Furax Barbarossa & Jeff le Nerf - Guérir (choeurs: Patko) prod :Greenfinch

Nouvel album "Caravelle" disponible : furaxbarbarossa.bfan.link/car...
EP "CHA O HA" dispo sur toutes les plateformes :
lnk.to/FuChaOHa
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Deuxième extrait du projet commun de Furax Barbarossa et Jeff le Nerf, Dernier Manuscrit, disponible ici :
(addictivemusicshop.fr/fr/accue..., dans les bacs et sur toutes les plateformes digitales.
- Choeurs: Patko ( / patko.music )
- Prod: Greenfinch ( / seerealgreenfinch )
- Réalisation: Esskahipé ( / cypriencayuela )
- Mix & Mastering: Neka rootscore (www.rootscore.org/)
- Distibution: Addictive music (addictivemusicshop.fr/fr/)
Merci à Luigi pour son aide sur le tournage et aux figurants (Mammouth, Lool, Adibou, Rap indé 38, Nachos, Mayhem, Ris-k, 6Real, Ekloz, Remitato, Le clochard, Rhum grands ch'feux, Lyric 38, Sonia, Maïlys, Naïma, Jimmy).
Lyrics:
- Furax
[Couplet]
Peu-ra dans l'auto, grillades et toi.
grand corps qui n'attend que l'automne autant d'torts qu'il y a d'étoiles.
ce que la connerie a dédouané , la coco grilla des doigts.
la mort a des droits laids que l'croco cria des toits.
forcement ça plombe, et si tout mes os se défont.
et si le réseau de ma sim assis sous les eaux se défonce.
C'est bien que j'avais bu la tasse, ce n'est pas guérir.
Seum, blague, et rimes soeur, semé packs et rires.
J'en ai semé de la graine de grêle, hommes et mots agiles.
Ne restera que la traînée de craie comme hémorragie.
le pélo sur le sol, la clé dans la serrure et c'est tout.
il avait ses rues et ses tours il tombe en cellule et s'étouffe.
J'ai mis des formes sur de longs couplets d'écorché.
Tellement fait d'efforts que le son découpe des gorges.
Elle m'a dit canalise tout ce que tu pourras.
Le taga, la valise, mise tout c'est que du courage.
Y a la montagne de roses, le tas d'ordures et ma chaise.
M'en rappeler le taro c'est me re-torturer la chair.
Si tu dors tu es la chèvre, y a la fortune et la chaîne.
Tu m'as appelé mon frerot t'avais tord tu t'es lâché.
Né le ventre ouvert, puis quand les gens me prouvèrent.
Qu'en vain j'avais pris le seul chemin que mes jambes trouvèrent.
Puis cavale jusqu'au bout touche le mur de façon frontale.
De toute façon fonce ! glaçon fond comme vase en fonte Ahhhhh !
Laisse ! qui toucha mes connexions mes étincelles.
Vas-y rajoute un meurtre à ma collection mais c'est un 16.
"Qui fit rentrer cet insecte" dit la voix visant ma silhouette fine.
C'est l'asile ou elle file ? grand facile ,ouais, devine...
[Refrain]
J'ai trop entendu tu valais rien.
Sur le pénible chemin tordu du galerien
Est-ce la douceur qui s'amene ?
oui ca merde,
Dans l'trou gueri ça, même.
Si j'dois l'faire tout seul nique sa mere.