Merci beaucoup pour cette vidéo, très, très intéressante. Évidemment, beaucoup d’anglicismes, certains aiment à cracher là-dessus, néanmoins je mets quiconque au défi de faire une vidéo sur un thème que les US se sont approprié et on fait exploser sans anglicismes. Bon courage avec le nocode, le front-end dev, … Mais plus simple avec la photo. Bref: véritable masterclasse sur la stratégie de contenu. Concernant l’IA, même avis: elle va aider à révolutionner la production de contenu. En cela elle est un outil. Un outil permet la révolution des usages, comme l’apparition de la montre. Ou du smartphone. Je vais de ce pas regarder l’épisode complet.
L'utilisation abusive d'angliscismes rend le propos faussement technique et élitiste alors qu'il s'agit d'une réflexion simple et de bon sens. La tentative d'en tirer des généralisations et donc des règles peut être contre-productive car paradoxalement limitante, c'est comme si on voulait parler français en sélectionnant un corpus de vocabulaire au détriment d'un autre parce que ce serait "data driven" de façon avérée ! La réalité est beaucoup plus organique et subtile, la carte n'est jamais le terrain même si ça aide grandement. Cette nuance fait toute la différence entre justement un contenu et un autre : faire pour apprendre vaut toujours mieux que d'apprendre pour faire. Déplace-toi pour avoir besoin de la carte au lieu d'apprendre la carte en pensant que cela fera de toi un jou run grand voyageur. En ce sens le contenu n'est qu'un vecteur et non une finalité et le sublimer à ce point peut en faire l'arbre qui cache la forêt. Le meilleur contenu on le fait pour soit et on le partage, il est à la fois introspectif et évolutif, il permet de fixer mentalement des intentions et de formaliser des choix, mais n'existe qu'au regard d'un contexte, il n'est jamais le contexte et celui qui prétend le contraire fait de toi sa vache à lait. La fabrication de contenu est chronophage d' où la nécessité qu'il soi activable pour soit de façon tangible avant toute chose. Bien sûr on peut aussi en faire son métier, mais c'est une autre histoire.
Tres interessant
Merci beaucoup pour cette vidéo, très, très intéressante.
Évidemment, beaucoup d’anglicismes, certains aiment à cracher là-dessus, néanmoins je mets quiconque au défi de faire une vidéo sur un thème que les US se sont approprié et on fait exploser sans anglicismes.
Bon courage avec le nocode, le front-end dev, …
Mais plus simple avec la photo.
Bref: véritable masterclasse sur la stratégie de contenu.
Concernant l’IA, même avis: elle va aider à révolutionner la production de contenu. En cela elle est un outil. Un outil permet la révolution des usages, comme l’apparition de la montre. Ou du smartphone.
Je vais de ce pas regarder l’épisode complet.
Merci pour cette pépite
Avec plaisir 😎
Intéressant cette approche quasi philosophique du content marketing, même si je ne suis pas forcément d'accord avec la relativisation de l'IA.
Ou est l'épisode complet ?
« Les jeunes branches » sur les plateformes d’écoute
L'utilisation abusive d'angliscismes rend le propos faussement technique et élitiste alors qu'il s'agit d'une réflexion simple et de bon sens. La tentative d'en tirer des généralisations et donc des règles peut être contre-productive car paradoxalement limitante, c'est comme si on voulait parler français en sélectionnant un corpus de vocabulaire au détriment d'un autre parce que ce serait "data driven" de façon avérée ! La réalité est beaucoup plus organique et subtile, la carte n'est jamais le terrain même si ça aide grandement. Cette nuance fait toute la différence entre justement un contenu et un autre : faire pour apprendre vaut toujours mieux que d'apprendre pour faire. Déplace-toi pour avoir besoin de la carte au lieu d'apprendre la carte en pensant que cela fera de toi un jou run grand voyageur. En ce sens le contenu n'est qu'un vecteur et non une finalité et le sublimer à ce point peut en faire l'arbre qui cache la forêt. Le meilleur contenu on le fait pour soit et on le partage, il est à la fois introspectif et évolutif, il permet de fixer mentalement des intentions et de formaliser des choix, mais n'existe qu'au regard d'un contexte, il n'est jamais le contexte et celui qui prétend le contraire fait de toi sa vache à lait. La fabrication de contenu est chronophage d' où la nécessité qu'il soi activable pour soit de façon tangible avant toute chose. Bien sûr on peut aussi en faire son métier, mais c'est une autre histoire.
la différence entre un bon chasseur et un mauvais chasseur 😉
Outbound ? Inbound ? Complique tout ca