Favoritisme

Sdílet
Vložit
  • čas přidán 21. 12. 2017
  • SEYNI & YELIBA (Guinée Conakry/Bordeaux) se définit lui-même comme un groupe de Reggae Mandingue. Pionnier du mélange entre le Reggae de Jamaïque et le Balafon de Guinée, c’est tout naturellement que Seyni baptise sa musique de Reggae Yankadi (le Yankadi est un rythme traditionnel de Guinée, qui signifie «Ici c’est bon»).
    Sa musique, véritable voyage entre les continents - Seyni chante aussi bien en français que dans ses langues maternelle (Soussou) ou paternelle (Malinké), et parfois en Anglais- séduit un large public, sensible tant à ses mélodies originales qu’à l’extraordinaire énergie qu’il développe sur scène !
    Avec plus de 6 albums produits en tant qu’Auteur-Compositeur-Interprète, Seyni compte à son actif plus de 500 concerts dans toute l’Europe, ainsi que sur les scènes des plus grands festivals Reggae et Musiques du Monde. Prix du Web Reggae Awards 2009 avec l’album Mon Général.
    Né de père et de mère Griots, c’est tout d’abord au sein de sa propre famille , dans la plus pure tradition africaine, que Seyni apprend les bases de son art (outre la maîtrise du balafon, son père lui transmettra son amour et sa pratique de la guitare) ; mais Seyni est doué d’une forte personnalité, et, très jeune, s’intéresse et s’adonne déjà aux sons du Reggae, notamment à travers Bob Marley (dont il hérita très tôt du surnom de «Bob»).
    Tout jeune encore (à peine âgé de 17 ans), il prend l’initiative d’émigrer vers la Côte d’Ivoire, où il sera d’abord percussionniste pour Mory KANTE. Il est alors recruté par Souleymane Koly, compatriote et directeur de l’éminente troupe « Kotéba d’Abidjan ». Là, il devient un artiste complet : à la maîtrise du balafon et de la guitare, il peaufine le travail des percussions, du chant, de la danse et de l’interprétation théâtrale. Très vite, Souleymane Koly détecte son fort potentiel créatif, et lui confie la composition musicale de nombre de ses pièces.
    C’est dans ce cadre qu’il jouera et composera pour le film de Claude CADIOU « La Vie Platinée », dans lequel il donnera la réplique au « devenu célèbre percussionniste guinéen » Mamady KEITA, et où certains de ses morceaux seront interprétés par un autre artiste de très grande renommée : Salif KEITA.
    C’est aussi et enfin sur cette terre ivoirienne qu’il enregistre son 1er album « Mousso Ko » (1987, malheureusement resté «dans les tiroirs de Kotéba»).
    C’est en 1989 que Seyni décide de s’installer en France. Il choisit Angoulême (qu’il a eu l’occasion de connaître lors des nombreuses tournées mondiales avec la troupe Kotéba d’Abidjan). Il y fonde son 1er groupe « BDM » -Black Dance Music- avec lequel il enregistre son 1er album en France : « Allah Nikki» («Ce que Dieu te donne»).
    Quelques années plus tard, le voilà en bord de Garonne, à Bordeaux. En 1997, rejoint par les bordelais de Some Style Band, il enregistre l’album « Nana » (prénom de sa maman). Puis il monte le groupe « Rootsaba », qui produira, grâce à Otis M’BAYE, l’album « Limaniya » (« Courage et Humilité »), sur lequel Manu DIBANGO n’hésite pas à poser son saxo (titre « Faniko »). C’est avec ce groupe qu’il assoira sa renommée internationale.
    En 2003, Seyni forme un autre groupe, Seyni & Yeliba, composé de musiciens aux horizons variés, tous réunis autour de l’amour du Reggae. Une complicité qui donnera naissance à 3 CD : la compilation « N’tara » (Grand-frère) avec Music’action et Mosaïc en 2003, l’album live « Liberté » en 2005 avec Soulbeats Records et Nocturne, et enfin le « chouchou de 2008», l’album « Mon général » avec VMusic, directement inspiré de l’actualité brûlante qui a alors cours en Guinée.
    Alors qu’il franchit des étapes avec succès, Seyni est victime d’un grave accident de la route début 2009, l’obligeant ainsi à mettre en stand-by sa carrière internationale.
    Il se voit alors contraint de repartir du point de départ et ne lésine pas sur les efforts pour se remettre rapidement sur pied.
    Alors que les élections présidentielles Guinéennes se préparent pour 2015, Seyni est de retour avec 2 nouveaux morceaux « My Roots » et « Conakry » et s’entoure d’une nouvelle formation : Seyni et Yeliba (New Team).
    Avec cette première composition, cet auteur lance un appel au Peuple de Guinée, toutes ethnies confondues, afin qu’il ne cède pas à la division imposée par les politiques.
    Seyni aspire à ce que ce pays ne forme qu’une seule nation, indivisible.
    Avec le morceau « Conakry », le Griot qu’il est, s’interroge encore : Comment est-il possible qu’à l’aube du XXIième Siècle, certains citoyens de la Capitale n’accèdent toujours pas à l’éléctricité et à l’eau potable ?! Alors même que cette ville est indexée géographiquement comme le château d’eau de l’Afrique de l’Ouest…
    Il souhaite ainsi, avec ce dernier titre, réveiller la conscience des dirigeants Guinéens.
    Contact presse
    Téléphone:07 60 95 26 16 Mail: acmanagement.booking@gmail.com
    Agent artistique
    Agnès COLLINOT
  • Hudba

Komentáře • 4