Réf. 42/52 👑✨ La pulsion chez Freud

LES PROFS DE PHILO, « RABATTEURS » POUR PSYCHANALYSTES ?!?
La théorie de la pulsion chez Freud, concept central de sa #psychanalyse, décrit des forces motrices internes qui orientent le comportement humain vers la satisfaction de besoins fondamentaux. Freud distingue notamment les pulsions de vie (Éros), associées à la survie et à la sexualité, des pulsions de mort (Thanatos), liées à l’agressivité et l’auto-destruction. Cette dichotomie peine à trouver sa place dans le cadre scientifique moderne, où la compréhension du psychisme humain s’appuie sur des données empiriques, et non sur une théorisation abstraite et non vérifiable. Dans l’enseignement de la #philosophie en France, la prédominance de Freud s’apparente à un culte, où le psychanalyste viennois devient la clé de voûte pour aborder toute réflexion sur la psychologie humaine. Cette situation a transformé les professeurs, peut-être malgré eux, en agents de promotion pour une discipline lucrative dont les fondements scientifiques sont régulièrement remis en question. La pulsion freudienne est devenue une sorte de joker dans les dissertations de philosophie, où mentionner Freud équivaut souvent à une garantie de points supplémentaires. Cette pratique illustre un « philosophiquement correct » où l’originalité de la pensée et la rigueur argumentative cèdent la place à la récitation de dogmes. Comment un système prétendant former à la pensée critique peut-il se complaire dans la reproduction ad nauseam d’un modèle dépassé et contesté, où les profs servent de « rabatteurs » pour envoyer la jeunesse se faire manipuler sur des divans ? L’insistance sur Freud dans l’enseignement de la philosophie trahit une forme de conservatisme intellectuel, où la fascination pour les théories du passé empêche l’ouverture vers des perspectives scientifiquement fondées. Le scandale n’est pas tant dans l’admiration pour les contributions de Freud à la compréhension de l’esprit humain, mais plutôt dans l’obstination d’un système éducatif à en faire le seul et unique phare. La place de la philosophie dans l’éducation doit-elle se cantonner à la répétition de vieux schémas, ou peut-elle aspirer à être le lieu d’un véritable questionnement sur l’humain et la société ?
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