Joël Dicker est un conférencier extrêmement agréable tant par la qualité de ses propos que sa sincérité touchante et bienveillante !! C'est une merveilleuse découverte. Se dégage de lui une richesse intérieure et une assiduité qui me font un immense plaisir ! Belle continuation, ne lâchez rien !
Un de mes auteurs préférés. Je suis moi-même en L1 Droit, en pleine écriture d'un roman? Je suis dans une grosse période de doute. Je ne m'y attendais pas, mais rien que d'écouter Joël Dicker m'a fait quelque peu avancer. Merci.
Non seulement Joel DICKER est un écrivain à succès (la vérité sur l’affaire Harry Quebert), mais il nous montre, dans le cadre de cette conférence, que c’est un humaniste et un penseur-philosophe. Dans cette intervention (il existe une version longue avec les questions du public), au-delà du titre pas vraiment traité (scolairement, il aurait eu une mauvaise note et le commentaire « hors sujet »), il aborde brillamment 3 thèmes : Le droit à l’échec, le danger de Facebook et de l’absence de prise en main de notre propre destin notamment lorsque l’on s’abstient de voter. Le danger de Facebook est particulièrement intéressant et assez savoureux (à partir de la 16° mn) suivi par une attaque toute aussi intéressante contre ceux qui critiquent sans participer, et on pourrait l’étendre à bien d’autres sujets que le non vote. La première partie, intéressante mais un peu redondante, nous parle des bienfaits de l’échec car il nous fait grandir. Il n’est pas le premier à exprimer cette position qui commence heureusement à se répandre en France. Les Etats Unis l’ont d’ailleurs intégré depuis longtemps, au moins pour qu’un chef d’entreprise ne soit pas blacklisté suite à un 1° échec. Et tout bon manager sait que l’on ne connait vraiment une personne que lorsqu’elle a été confrontée à un échec (ou à une situation de grand stress ou de maladie importante) et que l’on a pu voir comment elle s’en est sortie et les leçons qu’elle en a tiré. DICKER est, par contre, un peu jusqu’au boutisse car il oublie, par exemple, l’importance du temps qui passe dans une société où tout va de plus en plus vite, ce qui permet de comprendre l’angoisse des parents quand leur enfant de 19 ans ne sait que faire de sa vie.
L échec stigmatisé est peut-être la façade d un Projet de Dépassement intérieur ou Réalisation de soi, aussi profond qu il est élevé… cela me fait penser à ce trait d Esprit de Lao Tseu , l Être à des aptitudes que le non Être emploi 😉🙏🏼
Joël Dicker est un conférencier extrêmement agréable tant par la qualité de ses propos que sa sincérité touchante et bienveillante !! C'est une merveilleuse découverte. Se dégage de lui une richesse intérieure et une assiduité qui me font un immense plaisir ! Belle continuation, ne lâchez rien !
Un de mes auteurs préférés. Je suis moi-même en L1 Droit, en pleine écriture d'un roman? Je suis dans une grosse période de doute. Je ne m'y attendais pas, mais rien que d'écouter Joël Dicker m'a fait quelque peu avancer. Merci.
T’as fini ton bouquin ?
Très très bien vu 👍🏽 bravo
Non seulement Joel DICKER est un écrivain à succès (la vérité sur l’affaire Harry Quebert), mais il nous montre, dans le cadre de cette conférence, que c’est un humaniste et un penseur-philosophe.
Dans cette intervention (il existe une version longue avec les questions du public), au-delà du titre pas vraiment traité (scolairement, il aurait eu une mauvaise note et le commentaire « hors sujet »), il aborde brillamment 3 thèmes :
Le droit à l’échec, le danger de Facebook et de l’absence de prise en main de notre propre destin notamment lorsque l’on s’abstient de voter.
Le danger de Facebook est particulièrement intéressant et assez savoureux (à partir de la 16° mn) suivi par une attaque toute aussi intéressante contre ceux qui critiquent sans participer, et on pourrait l’étendre à bien d’autres sujets que le non vote.
La première partie, intéressante mais un peu redondante, nous parle des bienfaits de l’échec car il nous fait grandir.
Il n’est pas le premier à exprimer cette position qui commence heureusement à se répandre en France. Les Etats Unis l’ont d’ailleurs intégré depuis longtemps, au moins pour qu’un chef d’entreprise ne soit pas blacklisté suite à un 1° échec. Et tout bon manager sait que l’on ne connait vraiment une personne que lorsqu’elle a été confrontée à un échec (ou à une situation de grand stress ou de maladie importante) et que l’on a pu voir comment elle s’en est sortie et les leçons qu’elle en a tiré.
DICKER est, par contre, un peu jusqu’au boutisse car il oublie, par exemple, l’importance du temps qui passe dans une société où tout va de plus en plus vite, ce qui permet de comprendre l’angoisse des parents quand leur enfant de 19 ans ne sait que faire de sa vie.
L échec stigmatisé est peut-être la façade d un Projet de Dépassement intérieur ou Réalisation de soi, aussi profond qu il est élevé… cela me fait penser à ce trait d Esprit de Lao Tseu , l Être à des aptitudes que le non Être emploi 😉🙏🏼
J’ai arrêté le droit 😞
Tu as un boulevard devant toi.
J'ignorais jusqu'ici que Dicker avait fait des études de Droit.
Et un BTS langues étrangères?