Merci d'attirer l'attention de Me Nganga, et ce n'est pas son tort, voir notre système éducatif et son Etat. Qu'il me permette de rappeler la notion de "succession d'Etat". Le droit congolais, à quelque exception près, relève du droit français, pensé, élaboré et applicable aux Français et à l'État français, au-delà du français, déjà insuffisamment enseigné dans le cycle secondaire français. Ainsi, les Etats francophones d'Afrique et leurs élites, à ce jour, appliquent dans l'inconscient, un droit qui leur est étranger, malgré l'universalité de certains principes notamment occidentaux. A cela, s'ajoutent les problèmes que soulèvent la langue officielle et la dépendance des sciences et technologies : le Congo Brazzaville, malgré ses scientifiques et ingénieurs, ne sait pas fabriquer la moindre machine-outil. D'où l'incapacité de fabriquer un cahier, un crayon...un barrage électrique. Le peuple congolais, à commencer par ses élites, ne maître toujours pas la simple situation d'énonciation, l'argumentation et les procédés littéraires qui entourent la communication de tout message. Des relations internationales, au-delà des philosophies ethniques et régionales - langues, dialectes, patois congolais vivants et très dynamiques et la langue française. Aussi, les projections et solutions que proposent les élites noires africaines y compris Me Nganga, relèvent, me semble-t-il, de l'idéal inaccessible, les courants de pensée ne cernent guère la réalité des Etats d'Afrique noire. Réfléchir comme le suggère Thierry Michalon, sur une révolution industrielle, une révolution culturelle en repensant l'État, me paraît plus fondé que le réel de l'illusion des solutions proposées par les élites noires africaines. Du reste, certes, tout développement n'est pas linéaire, tout ne se réinvente pas non plus. Si vous n'êtes pas capables, d'explorer et d'exploiter vos propres richesses naturelles, comment arriver à une révolution grâce au droit en oubliant les principes qui gouvernent ce droit, en lien avec les découvertes scientifiques. Les arguments, prolepse oblige, soutenus par les élites noires africaines mettent en relief la dialectique éristique. Pour espérer modifier la réalité des faits, de données naturelles et permettre aux individus de se réaliser, en accédant aux produits et services élémentaires, suppose une maîtrise minimale de savoirs scientifiques et technologiques. Déclarations et discours n'ont jamais rien modifié, ni les prières et dénonciations. Barrages électriques...papier hygiénique, fusils, chaussures...quand bien même nous aurions des usines et fabriques sur le sol d'Afrique noire, la dépendance cognitive demeure manifeste mais, elle n'est pas perçue par les élites noires africaines qui, dont aussi incapables de voler le moindre secret de fabrication industriel. Aujourd'hui, les établissements supérieurs pleuvent au Congo Brazzaville qui a même des académies. Cela fait sourire, quand la devise de l'université Denis Sassou Nguesso est "rigueur/excellence/ lumières. Un centre africain de recherche en intelligence artificielle y a vu le jour. Argumentation, notion littéraire et pataphysique, au-delà de la dialectique éristique.
Voir les publications de Thierry Michalon, professeur de droit public qui était en activité à Ndjamena(Tchad) et à Brazzaville(République du Congo) dans les facultés de droit.
Merci d'attirer l'attention de Me Nganga, et ce n'est pas son tort, voir notre système éducatif et son Etat. Qu'il me permette de rappeler la notion de "succession d'Etat".
Le droit congolais, à quelque exception près, relève du droit français, pensé, élaboré et applicable aux Français et à l'État français, au-delà du français, déjà insuffisamment enseigné dans le cycle secondaire français. Ainsi, les Etats francophones d'Afrique et leurs élites, à ce jour, appliquent dans l'inconscient, un droit qui leur est étranger, malgré l'universalité de certains principes notamment occidentaux. A cela, s'ajoutent les problèmes que soulèvent la langue officielle et la dépendance des sciences et technologies : le Congo Brazzaville, malgré ses scientifiques et ingénieurs, ne sait pas fabriquer la moindre machine-outil. D'où l'incapacité de fabriquer un cahier, un crayon...un barrage électrique. Le peuple congolais, à commencer par ses élites, ne maître toujours pas la simple situation d'énonciation, l'argumentation et les procédés littéraires qui entourent la communication de tout message. Des relations internationales, au-delà des philosophies ethniques et régionales - langues, dialectes, patois congolais vivants et très dynamiques et la langue française. Aussi, les projections et solutions que proposent les élites noires africaines y compris Me Nganga, relèvent, me semble-t-il, de l'idéal inaccessible, les courants de pensée ne cernent guère la réalité des Etats d'Afrique noire. Réfléchir comme le suggère Thierry Michalon, sur une révolution industrielle, une révolution culturelle en repensant l'État, me paraît plus fondé que le réel de l'illusion des solutions proposées par les élites noires africaines. Du reste, certes, tout développement n'est pas linéaire, tout ne se réinvente pas non plus. Si vous n'êtes pas capables, d'explorer et d'exploiter vos propres richesses naturelles, comment arriver à une révolution grâce au droit en oubliant les principes qui gouvernent ce droit, en lien avec les découvertes scientifiques. Les arguments, prolepse oblige, soutenus par les élites noires africaines mettent en relief la dialectique éristique. Pour espérer modifier la réalité des faits, de données naturelles et permettre aux individus de se réaliser, en accédant aux produits et services élémentaires, suppose une maîtrise minimale de savoirs scientifiques et technologiques. Déclarations et discours n'ont jamais rien modifié, ni les prières et dénonciations. Barrages électriques...papier hygiénique, fusils, chaussures...quand bien même nous aurions des usines et fabriques sur le sol d'Afrique noire, la dépendance cognitive demeure manifeste mais, elle n'est pas perçue par les élites noires africaines qui, dont aussi incapables de voler le moindre secret de fabrication industriel. Aujourd'hui, les établissements supérieurs pleuvent au Congo Brazzaville qui a même des académies. Cela fait sourire, quand la devise de l'université Denis Sassou Nguesso est "rigueur/excellence/ lumières. Un centre africain de recherche en intelligence artificielle y a vu le jour. Argumentation, notion littéraire et pataphysique, au-delà de la dialectique éristique.
L'Afrique est en manque de la loi !
Voir les publications de Thierry Michalon, professeur de droit public qui était en activité à Ndjamena(Tchad) et à Brazzaville(République du Congo) dans les facultés de droit.