles voiles de parapente ne ferme plus ??? 😂😂😂 Ça reste du tissu et de la ficelle !! Le delta est un engin plus sûr, c'est une aile avec plus de finesse et de vitesse.. donc moins de risque !!
Ouais... le delta peut faire un "tumbling", pas cool non plus. Ensuite ça dépend du niveau d'homologation de l'aile de parapente: A ou B, pas trop à craindre en général (sauf près du relief), C et au-delà, c'est plus pointu donc faut savoir bien gérer.
Hahaha, fait du vol rando avec ton delta 😝😝😝😝
@@fabioneuensch Mais toi à côté de moi en vol et on verra qui va le plus vite 😜🖕😘🖕
Ton cerf-volant en forme de méduse reste loin derrière 💪🤣
Les gars si vous voulez une aile qui ferme pas et faire du vol rando, essayez le planeur !