Tiqua Prod - Sous la Lueur des néons

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  • čas přidán 7. 09. 2024

Komentáře • 11

  • @TiquaProd
    @TiquaProd  Před 4 měsíci +2

    Merci #pourtoi #foryou #tiquaprod #clip #album #fyp #foryoupage #viralvideos #musiqueurbaine #rap #chrap #autoprod #independant

  • @TiquaProd
    @TiquaProd  Před 4 měsíci +3

    Bon visionnage à tous et un petit commentaire ne mange pas de pain 😊

  • @TiquaProd
    @TiquaProd  Před 2 měsíci

    (Refrain)
    Dans la rue où le temps s'égrène,
    Sous la lueur des néons qui traînent.
    C'est Tiqua qui débarque, ça raisonne,
    On vient de la cité, là où les rêves se fanent.
    (Couplet1)
    J'ai grandi dans l'ombre des tours,
    Où le béton pleure, où l'espoir court.
    Les rues parlent, échos de nos rêves brisés,
    Les cicatrices sur la peau, la vie qu'on a tracée.
    Pas de trêve dans ce coin de béton,
    On rêve de ciel, mais c'est l'enfer en potion.
    Les frères, les sœurs, tous ensemble,
    Dans cette danse urbaine, c'est le cœur qui tremble.
    Les poches vides, mais les rêves pleins,
    On cherche la lumière dans ce monde éteint.
    Tiqua Prod, c'est le reflet de nos vies,
    Des quartiers sombres aux rêves infinis.
    (Refrain)
    Dans la rue où le temps s'égrène,
    Sous la lueur des néons qui traînent.
    C'est Tiqua qui débarque, ça raisonne,
    On vient de la cité, là où les rêves se fanent.
    (Couplet2)
    Chemin parsemé d'épines, c'est la rue qui m'éduque,
    Chaque cicatrice raconte une histoire, une marque.
    Les anges pleurent dans la cité des démons,
    Les murs résonnent des rêves qui résonnent.
    J'observe les ombres dans l'obscurité,
    Des destins croisés, des vies entremêlées.
    Le regard dur, mais le cœur fragile,
    On avance, le poids du monde sur nos épaules agiles.
    Les ruelles résonnent des rires et des pleurs,
    Des nuits sans sommeil, des jours en sueur.
    On rêve d'évasion, mais la réalité est lourde,
    Des rêves en béton, des illusions qui tombent.
    (Refrain)
    Dans la rue où le temps s'égrène,
    Sous la lueur des néons qui traînent.
    C'est Tiqua qui débarque, ça raisonne,
    On vient de la cité, là où les rêves se fanent.