Faces Nord Eric Escoffier un film de Jean Afanassieff MC4 Eiger Cervin Grandes Jorasses alpinisme
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- čas přidán 12. 07. 2015
- Juillet 2015, montagne, alpinisme... ... Faces Nord un film de Jean Afanassieff avec Eric Escoffier produit par MC4... Eiger, Cervin, Grandes Jorasses... Présentation du film lors de la soirée des Editions Paulsen Guérin Chamonix pour la sortie du livre de Jean-Michel Asselin: Eric Escoffier un grand combat...
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L’Eiger est un sommet individualisé des Alpes situé entièrement en Suisse dans le massif des Alpes bernoises. Son nom, attesté en 1252, ne signifie pas « ogre », contrairement à une idée reçue, mais plus probablement « grand épieu ». La confusion est due aux alpinistes morts lors de la montée de la face nord : celle-ci, presque totalement verticale ou déversante, est considérée comme la plus impressionnante et la plus célèbre face des Alpes, si ce n'est la plus haute. Avec les faces nord du Cervin et des Grandes Jorasses, elle a constitué pour l'alpinisme l'un des « trois derniers problèmes des Alpes », et le dernier résolu.
Jean-Michel Asselin
Avec quelques autres alpinistes stars, Éric Escoffier est l’un des plus doués de cette génération des années 1980.
La biographie de Jean-Michel Asselin rend hommage à l’homme autant qu’au génie de la grimpe.
Résumé
Dans les années 1980, l’alpinisme se réveille avec une série d’exploits qui marqueront à jamais son histoire. Derrière des ascensions solitaires, engagées, audacieuses, ultrarapides, derrière des enchaînements sur de grandes faces nord ou la réussite de hauts sommets himalayens "à la loyale" se cachent quelques individualités exceptionnelles. Christophe Profit, Jean-Marc Boivin et Éric Escoffier sont à eux trois les acteurs d’une sorte de bataille qui passionne à la fois le milieu mais aussi le grand public. Escoffier est le cadet de la troupe, un peu insolent, trop beau gosse, il a le don d’afficher sa réussite et parfois ses échecs avec une brillance qui le rend tantôt admirable, et parfois contestable. Doué en tout, ce jeune homme, élevé à la dure école de la gymnastique, aime la montagne, plus exactement la montagne qui lui offre l’adrénaline du risque.
"Rien n’est impossible", aime-t-il répéter à ceux qui s’étonnent de le voir passer des falaises du Verdon, aux glaces des Grandes Jorasses ou à l’altitude du K2. Tout semble lui réussir, mais voilà : la vie imagine parfois d’autres destins pour ceux qui semblent la traverser avec aisance. Et un jour de septembre 1987, sa voiture percute une pierre dans les gorges de l’Arly. Il allait vite, toujours très vite. Sa vie bascule : c’est l’hôpital, la réanimation, les opérations, la rééducation, l’incroyable douleur de se retrouver hémiplégique. Mais ce garçon auquel les médecins donnaient peu de chance, nie tout simplement son handicap. - Sport
Quel tempérament ! Incroyable cette énergie... un grand , un très grand de l'alpinisme !
oui tout a fait
Avec toutes ces manips d'hélico, c'est un but qui revient cher, j'espère que Jean rentra dans ses frais avec ce film.
Je n'ai pas connu Eric Escoffier, j'ai juste entendu parler de lui et de son caractère un peu particulier. J'ai par contre connu les frères Michel et Jean Afanassieff, au début des années 70 à l'époque du restaurant Schwendi.
Je me rappelle Jean, un garçon assez "sauvage" et taiseux, qui vint diner avec JP et moi au refuge d'Argentière un soir d'août 1974. Nous allions faire la 2nde de la face N de l'aiguille du Jardin, ouverte l'année précédente, lui allait faire la 1ère en solo l'éperon Couzy aux Droites. Il était stressé et il avait sans doute besoin de se rassurer en compagnie d'alpinistes un peu plus âgés que lui et qu'il connaissait.
Il nous avait demandé de l'observer pendant son ascension, vu que nous n'allions être séparés que par le grand couloir du col de l'Aiguille Verte.
J'ai su qu'il avait réussi mais je ne l'ai jamais revu. Il partait faire des expéditions lointaines, je restais entre Chamonix et les Dolomites.
Comme René Desmaison et Walter Bonatti, ses glorieux aînés, il ne périt pas en montagne mais, comme chanta Brel, "face au cancer par arrêt de l'arbitre".
C'était un Grand.
Je n'ai jamais revu Michel un Grand lui aussi, disparu dans Chamonix-Zermatt... ni leur copain Patrick Cordier, que j'avais rencontré en mai 70 sur les toits de la fac Jussieu d'où nous canardions les gardes mobiles.
Toute une époque.
merci de partager ce souvenir. si vous en avez d autres, je suis preneur, bien à vous.
Escoffier à un style bien trempé il en a de la trempe ce garçon.
Quel courage quel force surnaturel.
Bravo
19:15 Roland Julen Sauveteur mécanicien de Air Zermatt a l'époque !!! Waoooow ! Je l'ai très bien connu !!!!!!Que de bons souvenirs !!!! Les années 80 a Zermatt !!!
merci de votre message
La grande époque: pascal foucard,Georges chamailler, Olivier bonzabilis, Didier bil.. et un jeune débutant inconnu du monde de l'alpinisme: Eric escoffier ou escoffieer je ne sais pas comment prononcer.
je repense a se prof de gym M Duc , que nous avons eu de la 6 em a la 3 em , avec qui a chaque cours il fallait battre un record et aller a la limite de sois , et rajouter de la force mentale , ça a du influencer le grand sportif qu il était déjà
merci du témoignage
tres tres bon boucher de saint-agreve
C'est pas très bien écrit le texte de la voie off. On met la pression, on créé des compètes, des gagnants et des perdants, le besoin de la caméra et l'helico... c'est assez loin de ce que l'on a envie de faire la haut en solo.
compétition, rivalités, et l'ego énorme de ce garçon un peu inconscient 🔻
Ne pas reproduire chez soi 😂
Surtout pas