Agriculture mondiale : nourrir ou verdir, quel choix ? Avec Sébastien Abis | Entretiens géopo

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  • čas přidán 5. 09. 2024

Komentáře • 16

  • @legrandsilence6901
    @legrandsilence6901 Před rokem +3

    Alors si vous arrivez dans un cycle de plusieurs vidéos à mettre en évidence la synergie entre industrie agricole et industrie de l'armement depuis un siècle je vous tire mon chapeau.

  • @francissoulard6874
    @francissoulard6874 Před rokem +1

    Rafraichissant d'avoir un européen qui a enfin une position stratégique et ambitieuse pour l'Europe! Bravo! Cela fait changement de ceux qui élucubrent sans fin et piétinent un pas devant un pas derrière sans jamais oser quoique se soit pour placer l'Europe comme acteur majeur sur la scène internationale.

  • @ec5wjk3
    @ec5wjk3 Před rokem +2

    Merci, entretien passionnant. L'Algérie mise sur "l'agriculture saharienne" alors qu'il y a un gros rabattement de la nappe phréatique locale. Djamel BELAID auteur de "L'agriculture en Algérie. Ou comment nourrir 45 millions d'habitants en temps de crise" Editions l'Harmattan (Paris), 256 pages, octobre 2021.

  • @bill8573
    @bill8573 Před rokem +1

    Si ça marche dans le métavers mais pas dans les sols réels, on pourra toujours manger des pommes à la fraise du métavers. Je préconise aussi de transférer les terres sur lesquelles spéculent les fonds d'investissement dans celles du métavers. Après tout, des dollars gagnés dans le métavers valent bien les autres

  • @chicototo4755
    @chicototo4755 Před rokem +5

    Bonsoir P.Boniface, merci pour vos vidéos même si celle-ci n'est hélas pas au niveau.
    Faut-il s'étonner de voir à quel point votre Déméter s'offusque du conflit OTAN-Russie pour le blé ukrainien ...sans évoquer une seule fois la bourse de Chicago qui fait les cours mondiaux depuis des lustres.
    Sait-il au moins que sans le gaz du NordStream saboté par "le camp du bien", les européens auront aussi moins d'azote, donc moins de biomasse, donc moins de méthanisation ou d'éthanol pour compléter le mix énergétique et alimenter leurs transports (dont on se cogne comparativement aux surfaces nécessaires et à la bouffe)
    Ravi qu'il ait découvert que la techno permet depuis 20ans de gérer des fermes en milliers d'Ha avec un algo et des tracteurs robots.
    Faudra probablement en attendre autant pour lui demander un avis éclairé sur la résilience des monocultures.

    • @gregorygadret5197
      @gregorygadret5197 Před rokem +2

      Sans compter que la sortie des ports ukrainiens étaient minés par...les ukrainiens !

  • @bbbenj
    @bbbenj Před rokem

    C'était passionnant, merci.

  • @jeanbon8375
    @jeanbon8375 Před rokem +1

    J'ai hate de voir la réponse... La seule réponse possible est "on a pas le choix de faire les 2".

  • @Jaguar1910
    @Jaguar1910 Před rokem +1

    On fait les deux on ne choisit pas. Par contre on met fin à l'accumulation sans limite de richesses qui ne correspond à rien et qui est indécente.

  • @toufik9495
    @toufik9495 Před rokem +1

    On peut faire les deux
    Ce qui n'est pas normal c'est le local coûte plus cher que l'importé ...
    Tout le monde court à produire pour l'exportation.
    Les hectares achetés et marqué par les multinationales doit cesser comme les vignobles achetés et abandonnés par certains fond d'investissements qu'on peut rebâtir en fond de destruction.
    Multiplié les jardins collectifs et inciter à la création des potagers en zone populaire les bobos n'aiment pas se salir.
    Lâcher l'affaire des pesticides sans attendre le feu vert de bruxelle.
    Inciter les ventes de l'agriculteur au consommateur. Pour éviter les culbutes des négociants et grande surface.
    Promouvoir le local à tout les niveaux.
    Etc etc etc etc etc etc etc
    Etc etc etc

  • @toufik9495
    @toufik9495 Před rokem

    Se nourrir et verdir à la fois du moment que les pesticides ne remplace pas l'eau d'irrigation.