Témoignages de Français d'Algérie

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  • čas přidán 10. 04. 2016
  • Nombreux extraits de " l'amère patrie ", un film racontant pour une fois une version objective de l'exode des Français d'Algérie
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Komentáře • 704

  • @odelepele
    @odelepele Před rokem +5

    J'étais petite à l'époque, mais j'ai vécu la même chose avec ma famille et mes parents, je suis tombée malade à cause du déracinement je suis restée 6 mois à l’hôpital à Paris
    Nous avons tous eu le même reflex

    • @christianebobadilla9757
      @christianebobadilla9757 Před 20 dny

      @odelepele >>>>>>>>>>>JE compatis!! J'avais 9 ans à l'époque de L'EXIL!... ET JE suis toujours en.. manque de mes RACINES.. qui SONT en mon MOI profond! J'essaie seulement de " contrôler" cette.. VAGUE de Nostalgie et ALGIE aussi+++.. Mais j'essaie de me dire.. que.. c'est PLUS une RICHESSE qu'une FAIBLESSE!. Et j'essaie d'en faire une FORCE en me disant que NOUS étions des PIONNIERS Là-bas! ET depuis notre Ascendance de Pauvres émigrés Espagnols et autres! Faisons de notre PEINE un ATOUT! de tout cœur avec VOUS

  • @claudieterrien47
    @claudieterrien47 Před 4 lety +29

    Honte à nous français de la métropole de n avoir pas su accueillir humainement nos compatriotes d Algérie
    DIEU NOUS PARDONNE ce manque d ampathie ! !heureusement nos compatriotes ont surmonter avec moult problèmes et beaucoup de courage les obstacles qui se dressaient devant eux claudie de Chartres

    • @fatmazohrasiad1760
      @fatmazohrasiad1760 Před 3 lety

      Ni

    • @fatmazohrasiad1760
      @fatmazohrasiad1760 Před 3 lety

      Un

    • @jordancardi3820
      @jordancardi3820 Před 3 lety

      Personnellement, je n'ai honte de rien. Je n'étais pas né x)
      Pas besoin d'auto-flageller un peuple entier. Que les coupables se flagellent.

    • @homoiratus5995
      @homoiratus5995 Před 3 lety

      Dieu n'existe pas

    • @alainmangold9916
      @alainmangold9916 Před 3 lety +1

      avec le terrorisme de l'OAS et le drame du contingent en Algérie l'empathie envers les Pieds Noirs est logiquement assez limitée....

  • @michelleniepceron9966
    @michelleniepceron9966 Před 6 lety +16

    l'amère patrie une émission pleine de vérités qui doit bien dérangé pour avoir été diffusé à une heure si tardive . Longue vie aux anciens d'Algérie , continuez a raconter votre joie de vivre avant cette période sombre comme on fait mes parents pour moi qui n'a pas de souvenirs étant née le 11 octobre 1961 et sont partis en septembre 1962 . Fille de Pieds Noirs et fière de l'être !!

    • @dssdgrr7661
      @dssdgrr7661 Před 5 lety +6

      Fille de pieds noirs et fière de l'être mais loin de l'Algérie et des algériens

    • @dssdgrr7661
      @dssdgrr7661 Před 5 lety +2

      Vive Charles

    • @laf0699
      @laf0699 Před 5 lety +3

      adm rt pour nous c’est un traitre... qu’il rotisse en enfer !!

    • @laf0699
      @laf0699 Před 5 lety +8

      jamal eddine Sebaibi dans les medias français je vois surtout tous les vendredis les manifestations d’une jeunesse sans avenir et un pouvoir dictatorial qui a confisquer la liberté et qui s’en met plein les poches depuis 60 ans.. Le bilan est désastreux... on avait pourtant laissé un pays moderne.. un gâteau dont vous mangez les miettes depuis 62..

    • @Fixxa890
      @Fixxa890 Před 4 lety

      @@laf0699 ce pouvoir est installé est soutenu par la France bande de criminels

  • @jeanlebreton2049
    @jeanlebreton2049 Před 14 dny

    Tellement émouvant, merci messieurs et mesdames. Aucune haine, très peu de rancoeur, vous êtes des exemples.

  • @marieluciegarcia1618
    @marieluciegarcia1618 Před 3 lety +15

    On à été reçus comme des pestiférés.
    Jolis commentaires.
    Sale pieds noirs, on l’a entendu plus d’une fois.
    On est arrivés sans rien

    • @chaouimontpellier34sami87
      @chaouimontpellier34sami87 Před 3 lety +3

      Miskina ...et aujourd'hui la plupart des votres sont adhérents au parti qui rejette les autres communautés française .

    • @jordancardi3820
      @jordancardi3820 Před 3 lety

      @@chaouimontpellier34sami87 Vous parlez du FLN ? x)))

    • @alainmangold9916
      @alainmangold9916 Před 3 lety +1

      eh oui qui sème le vent (l'OAS) récolte la tempête: alors la pleurniche des rapatriés n'intéresse pas grand monde....

    • @dorianorouchouse1316
      @dorianorouchouse1316 Před 2 lety +1

      Il est impératif que Monsieur Éric Zemmour voit ce reportage. LUI, qui est Juif Pied-noir...... Sans commentaires.

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

  • @charlotte1009
    @charlotte1009 Před 3 lety +4

    Merci ! c’est bon d’être enfin compris ! Tout est vrai et nous avons tous ressenti les mêmes émotions moi aussi j’ai réussi à leurs montrer !

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety +1

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

  • @nassimyacine191
    @nassimyacine191 Před 3 lety +6

    Mes nos parents et grand parents ont doublements payer. Ma mere me racontait comment bombardaient leurs maison avec du napalm. L'Algérie et la France partagent un passé très douloureux. Je comprend pas pourquoi ils ont rapatrier tous ces gents c'est pas juste.

    • @thomas17586
      @thomas17586 Před 2 lety +2

      FLN

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety +1

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

  • @josemarialopez7970
    @josemarialopez7970 Před 2 lety +4

    Yo creo señora que se equivoca, nunca olvidaría esta gran nación al contrario, todo y trepado con un grabado faraónico siempre hay una sucesión de pied noir es toda una historia ella ahí viva en nuestros corazones

  • @theianova9856
    @theianova9856 Před 5 lety +33

    En 1936 des socialistes, 1946 des socialistes, 1956 des socialistes, 1962 des socialistes, 1982 des socialistes,2012 des socialistes, 2017 des socialistes, des années de misère grâce aux socialistes.

    • @giphiolivier7692
      @giphiolivier7692 Před 10 měsíci +1

      1962???? Socialistes ? Rappel, ouverture à l'immigration nord africaine Pompidou, droite, loi du rapprochement familial VGE, droite, suppression de l'expulsion automatique de tout étranger condamné, Sarkozy, droite.

  • @jeffrabe811
    @jeffrabe811 Před 2 lety +2

    tant de tristesses ! les témoignages sont vrais et émouvants ! j'atteste ! Le devoir est auprès de ceux qu'on aime.
    Albert Camus Pieds-noirs ; L'État de siège (1948)

  • @jean-philippemillard7108

    tout un pent de l'histoire de notre pays dont les autorités de l'epoque ont extremement mal gerer les problemes .... tant coté des algériens que le coté de nos compatriotes.... que des exactions militaires... le seul engagement possible de notre pays aurait etait de redonner le pays avant meme de vouloir y envoyer des unités de combat..... car au final .. ce sont encore de jeunes gens qui y ont perdu la vie .... que ce soit de TOUT bords :(

  • @user-ec4lx4gx5y
    @user-ec4lx4gx5y Před měsícem

    Je algerien musulman le pied noir ne voulait pas partager, il a tout perdu, la vérité triomphe toujours

  • @user-rf6xj4pq6x
    @user-rf6xj4pq6x Před měsícem +1

    Ce que vous aviez vécu après 62 ce qu'a vécu le peuple algerien pandent132 ans dans la précarité et l.indiferance

  • @jean-paulpotet1988
    @jean-paulpotet1988 Před 10 měsíci

    Très beau documentaire parce qu'émouvant et sincère.

  • @KamalKamal-me1br
    @KamalKamal-me1br Před 4 lety +6

    La trahison a fait ravager tout le monde.

  • @kamel1855
    @kamel1855 Před 3 lety +16

    Vive l Algérie ,une pensée a tous les martyrs Algériens .
    L OAS était des criminels.
    L Algérie aux Algériens et Algériennes.
    🤲

    • @maissamoh
      @maissamoh Před 3 lety

      Lui il faisait partie des jeunesses sionistes et ils avaient tué un algérien et il s'est enfui de peur des représailles

    • @pierreb4958
      @pierreb4958 Před 3 lety +1

      C'EST L ÉTAT FRANÇAIS QUI EST CRIMINELS.

    • @jacquelinemerolla3386
      @jacquelinemerolla3386 Před 3 lety +2

      L'Algérie est aux kabyles.Les arabes sont aussi des colonisateurs.Surtout vous les algériens ne venaient pas en France,et rapatriez tous ceux qui sont en France.Le FLN n'étaient pas des criminels.......C'étaient des vrais anges.Rappelez vous le massacre d'El Alia,il n'y avait que des enfants.C'est dommage je ne peux vous envoyer les photos.Je possède un petit livre sur les tortures faites par le FLN.C'est pas très beau à voir.Et le professeur décapité en France,et tous les attentats c'est aussi l'OAS.Vous avez l'indépendance alors restez bien chez vous.Qu'est devenue l'Algérie après 1962,une poubelle.Vous avez besoin des chinois pour faire votre boulot.

    • @coz95160
      @coz95160 Před 3 lety +1

      Et la France aux français

    • @berberkamel4751
      @berberkamel4751 Před 2 lety +1

      bien sur mon frere , l algerie a tous les algeriens (nes )

  • @anemarie2984
    @anemarie2984 Před 4 lety +7

    De GAULE A TOUJOURS ETE UN ORGUEILLEUX ET PRÉTENTIEUX

    • @alainmangold9916
      @alainmangold9916 Před 3 lety

      Il a surtout agit dans l'intérêt de la France la vraie France, pas celle des colons et des terroristes....

  • @zazaziezazazie6582
    @zazaziezazazie6582 Před 2 lety +7

    L'ALGÉRIE était majoritairement peuplée par des algeriens et c'est un pays qui s'apelle L'ALGÉRIE avec son histoire 🇩🇿, comment voulez-vous qu'une poignée de pieds noirs fassent la loi en instaurant que le territoire algerien est français et restera français, vous êtes d'une naïveté et d'une arrogance désarmante. Vive L'ALGÉRIE indépendante ❤🇩🇿. Par contre les pieds noirs d'Algérie si ils auraient été raisonnable, ils auraient dit " nous sommes algeriens et nous voulons le rester " au lieu de suivre l' OAS ou bien d'avoir si peur d'une poignée d'algeriens menaçants.

  • @cosmecatarino8505
    @cosmecatarino8505 Před 2 lety +3

    Une main devant une main derrière

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

  • @chaouimontpellier34sami87
    @chaouimontpellier34sami87 Před 3 lety +12

    Les français qui n avais rien a se reprocher sont restés en Algérie ...ils en reste encore aujourd'hui et ils vivent paisiblement sans problème .

    • @alejandrosotomartin9720
      @alejandrosotomartin9720 Před 3 lety

      Quelques centaines sur plus d´un million qui habitait. C´est du kif kif. Aucun europeen, juif ou encore moins harki retourneront la bas.

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

    • @jeanlebreton2049
      @jeanlebreton2049 Před 14 dny

      Non justement. Ceux que vous appelez "les francais qui n'avaient rien à se reprocher", comme mon arrière-grand-père, défenseur de la cause musulmane pendant la colonisation, ont quand même été virés dans les années 90 face à la nouvelle terreur imposée par le GIA.

  • @warywiweur7755
    @warywiweur7755 Před 4 lety +7

    Les pieds noirs étaient à 99/100 avec l'OAS ils détestaient les Arabes en général et les musulmans en particulier , au lieu de soutenir la lutte pour l'indépendance de l'Algérie avec les autochtones et proclamer l'ALGERIE ALGÉRIENNE ils ont choisis l'Algérie française et c'est là leur faute , s'ils ont quitté le pays c'est parce qu'ils ont fait beaucoup de mal aux Algériens ,ils ont commis des crimes atroces contre des civils au côté de l'OAS dont ils faisaient partie pensant qu'ils allaient réussir leur folle aventure , ils ont fait leur choix , ils auraient pu rester et vivre en paix avec les autochtones ,mais ils ont préféré l'Algérie française alors de grâce qu ils arrêtent de se lamenter, il y a eu des dépassements des deux côtés , cette guerre a été atroces et dramatiques pour les deux camps, aujourd'hui il faut tourner la page et militer contre les guerres et les injustices à travers le monde ,car nul n'est éternel sur cette terre .

    • @abdelkarimkeb9511
      @abdelkarimkeb9511 Před 4 lety +2

      Vous avez tout dit Wary , BRAVO !!! MERCI , vous m'avez rafraîchi le cœur.

    • @laf0699
      @laf0699 Před 4 lety +2

      Wary wiweur ce sont surtout les hommes politique qu’il faut blamer qui n’ont pas su prévoir.. qui se sont enfoncé dans un conflit pour rien.. Ferhat Abbas auraitdû être entendu en 1938 pour faire évoluer le statut de l’Algérie.
      Si les PN était à 99,9% pour l’OAS, les algériens n’était pas pour le FLN à 99,9%.. L’OAS créé 1 an avant l’indépendance en 1961 pour défendre la parole donné du rattachement à la France et pour se défendre, se venger des exactions du FLN et du pouvoir gaulliste (barbouze et autres gardes mobiles..)

    • @warywiweur7755
      @warywiweur7755 Před 4 lety +3

      @@laf0699 bonjour Mr, il y a eu plusieurs tentatives pacifiques de la part des hommes politiques Algeriens de l'époque, tel que MESALI et FERAT Abbes , mais la France ne voulait en aucun cas entendre parler d'indépendance de l' ALGERIE , alors que le monde fêtait l'armistice du 8 mai 1945 , l'armée française et les colons massacraient des civils , sans pitié, femmes , enfants vieillards , qui manifestaient pacifiquement pour l'indépendance de leur pays , résultat plus de 40.000 morts , dans plusieurs villes ( Guelma, kherata, Sétif etc) à partir de ce moment les Algériens ont compris que le moment était venu de prendre les armes pour libérer le pays , le statut d'indigènes ou de français musulmans prouvait que les autochtones étaient indésirables et détesté par cette société composé d'étrangers venu de divers pays d'Europe ( Italie, Espagne, Malte, Allemagne ,Grèce Portugal etc) pour prendre possession des terres des Algériens expropriés injustement et dont beaucoup ont été déportés en Calédonie , le FLN c'est battue contre l'armée française dans le maquis, ce n'est que lorsque les arrestations des civils Algeriens ont commencé dans villes avec les tortures inhumaines les crimes et les disparitions commis par les parachutistes ,que le peuple a pris position en faveur du FLN ,je m'arrête là ,car ce n'est qu'une infime partie de cette glorieuse révolution mené par nos valeureux Martyrs , Amicalement.

    • @laf0699
      @laf0699 Před 4 lety +1

      Wary wiweur les chiffres, les chiffres... de Setif 40 000 selon le fln, 10 000 selon les chiffres des historiens français.. de toutes façons peu importe le chiffre.. beaucoup trop de victimes innocentes. Les manifestations de Setif et Guelma étaient préparés, prémédités, car toute la région s’est enflammé immédiatement après massacrant horriblement 1 centaine d’européens.. la répression a été féroce disproportionnée. L’expropriation des terres... la plupart n’étaient pas cultivables comme dans la mitidja.. remplies de marais et infestés par le paludisme.. Les français étaient des batisseurs. Ils n’ont pas profités des infrastructures d’un pays, ils les ont créés. Je suis allé en 2018 à alger, la france est partout. Quoi de neuf depuis 62 à part cette immense mosquée construite par les chinois ou le metro avec le concours de la RATP.. Rien pas grand chose.. tous les immeubles s’abiment.. Dans la mitidja peu d’orangers, des cités champignons imondes, les centres villes de l’époque coloniales tout comme les hôpitaux... plus de théatres, plus de cinémas, pas de jardins publics, pas de piscine municipales, pas de centres commerciaux.. plus de platanes... pas de feu rouge... des plages dégoutantes.. des constructions anarchiques pas terminées... une population, une jeunesse qui n’a plus ou peu d’espoir. Le bilan n’est pas bon..Tout ça pour ça.. Il fallait conserver la minorité européene comme en Afrique du sud.. une révolution pacifique à la Mandela ou à la Gandhi aurait été un meilleur calcul.

    • @warywiweur7755
      @warywiweur7755 Před 4 lety +2

      @@laf0699 votre réponse , il faut l'adresser à l'armée française et à l'OAS , les pieds noirs auraient dû être pour l'Algérie Algérienne et non pas pour l'Algérie française,ils ont fait leur choix tout simplement parce qu'ils ne pouvaient pas accepter que le pays soit dirigé par des Algeriens (Arabes) question de racisme et puis la majorité sont partis parce qu'ils avaient du sang dans les mains , il ne faut pas oublier la chasse à l'arabe , dans les années 60 - 61 , désolé l'ALGERIE appartient à ceux qui l'ont libérer.

  • @Espritisback
    @Espritisback Před 2 lety +3

    "Imagine si la France absorbait 1 million d'étranger dans les circonstances actuelles. Ce serait dramatique."
    Depuis cette vidéo on en a encore pris plus de 1million. Et c'est dramatique

  • @hdj____er7509
    @hdj____er7509 Před měsícem

    Never forget never forgive

  • @pierreb4958
    @pierreb4958 Před 4 lety +4

    MOI C'EST À LA FRANCE QUE J EN VEUX SURTOUT AUX POLITIQUES DE TOUT BORDS DE CETTE ÉPOQUE

    • @mauricegravier3107
      @mauricegravier3107 Před 3 lety +2

      De Gaule est un Assassin des pieds noirs des h arkis des et des longs d' indochine

  • @beautydz1840
    @beautydz1840 Před 4 lety +4

    Tout ça est extrêmement triste. La France a méprisé les algériens, et les algériens et pieds-noirs l’ont payé.

  • @geronimogeronimo433
    @geronimogeronimo433 Před 3 lety +6

    Tout n’est pas rose en Algérie 🇩🇿 mais
    Je vous promet qu’au fond nous sommes heureux comme ça.

    • @claudieterrien47
      @claudieterrien47 Před 3 lety +7

      Vous avez raison tout n est pas rose non plus en France et on essaie d être heureux quand même
      Pas toujours simple ! !!
      Il y a une chose que j approuve c est la liberté et vous l avez gagné
      Bravo ! !

    • @jacquelinemerolla3386
      @jacquelinemerolla3386 Před 3 lety +4

      Tant mieux pour vous,mais il faut bien y rester., comme les vrais algériens.

    • @mariner4403
      @mariner4403 Před 3 lety +4

      Je suis allee à Alger et Oran ya quelques annees. Y avait pas assez d'eau, il fallait se laver avec une bassine et c'etait Alger! Un couple s'est fait tuer pour s'etre embrasser sur la plage, les femmes n'ont pas le droit de sortir le soir, les jupes courtes sont interdites, et quand on a une carrie, on ne peut pas se payer de dentiste, ya pas de secu, bcp d'Algeriens vivent dans la mysere. Mais si c est ca que vous aimez... ok ! 🤦‍♀️

    • @mariner4403
      @mariner4403 Před 3 lety +5

      Vous les femmes la bas, vous n'etes pas libre. Vous l etiez plus quand les francais etaient la. J y suis allée, les femmes sont dans les cuisines ou frottent toute la journee, pendant les mariages, on se melangent pas aux hommes, les femmes et les hommes separés, Bref et tout ca, c est que du parraitre car à Alger, vous avez plein de bars cachés pour aller boire de l alcool et voir des prostituées...

    • @fenecchio8090
      @fenecchio8090 Před 3 lety +3

      @@mariner4403 on est bien en Algérie mieux qu’en France laïc et raciste te

  • @lucettedouet9446
    @lucettedouet9446 Před 3 lety +3

    Pas d accord...quantité de métropolitains aimaient l algerie et vs aussi PN pas question de vs oublier ns sommes là pour témoigner et parler de ce que vs a en vécu.

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

  • @emcds3739
    @emcds3739 Před 4 lety +6

    Les commentaires sulfureux et haineux à l'encontre des Français d'Algérie qui ont subi un exil d'une terre qui a les vu naitre eux comme leurs parents et grands-parents, rajoutent de la douleur à la douleur. C'est le résultat de 60 ans d'intoxication par la divulgation d'une Histoire revisitée et mensongère et une idéologie de l'éternelle repentance entretenue par nos gouvernements successifs.

    • @laf0699
      @laf0699 Před 4 lety +6

      EMCDS il ne faut pas s’attendre autres choses des algériens élevés a la propagande FLN... la france source de tous les malheurs justifiant ainsi son incapacité à développer le pays.. Pour ceux de nos banlieues qui vomissent leur haine de la france que voudriez vous qu’ils pensent d’autres... on leur donne même raison en glorifiant nous même Audin, Vidal Naquet, les porteurs de valise.. et Macron qui parle de crime contre l’humanité..

    • @emcds3739
      @emcds3739 Před 4 lety +4

      @@laf0699 Complètement d'accord !

  • @elhadioldache7697
    @elhadioldache7697 Před 2 lety +3

    Jiap avait raison de dire que le colonialisme est un mauvais élève, c'est valable aussi pour le néo-colonialisme !

  • @minaamarir13
    @minaamarir13 Před rokem

    Je ne savais pas que Afflelou était pied noir !! N'empêche les pieds noirs ont tous réussi dans leur vie 😏😏

  • @chehrazadeesmey8399
    @chehrazadeesmey8399 Před 3 lety +12

    Bien sûr c'est une honte d'avoir été reçus de la sorte par leur "patrie", et toute souffrance est respectable, mais...en somme ils ont subi à leur arrivée ce que les Algériens subissaient CHEZ EUX sous le "règne" du colon, les conditions de vie, les insultes...."sale pied noir" n'est pas plus horrible que "sale arabe" que l'Algérien connaissait très bien,et ce, encore une fois, "chez lui". Ce n'est pas une pensée vengeresse, Dieu m'en garde, mais aucun des interviewés n'y a pensé, même s'il n'a pas participé activement ou consciemment à l'asservissement du peuple algérien. Je viens de voir le beau film LA BAIE D'ALGER où l'un des acteurs ressortait l'éternelle histoire de "on leur a construit des écoles". FAUX ! Des écoles FRANÇAISES furent construites pour les Français d'abord, tout en interdisant toute construction nouvelle de medersa, car bien évidemment les Algériens n'étaient pas les sauvages analphabètes que l'Histoire française a fait d'eux. Ils avaient leurs architectes,leurs géographes,leurs professeurs de langues, leurs journalistes "internationaux" etc etc.L'Algérien désireux de faire des études en Arabe devait aller en Tunisie ou au Maroc qui n'étaient que des protectorats et qui ne connaissaient donc pas l'interdiction d'enseigner en langue Arabe, ou au moyen-Orient. Juste un autre exemple, le système de la voierie en Algérie était en 1830 bien plus sophistiqué qu'en France... la colonisation est humainement une grave incohérence,mais je pense que si,une fois le "mal fait", les Français d'Algérie avaient instauré,AVEC LES ALGÉRIENS, un système d'égalité entre eux et les autochtones, le beau soleil de l'Algérie aurait à jamais brillé pour tous et sur tous...les Pieds noirs qui n'ont pas fermé les yeux sur la misère du peuple algérien n'auraient pas dû être des exceptions,mais la majorité.Il est pourtant tellement plus facile de vivre avec l'autre,tout autre, en respectant ses droits et sa liberté...mais le pouvoir, le Pouvoir....quant å la justification de L'OAS par M.Vilallonga,elle est et ridicule et atroce pour la mėmoire des chouhadas -martyrs- et leurs familles. puissent les enfants apprendre des erreurs de leurs parents. Que la paix soit.
    WR Beddai

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety +3

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

    • @souheilasaadlaib9731
      @souheilasaadlaib9731 Před 10 měsíci +1

      Un plaisir de vous lire.

  • @christianceaux3408
    @christianceaux3408 Před 2 lety +3

    Et aujourd'hui les migrants on droit à tous et sont presque insatisfait je le dis haut et fort VIVE les pieds noirs

  • @nouriaouichi6016
    @nouriaouichi6016 Před 3 lety +4

    Quel bonheur cette vidéo a écouter .
    Vous vous imaginiez quoi en colonisant un pays qui n'est pas le votre , que vous alliez vous pavanez éternellement en Algérie ?...
    l'Algérie s'est libérer dans le sang vive l'Algérie libre , quant aux pieds noires , harkis , et autres pouritures pour être poli ,là roue tourne .

    • @jenaipastoutdit9781
      @jenaipastoutdit9781 Před 3 lety +1

      Nouri avec tous le respect que je te dois , cherche à savoir comment et pourquoi la France s'est installée en Algérie , et dans quelle condition , ce qu'était le peuple Algérien avant les Français .Une médaille à deux revers , il faut toujours regarder les deux côtés de la médaille , après tu pourras juger .

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

  • @josemarialopez7970
    @josemarialopez7970 Před 2 lety

    como seguiste la idea de alguien un soldado feudal que no le gustan los pies negros es un error que no perdono por haber salido sin intentarlo una y otra vez

  • @nadiasamar1969
    @nadiasamar1969 Před 3 lety +4

    C est triste , vous devriez rester dans votre pays

    • @djeddabenali2866
      @djeddabenali2866 Před 3 lety +2

      Nadia Samar ou Abdou Samar ? ils devez rester dans leurs pays quel pays l'Algérie ? ceux qui leurs mains sont pas tâché de sang ils sont resté !

  • @gomezmanuel488
    @gomezmanuel488 Před 2 lety +4

    Excellents témoignages si on occulte celui d'Enrico Macias qui n'a rien à faire ici !

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety +3

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

    • @zazaziezazazie6582
      @zazaziezazazie6582 Před 2 lety

      @@ahmedbennour9125 votre histoire est digne d'un film, mais elle m'a mis en colère vis-à-vis de cet ignoble instituteurs 😡. Trop d'émotion, le français n'avait aucune idée de la souffrance du peuple algerien mais dieu merci nous avons obtenu notre liberté 🤗🇩🇿

  • @ouadahsalah4975
    @ouadahsalah4975 Před 3 lety +5

    Parce que vous avez occupé un pays qui vous appartient pas ni à vous ni à vous grand parents ils vous demandent de le quitter gentillement vous ne voulez pas donc vous êtes responsable de tout ce qui vous arrive. Vive l'Algérie libre indépendante a jamais rentré chez vous oublié cette manière de colonisation des pays pauvres algériens et le reste de lafrique

  • @kaderbenghozala2424
    @kaderbenghozala2424 Před 2 lety +6

    Allah y rahmehou chouhada

  • @zoufrivip
    @zoufrivip Před 2 lety +8

    l'Algérie est de la dimension d'un continent qui pouvait nourrir la moitié de l'Europe et de l'Afrique.Mais,certains ont été égoïste avec des yeux plus gros que le ventre sans se soucier des Algériens qui crevaient de faim dans l'indifférence la plus totale pendant 132 ans.Il fallait bien que cette injustice s'arrêterait un jour.Au-delà de la tragédie,la France coloniale a fait de l'Algérie un grand gâchis.

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety +3

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

  • @djanettemejias3418
    @djanettemejias3418 Před měsícem

    Pourquoi vous dites en vive avec

  • @amine7966
    @amine7966 Před 4 lety +2

    Triste!!!!

  • @minaamarir13
    @minaamarir13 Před rokem +1

    Il n'y a pas que les pieds noirs qui ont souffert a cette époque, vous oubliez les harkis 😟😟 ils ont galérer beaucoup plus que les pieds noirs

  • @zoulikasmara86
    @zoulikasmara86 Před 5 lety +22

    Vive l algerie,ALGERIENNE et fière de l être.

    • @gourgane267
      @gourgane267 Před 5 lety +6

      Pour ce que vos généraux en ont fait...Il n'y a pas de quoi être fière !

    • @zoulikasmara86
      @zoulikasmara86 Před 5 lety +4

      Fière de mon pays et bien sûr fière de l être. Avec oû sans Generaux l algerie renaitra de ses cendres.

    • @gourgane267
      @gourgane267 Před 5 lety +6

      @@zoulikasmara86 Je vous comprends de vouloir vous voiler la vérité. Vous vous êtes faits avoir comme des collégiens mais je vois que tu ne connais même pas l'Histoire de ton pays !

    • @pierreyvesbarbesant945
      @pierreyvesbarbesant945 Před 5 lety +6

      Tu as raison et restes y!

    • @kotamiandikotama4624
      @kotamiandikotama4624 Před 4 lety

      @@gourgane267 I found you every where crying and crumbling like an ediot hocker
      Quelle honte chez toi

  • @dssdgrr7661
    @dssdgrr7661 Před 5 lety +17

    Pas un mot pour les algériens ont vous feras jamais confiance le seul respect que j'ai C pour les pieds noires qui ont combattu auprès dans les rangs du FLN Maurice Audin ,Henry Maillot,Daniel Timsit ,Leben ,Iveton et tous les autres ce sont tous des martirs que tous les algériens respects pour leur courage et leurs convictions,ils ont aimés l'Algérie et les algériens j'en déduis qu'ils sont des algériens à part entièrement en bonne entendeur salut

    • @laf0699
      @laf0699 Před 5 lety +4

      adm rt « pas un mot pour les algériens.. », normal, ce n’est pas l’objet du film qui parle de la souffrance du déracinement... vous n’êtes pas seuls à avoir souffert...plus.. moins... peu importe, cela reste de la souffrance.. Il faut respecter la souffrance de l’autre

    • @laf0699
      @laf0699 Před 5 lety +4

      pour les traitres de maillot, yveton.. c’était la guerre.. 12 balles dans la peau...

    • @slimanebounoua5309
      @slimanebounoua5309 Před 5 lety +2

      Gloire a nos martyres

    • @laf0699
      @laf0699 Před 5 lety +2

      slimane bounoua vos martyrs, ils ont tués plus d’algériens que de français.. plus d’innocents que de soldats.. Respect pour ceux des katibas qui ont afffrontés l’armée française, honte à ceux qui se sont comportés comme des assassins des terroristes..

    • @marcelprouzet3301
      @marcelprouzet3301 Před 4 lety +3

      POUR NOUS CA ETAIT DES TRAITRE A LA NATION CELA N'A PAS ETAIT UNE GRANDE PERTE !! SURTOUT VENANT DES COMMUNISTES ILS AVAIT CHOISI LEURS CAMPS !!!!!

  • @noela6370
    @noela6370 Před 2 lety

    C’est dommage que les français ont envahis lAlgerie il fallait laisser lEmpire ottoman de toute façon ne jamais faire confiance à un politique !

  • @josemarialopez7970
    @josemarialopez7970 Před 2 lety

    il a fallu défendre votre place jusqu'a que les brebis redevient des lions

    • @berberkamel4751
      @berberkamel4751 Před 2 lety

      depuis quand vs etes des lions , un pays ou la prostetutions est 2 religion vs pretendez ou bien vs evaluez vs pretentions peut etre vs etes des lionnaise est nous des lions pour vs baisez

    • @fatmamosbahi9527
      @fatmamosbahi9527 Před 2 lety

      De quelle place vous parlez ?
      La place prise de force, colonisée
      Il faut rendre à césar ce qui appartient à césar

    • @berberkamel4751
      @berberkamel4751 Před 2 lety

      plutot rendre a jules ce qui appartiens a cesar parceque il s'appelle bien jules cesar @@fatmamosbahi9527

  • @pierreb4958
    @pierreb4958 Před 4 lety +13

    LES FRANÇAIS N'ONT PAS DE PAROLE ET NE TIENNENT PAS LEUR PAROLE

    • @jcgirardeau1432
      @jcgirardeau1432 Před 3 lety

      30000 morts

    • @alainmangold9916
      @alainmangold9916 Před 3 lety

      Quels français ? Ceux de l'OAS qui posèrent lâchement des bombes puis se sauvèrent comme des lapins ?

    • @pierreb4958
      @pierreb4958 Před 3 lety +1

      @@alainmangold9916 plutôt l'état Français,un exemple les Harkis Abandonnés par la France ?

  • @stephenstrange7305
    @stephenstrange7305 Před rokem

    Dommage qu il t ai loupé enrico. Vraiment dommage y a kelb

  • @ghanouusma7913
    @ghanouusma7913 Před 2 lety +4

    C triste mais c le karma quand meme vous avez vecu ce que le peuple algerien l’a vecu pendant 132 ans pauvreté racisme tristesse…

  • @kimtim9289
    @kimtim9289 Před 4 lety +3

    C'est comme bâtir sur le sable, bien fait pour vous d'aller chez les gens

  • @josemarialopez7970
    @josemarialopez7970 Před 2 lety

    Je ne comprends pas pourquoi vous êtes partie , c'est une décision aveugle ou bien vous avez laissé la peur guidé votre décisions

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

    • @berberkamel4751
      @berberkamel4751 Před 2 lety

      plutôt la peur a pris le dessus , la valise ou le cercueil en signe de récompense a ses auteurs

    • @paulettedantony5108
      @paulettedantony5108 Před 4 měsíci

      C'était la chasse aux européens voilà pourquoi les pieds noirs sont partis ! 😢😢😢

    • @paulettedantony5108
      @paulettedantony5108 Před 4 měsíci

      De toute façon tôt ou tard il aurait fallu partir. La très grande erreur ce fut d'aller en Algérie en 1830 !😢😢😢

    • @paulettedantony5108
      @paulettedantony5108 Před 4 měsíci

      C'est exacte certains sont morts de tristesse, emporté comme brûlé de l'intérieur ! 😢😢😢

  • @maissamoh
    @maissamoh Před 4 lety +4

    oui monsieur macias et vous qu'est vous avez fait pour fuire ? rappelez-vous

    • @djeddabenali2866
      @djeddabenali2866 Před 3 lety

      Maissa mohsen : ont a trouvé dans la cave de la maison d'Enrico macias des squelettes ! et Enrico macias il travaillé comme inspecteur de police ( police secrets français )! voilà pourquoi il a fuir Constantine ( j'ais quitté mon pays ?

    • @ennifwalkhsara4475
      @ennifwalkhsara4475 Před 2 lety

      Macias faisait parti d'un groupe d'assassins de l'OAS , c'est pour celà qu'il a fuit en France !
      NB : MACIAS et d'autres juifs comme Zemmour, BHL...etc , sont suonistes, ils travaillent pour Israël... La France devraient se méfier des sionistes d'Algérie , du Maroc ,de toute l'Afrique du nord ! Ils trahiraient la France si Israel le leur demande !

  • @sowadsimed8553
    @sowadsimed8553 Před 4 lety +4

    Ce qui est arrivee aux pieds noirs d'Algerie etait exactement arrivee aux Juifs a cause de la poitique Francaise et LOAS ....

  • @imadeldine2384
    @imadeldine2384 Před 5 lety +2

    11:36 Éric Justin Léon Moïse Zemmour

  • @dssdgrr7661
    @dssdgrr7661 Před 4 lety +2

    Très sincèrement votre histoire est très émouvante vous savez nous avons chacun été des victimes du colonialisme moi personnellement on aurait pu vivre ensemble et bâtir une grande nation vous avez pu vous en rendre compte nous ne sommes pas les sauvages qu'on a prétendu il suffit d'être des humains si tout les pn avaient pris le partie des algériens aurait été autrement on a des défauts mais on ne trahit pas on on aime ceux qui épouse notre cause et on les met sur un pied d'estale de l'extérieur on paraît mais de l'intérieur on est très sensible et on aime pas le mépris en arabe la khogra moi personnellement je n'ai rien contre les pied noir mon père travaillais dans un bar à Alger dans les années 30/40 et il s'entendait très bien il était originaire d'Espagne le système colonial nous a laissé aucune chance on père est née en 1912 à orienville vous voyez on n'ai partie d’un désaccord impeu virulent et on est arrivé à un discours sage cela prouve qui on fait des efforts et comme on dit chacun met de l'eau dans sont vin cest possible

    • @toufik_8840
      @toufik_8840 Před 4 lety

      C'est très très émouvant! Dommage il aurait pu rester en Algérie .

  • @MrMalek65
    @MrMalek65 Před 3 lety

    GOOD RIDDANCE.

  • @amirff3253
    @amirff3253 Před 3 lety +6

    Vive l'algerie . gloire à nos martires

    • @sourcier1190
      @sourcier1190 Před 3 lety +2

      Oui ? mais tu dis ça d'où gloire à nos martyre, vive l'Algérie ?De France je suppose , alors que déjà toi et surtout ta famille , grand parents , arrière grands parents , après que vos "martyres" et les notre se soient fait tuer , vous êtes rentrés en France vous mettre sous la protection des lois Républicaines et laïques . Les seuls qui aient ma considération , sont ceux qui sont restés chez eux , pour construire leur Pays .Les autres pour moi ce sont des traites pour ne pas dire de la M.......

  • @trfayanasro7791
    @trfayanasro7791 Před 2 lety

    وعلاش. لفلان. ماقتلتهمش. هادم. الكدبين

  • @samirbelamri7488
    @samirbelamri7488 Před 4 lety

    Ci. Vous will. Choisser du. Quitte la algerie. City Moor resistiert en. Moos que en france

  • @oliviapope9773
    @oliviapope9773 Před 4 lety +12

    ce n 'est pas pour l' Algérie que vous pleurer, mais plutôt, pour les bonne, qui vous servent, comme esclaves,, il n y a pas que f l n qui a fait du mal, n 'oublié pas que l o à s on fait pire, bien sûr vous pleurer l' Algérie. vous étiez comme des reine et rois, logiques,,,,, 🇩🇿🇩🇿

    • @pierreb4958
      @pierreb4958 Před 4 lety

      VOUS DEVEZ PAS CONNAITRE L ALGÉRIE POUR PARLER COMME ÇA .

    • @pierreb4958
      @pierreb4958 Před 4 lety

      UN CHOUÏA D ORGUEIL DANS VOS PROPOS CHER MESSIEUR Mais MOI JE SI J ÉTAIS ALGÉRIENS JE SERAIS DANS CE TRÈS BEAU PAYS MAIS PAS EN FRANCE.

    • @pierreb4958
      @pierreb4958 Před 4 lety

      @Malico Est AUJOURD'HUI le PEUPLE ALGÉRIEN IL est dans le, BONHEUR 👍

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

  • @salchaw
    @salchaw Před 4 lety +2

    quel malheur !

    • @alainmangold9916
      @alainmangold9916 Před 3 lety +1

      eh oui quand on met des bombes avec l'OAS il ne faut pas être surpris que les problèmes arrivent après....

  • @khairedineabdelghani9820
    @khairedineabdelghani9820 Před měsícem

    Des pieds noirs qui sont de mauvais exemples de cohabitation et d'apaisement entre français et algeriens ( afflelou,macias ,villalonga)). Ces gens sont vecteurs de racisme épidermique et ont très bien fait de partir.

  • @stephaneamor9830
    @stephaneamor9830 Před 4 lety +6

    Quand je vois les commentaires je constate que les pieds noirs n ont toujours pas digéré le coup de pied au cul qu ils ont eu ils ne comprennent toujours pas ce que les algériens les vrais leur reproche c est pathétique

    • @laf0699
      @laf0699 Před 4 lety +3

      Stéphane Amor vous confondez les PN et le système colonial... c’est ce dernier qu’il faut blamer plus que cette population européene plutôt de condition modeste si on la compare à celle de la metropole (ouvriers, commerçants, fonctionnaires.. les propriétaires terriens représentaient 5% des européens). Déportés de 1848, minorquins, pêcheurs siciliens, alsaciens-lorrains de 1870... Ils ont été attirés ou « expédiés » en Algérie comme l’on fait les anglais en Australie, en Amérique... C’était le Far West à la française sans l’extermination quasi-totale des indiens et des aborigènes. Le système colonial a été maintenu en l’état par une minorité de grands colons soutenus par les gouvernements de l’époque qui voulaient que rien ne change.. C’est par contre le petit peuple, c’est lui qui se l’ait pris le coup de pied au cul... par la violence terroriste du FLN et surtout par le Général Degaulle qui n’a pas été glorieux.

    • @stephaneamor9830
      @stephaneamor9830 Před 4 lety +2

      ølaf 06 c est sur que la violence militaire et limite terroriste de l armée française envers la population locale ne vous dérange pas donc votre commentaire est très biaisé

    • @laf0699
      @laf0699 Před 4 lety +2

      Stéphane Amor si elle me dérange, pourquoi ne me dérangerait elle pas... ? L’armée, les dirigeants de l’époque sont tombés dans le piège tendu par le FLN.. massacrer horriblement des civils européens (testicules dans la bouche par exemple), lancer une grenade dans un cinéma, mettre une bombe devant un café, égorger toute une famille de pauvres fermiers... tout ça pour que l’armée réprime atrocement, brutalement de manière disproportionnée.. Renseignez vous sur les évènements de Philippeville et d’El Halia en 1955.. L’objectif était de s’accaparer les populations qui ne pouvaient pas faire autrement que choisir leur camp. Creuser le fossé entre les communautés.. Qu’auraient dû faire les autoritées ? Essayer d’arrêter les coupables, rassembler des preuves en vu d’un procès ? La pression du politique et des civils était trop forte pour que la violence s’arrête.. idem durant la bataille d’alger en 1957. L’armée a été confronté à un conflit non-conventionnel pour lequel elle n’était pas préparée, ou les lois de la guerre n’ètaient pas respectées.. Rappelez vous en 2015 à Paris, je pense qu’un Bataclan toutes les semaines auraient eu vite raison de nos beaux principes et que l’on aurait vu apparaitre rapidement des interrogatoires quelques peu musclés dans nos commissariats.. L’opinion publique n’aurait pas accepter cela bien longtemps.. Il aurait fallu des résultats et vite...!!!

    • @stephaneamor9830
      @stephaneamor9830 Před 4 lety +3

      ølaf 06 vous dites n importe quoi comparer le bataclan et un peuple qui veut retrouver sa terre indépendante c est minable pourquoi la France c est accrochée à garder cette colonie alors que c était déjà perdu vous devez être pied noir et je comprends qu ils ne voulaient pas que vous restiez. Pour vous vous il n y’a que les méchants algériens et les gentils français je ne crois pas c était comme cela. La France a écorchée son image dans le monde avec cette guerre qui était perdue pour elle déjà en 1954

    • @stephaneamor9830
      @stephaneamor9830 Před 4 lety +2

      ølaf 06 vous savez les français étaient les champions pour montrer les exactions du FLN mais cachaient les leurs. Il n y a aucune armée au monde qui respectent les conventions tout ça c est du bla-bla-bla

  • @gegelacolombebelmar7334
    @gegelacolombebelmar7334 Před 4 lety +2

    très mal au cœur....

  • @berberkamel4751
    @berberkamel4751 Před 4 lety +2

    soyons honnêtes vs savez que vs êtes nés en Algérie vs avez regrettez de partir vraie , votre pays natal , les algériens a grande majorité son immunise de la haine que vs pensez au contraire ce qui non rien a ce reproché serons nos frères est sœurs vs seriez tjrs chez vs , évitez les médias qui nourrit le mépris hamdoullah nous sommes vacciné de cette maladie

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

  • @mamitamamita7707
    @mamitamamita7707 Před 4 lety +4

    On ne deviens pas résistant dans un pays qui n' est pas le sien l alors il faut arrêter de dire des betises

    • @rachidginon2329
      @rachidginon2329 Před 3 lety +1

      On ne deviens pas résistant dans un pays qui n est pas le sien ,,c est juste vous avez raison mais on peut visite et même vivre dans le pays ou on vécus ces ancêtres .salutation madame ...un algérois

    • @minaamarir13
      @minaamarir13 Před rokem

      Ben c'était le sien puisqu'il y est né non???

  • @aksilzek5538
    @aksilzek5538 Před 4 lety +1

    Je suis Algérien . mais je dirais que c'est un passé malheureux pour tout le monde.

    • @aksilzek5538
      @aksilzek5538 Před 4 lety +2

      @@fleurettemina4740 pardon madame je n'ai pas a lire l'histoire je l'ai vécu je suis née pendant la guerre en a passé des moments atroce pendant et après la guerre , j'ai agit en tant qu' être humain les enfants non rien fait de part et d'autre et je n'ai rien à voir avec la France coloniale et je suis fière de notre indépendance .et je n'accepte pas votre insultes.avec tous mes respects.

    • @pierreb4958
      @pierreb4958 Před 4 lety +2

      BIEN PARLER BRAVO

    • @aksilzek5538
      @aksilzek5538 Před 4 lety +1

      @@pierreb4958 merci monsieur.

    • @ouridaalaska4244
      @ouridaalaska4244 Před 3 lety

      Non pas pour tous

    • @lesconvoisexceptionnellesd9072
      @lesconvoisexceptionnellesd9072 Před 3 lety

      Akzil zek je suis également Algérien et entièrement d accord avec vous c’est triste la guerre c’est toujours triste

  • @djeddabenali2866
    @djeddabenali2866 Před 3 lety

    madame vous avez raison si le bateau qui vous transporter a coulé c'est un grand soulagement pour vous Pieds-Noirs et pour nous algériens ont oublier les 132 ans de souffrances de misère d'esclavage dieu vous a punir le maire Gaston Defferre a raison le mode de vie des français a était perturber !

  • @nasnasfleur917
    @nasnasfleur917 Před 4 lety +13

    Vous avez eux ce que vous mérite l' Algérie appartient au algérien vous nous avez umilier dans notre propre pays la roue tourne ma mère reste veuve à la fleur d'âge 18 ans avec 2 enfants vous m'avez privée d'un papa

    • @nanou4730
      @nanou4730 Před 4 lety +4

      La haine, enchaine, et empêche d avancer, et de progresser. C est vrai,l algerie , appartient, aux algeriens, donc, il faut que tous algeriens vivant en France, rentrent au bercail, , car la France aussi, appartient, aux français. Logique, non,?

    • @brahimayad5029
      @brahimayad5029 Před 4 lety +1

      @@nanou4730 Je suis d'accord avec toi sur ce point. Et même j'irai plus loin on vous rend vos dépouilles de pieds noirs a condition que vous rendiez les nôtres. Et d'interdire tous pieds noirs et tous descendant d'y venir pendant au moins 5 génération.

    • @nanou4730
      @nanou4730 Před 4 lety +4

      @@brahimayad5029 je n ai pas très bien saisi ton propos. La majorité de pieds noirs, n ont jamais essayé de revenir en Algérie, ceux, qui ont essayé d y revenir sont les + nostalgiques d entre eux. Le pb, c est comment faire décoller de la France, tous ces algériens qui y vivent, depuis votre indépendance, alors, qu ils étaient sensés rester bâtir, et developer leur pays, ne serait ce par respect, pour vos chouhadas. Or, ils ont préféré la France, a l algerie qu ils ont tous désertée. Non, seulement, ils ne voudront pas revenir, évidemment, juste pour les vacances,et leurs retraites, mais en +, ils en ont pas l intention. Je t assure, si j étais à leur place, je serai resté chez moi,avec honneur, et dignité, quitte à bouffer des ourtilles,au moins, je suis chez moi, que de suivre, la France, accusée en permenence d atrocités. Mais, ils n ont pas a s inquiéter, pour leur retour, en effet la France généreuse, ne leur proposera que la valise, mais pas le cerceuil. En 62, je n aurai jamais cru, que des algériens manifesteraient, dans les rues d une France coloniale, avec des🇫🇷 🇨🇵 sur la tête, et les épaules, pour prouver qu ils sont français. Tant d hommes, morts pour l'Algérie, des milliers d autres massacrés, égorgés, et d autres exilés, pour ça,? 🤔. Sans oublier, tous ces jeunes, qui prennent la mer dans des barques de fortunes, pour rejoindre la mère patrie la France. Hélas, certains s y noient, les autres, sont recueillis par l espagne, j étais, sur l un des bateaux, qui les a récupérés,en pleine détresse. Peut être, s ils étaient heureux chez eux, ils ne partiraient pas. Tu ne trouves pas quand même, que vous êtes maudits, ou peut être juste, que vous manquez de volonté, et de courage,? Regardez vous, 60 après votre indépendance, vous êtes encore dans les rues à la recherche d une algerie libre et indépendante. Il a fallut attendre 60 ans, pour vous rendre compte que vous aviez un pays, alors que vous le regardiez dépérir. Vous êtes juste capables de transformer un diamant brut, en une pépite de bronze 👍. Et encore, je suis gentil...

    • @brahimayad5029
      @brahimayad5029 Před 4 lety +3

      @@nanou4730 Sur 40 millions a peine 5 millions d'Algériens avec ses descendants ne représente pas toutes Algérie. Depuis la décennie noir combien d'Algériens mort sur des bateaux ? Aucun. Et la France qu'ils les a accueillir et qui est même aller les chercher c'est celle de De Gaulle pas celle Enrico Macias. Sinon occupe toi de ton pays , quand on fait le calcul ce n'est pas brillant n'ont plus avec tous ses gilets jaunes , tu me diras ca doit être bon pour leurs santé aussi ? Quoique pas tant que ça si on compte les yeux et mains perdus. Je peut en dire autant de vous sur l'Allemagne qui contrôle la France, ou comment elle se fait démantelé par les Chinois... Pour la première puissance du monde au début du siècle c'est une chute vertigineuse. Sinon sur la manifestation anti islamophobie ils n'y avait pas que des algériens des marocains malien tunisien .. Mais aussi beaucoup de Français peut être ceux qui vous détestez a eux je leur rend hommage. La France n'est pas seulement les pieds noirs c'est aussi les porteurs de valise les anti colonialiste etc... Vous représenter quoi pour l'humanité que des pourriture personnes sain d'esprit peut aimer ce que vous représenter.

    • @nanou4730
      @nanou4730 Před 4 lety +3

      @@brahimayad5029 et oui, je m y attendai, toujours, dans le deni. Bye..

  • @lemarinelbehri4186
    @lemarinelbehri4186 Před 3 lety +1

    24:40 tfou alik dit ça au palestiniens

  • @nalgnacalg6030
    @nalgnacalg6030 Před 4 lety +4

    Il ya ce qui sont rester vivre en Algerie
    Parce que ils ont rien a ce reproxhee
    Ce qui etait au cote de l' armee coloniale doive partir avec main vide
    Come ils sony venue

  • @ashofficiel5635
    @ashofficiel5635 Před 5 lety +22

    Les Pieds-Noirs ne sont pas algériens et ils ne le seront JAMAIS !!

    • @luciennesanchez6752
      @luciennesanchez6752 Před 5 lety +6

      mais les pieds noirs n'ont jamais dit qu'ils étaient algériens ils veulent seulement qu' on n'arrête de les faire passer pour ce qu'ils n'étaient pas dans leur grande majorité

    • @chrisluciano8373
      @chrisluciano8373 Před 5 lety +5

      Désolé de te décevoir, mais quand tu es né et que tu as habité en Algérie, tu es Algérien. Point. Et c’est valable ppur n’importe quel pays ou nationalité.
      Ça te plait pas peut être, mais c’est comme ça.

    • @lavieestunlongfleuvetranqu3116
      @lavieestunlongfleuvetranqu3116 Před 5 lety +6

      On ne choisit pas le pays où l'on née, les pieds noirs qui sont née en Algérie sont belles et bien Algérien que cela ne vous en déplaise.

    • @jackiebrownnn
      @jackiebrownnn Před 5 lety +4

      @@chrisluciano8373 c'était pas lalgérie mais une partie de la france etait un département FRANCAIS à lépoque, si on suit ta vision des choses alors les autochtones qui vivaient sous l'algerie FRANCAISE sont français?Donc je peux dire à ma famille qu'ils n'ont pas besoin de VISA pour venir en france ??? réfléchis un peu ! le statut du pieds noir cetait FRANCAIS le statut de l'autochtone INDIGENE pas les meme droits ;)

    • @jackiebrownnn
      @jackiebrownnn Před 5 lety +2

      @@lavieestunlongfleuvetranqu3116 non non lalgerie etait un département FRANCAIS ! arretez un peu, cetait une extension de la france, alors dans ce cas bcp d'algeriens indigènes SONT FRANCAIS si on suit ta logique

  • @giseleinfante2384
    @giseleinfante2384 Před 3 lety +2

    Les kabyles sont ceux qui ont les premiers demandé l'indépendance et le fln ne les a pas voulus c'est aux kabyles que l'Algerie aurait dû revenir.Quant au gouvernement français il aurait dû donner l'indépendance aux kabyles

    • @djeddabenali2866
      @djeddabenali2866 Před 3 lety +1

      Gisèle infante : madame pour commenté il faut connaître la géographie et l'histoire et l'historique d'un peuple et avoir des connaissances en matières justicière nationale et internationale ? la populations algérienne ce composé de cinq (5) cultures ethniques sont les arabes les chaouis les kabyles les sahraouis les touaregs tous ils sont unifiée en une seule unification ,en pourcentages les arabes algériens 72% les arabophones 83% d'après Google mais auprès de nôtre enquêtes sûr et certains 78% arabes algériens et 98% arabophones 2% de kabyles et touaregs qui sont pas arabes ou musulmans ! quatre (4) cultures ethnique ont les même coutumes tradition religion même société mariage vitale ex....les touaregs moins de musulmans un taux très très faibles par rapports a d'autres ethniques ,vous avez souhaitait le pouvoir aux kabyles moi je suis d'accords puisque ils 'ont la même coutumes que nous ils sont mazighes musulmans mais madame dans le monde entier c'est la majorités qui fait le gouvernement, madame entre nous vous avez pas un amant kabyle bonne chance !

    • @djeddabenali2866
      @djeddabenali2866 Před 3 lety

      madame Gisèle infante vous êtes très très loin de la réalité , le premier qui demandé l'indépendance monsieur mesali el-hadj président (MNA) le deuxième que de Gaulle lui a promit l'indépendance l'ex-président Ahmed ben bella ( si vous voulez la raison et la cause pourquoi de Gaulle a donné sa promesse a ben bella en réalité de Gaulle n'a qu'a mentis a ben bella, voilà madame Gisèle infante la vérité il faut pas commenté aux inter- notes le faux des faux un experts historien algérien.monsieur

    • @arabfacebm
      @arabfacebm Před 2 lety

      Et a la Corse et au pays basque

    • @stephenstrange7305
      @stephenstrange7305 Před rokem

      Qui commande en Algérie ? Les kabyles

  • @mama-lt4ws
    @mama-lt4ws Před 6 dny

    Un sal coup de france vous a laisser quitter l'algérie

  • @shtroumpfette138
    @shtroumpfette138 Před 4 lety +17

    Algérie appartient au algérien 🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿

    • @wharemwharem6758
      @wharemwharem6758 Před 4 lety +5

      Shtroumpfette
      Les Algériens vivent en Algérie et n écrivent pas en Français ....

    • @shtroumpfette138
      @shtroumpfette138 Před 4 lety +3

      wharem wharem qu elle rapport

    • @shtroumpfette138
      @shtroumpfette138 Před 4 lety +4

      wharem wharem les algériens vivent en Algérie écrive et parle très bien le français

    • @wharemwharem6758
      @wharemwharem6758 Před 4 lety +2

      @@shtroumpfette138
      C est ça ouais je te crois .......

    • @wharemwharem6758
      @wharemwharem6758 Před 3 lety

      @@prenom8793
      Va plutôt raconter tes conneries aux Français .....

  • @passionalilou2011
    @passionalilou2011 Před rokem

    Vos ancêtres sont bien arrivés chez nous en haillons et on fait fortune en depouillant mes ancêtres. Votre détresse ne nous intéresse pas . 132 abs de spoliations et de vols et d3 mass1cre .

  • @daleyunited6044
    @daleyunited6044 Před 3 lety +3

    Bon debarras

  • @user-ec4lx4gx5y
    @user-ec4lx4gx5y Před 10 měsíci

    De gaulle avait raison

  • @mohamedelwahrani1577
    @mohamedelwahrani1577 Před 4 lety +2

    La rout tourne tout sque vous raconter la vous l'avais mérité sa vous ai plu de prendre les terre des musulman et de les apauvrire abuser de ses faible gens et bien en récolte se que l'on sème g envie de dire

  • @AD-gs9yx
    @AD-gs9yx Před rokem

    Des témoignages PN sans intérêt pour l’histoire, ce sont des jérémiades. Je dis bien pour l’Histoire ...

  • @yassiminelallam6298
    @yassiminelallam6298 Před 28 dny

    Ce n'était pas votre pays, votre vrai pays c'est celui où vous avez été reçus comme des moins que rien. Navrée pour vous, mais c'est le cours logique de l'histoire. L'Algérie aux algériens, pas aux colonisateurs

  • @Mohamedali-ew4qu
    @Mohamedali-ew4qu Před 3 měsíci

    Malgré tout cela la France continue d'accueillir des millions d algériens et leurs donne sa nationalité...la France est une grande Nation

  • @carpediem-gk9zn
    @carpediem-gk9zn Před 2 lety

    Le Maroc cela était beaucoup moins.. tendue
    C'était l'aventure pieds noirs
    Une grande famille,avec ceux de Tunisie...le Maghreb et l'apport culturel français
    Beaucoup sont en nll Calédonie...sur le cailloux. Depuis...ou ailleurs
    Comme les Acadiens de jadis
    Ou les français de Louisiane
    Éternelle ambassadeur de la France

  • @jadorelesjonquilles984

    honte à la france

    • @alainmangold9916
      @alainmangold9916 Před 3 lety

      surtout honte à l'OAS et aux généraux félons du putsch....

    • @jadorelesjonquilles984
      @jadorelesjonquilles984 Před 3 lety

      @@alainmangold9916
      tout à fait
      honte à ces militaires débiles ( pléonasme ) qui voulaient GARDER l'Algérie, pays horriblement " colonisé "
      juste pour le POUVOIR sur les occupés
      - minables Hitler du Maghreb, tentant de gagner enfin leur première guerre - raté ! 🌻

  • @chaouimontpellier34sami87

    Vous avez pris le peuple algérien pour vos boys et vous vous êtes enrichi sur leur terre .. arrêté de vous faire passer pour des saints ...l Algérie aux peuple algérien ..pas au colons.

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

    • @berberkamel4751
      @berberkamel4751 Před 2 lety

      ce n'est qu 'un slogans les algeriens a l algerie mais pas l algerie aux algeriens de quel algeriens vs parlez modifier vs intentions helas gardez vs pieds sur terre

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety

      @@berberkamel4751 - : "Corrigez d'abord votre français et unifiez vos commentaires en un seul au lieu de dégobiller plusieurs fois. "

    • @berberkamel4751
      @berberkamel4751 Před 2 lety

      la personne habituée pied nus oubliera ses chaussures @@ahmedbennour9125

    • @berberkamel4751
      @berberkamel4751 Před 2 lety

      sans haute opinion , je vs enseigne moi au moins je parle quatre langues que j ecris bcp mieux est que je parle assez souvent how are you @@ahmedbennour9125

  • @coz95160
    @coz95160 Před 3 lety +5

    C'est bien joli de vous plaindre les pieds noirs en attendant vous fermiez les yeux sur les inegalités en Algérie. Vivre dans le déni c'est bien beau mais à un moment ça vous pendais au nez.

  • @user-ec4lx4gx5y
    @user-ec4lx4gx5y Před 10 měsíci

    L Algérie de papa est morte ,o mon pays perdu

  • @krimoflory3868
    @krimoflory3868 Před 4 lety +7

    Du paradis a l'enfer parceque vous avez voler tout le bonheur et les biens des algerians qui n'etait pas le votre

  • @dssdgrr7661
    @dssdgrr7661 Před 3 lety +1

    J'ai quitté mon pays j'ai quitté ma maison le ciel bleu la mer une main devant une main derrière en laissant tout derrière moi car les algériens sont coriace et hors du commun hahaha hihihi et maintenant c'est macron qui nous fait la misère

  • @ouridaalaska4244
    @ouridaalaska4244 Před 3 lety

    VILLALONGA TU T'EN ES BIEN SORTIE HEIN!!!!!

  • @STOPEJECTPLAY
    @STOPEJECTPLAY Před 4 lety +3

    Moi ce qui m'a choqué c'est comment les pieds noirs méprisaient les soldats de metropole venus au casse pipe pour leur sauver les fesses.

    • @danielcanova4397
      @danielcanova4397 Před 4 lety +2

      moi aussi !!

    • @marcelprouzet3301
      @marcelprouzet3301 Před 4 lety +3

      Tu ne t'est pas demander pourquoi nous autres pieds noirs en 14 ont est venu se battre pour vous et en 40 on a laisser des morts pour vous liberer des Allemands vous l'avez oublier !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    • @laf0699
      @laf0699 Před 4 lety +4

      STOPEJECTPLAY C’est l’histoire du verre d’eau.. il parait qu’il y a eu l’histoire de la botte de paille en Alsace en 39/40. Faut arrêter avec ces bêtises...
      Les PN avaient de l’estime pour ceux qui se battaient pour les défendre.. ils étaient partis par le passé de nombreuses fois « la fleur au fusil » défendre la mère patrie.. plus de 20 classes d’âge mobilisés en 40.. la tunisie, la campagne d’italie, le débarquement de provence.. Juin seul maréchal de France de son vivant.
      Par contre, ceux qui se comportaient mal avec les filles PN durant les bals, qui ne pensaient qu’à la quille, qui se couchzient sur les voies ferrés pour ne pas partir et qui n’en avaient rien à foutre de l’algérie ne devaient pas s’attendre à être bien accueillis.. Tous les dimanches, des appelés étaient invités chez mes grands parents à manger.. Avez vous entendus parlé de cela ?

    • @jacquelinemerolla3386
      @jacquelinemerolla3386 Před 3 lety +1

      Pas très courageux les petits patos,qui pensaient qu'à la quille.Il y en a combien qui se sont retournés contre la France en bons petits communistes.Comme leurs parents en 39/45 qui avaient préféré collaborer avec les allemands,et qui après la guerre étaient tous des résistants.Heureusement que les alliés ,l'armée d'Afrique commandée par des pieds-noirs,sont venus vous sortir de votre merde.De temps en temps il faut ressortir les livres d'histoire.La vraie.

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

  • @facinacer300
    @facinacer300 Před 3 lety +2

    Des vautours..... Bon débarras !!!

  • @ilyesrayan564
    @ilyesrayan564 Před 3 lety +1

    l'Algérie n'était jamais française

    • @jacquesterras9169
      @jacquesterras9169 Před 3 lety +5

      Elle était berbère mais pas Arabe! C'est juste. Colonisée par les Romains, les Arabes, les Ottomans et enfin les Français en représailles, ne pas oublier, aux attaques barbaresques. Mais en cherchant bien vous trouverez pourquoi il y avait des esclaves chrétiens par milliers à Alger jusqu'en 1830... Bonne recherches et bonne lecture!

    • @asles2636
      @asles2636 Před 3 lety +2

      @@jacquesterras9169 bien repondu certain sont contre la colonisation française et pas celle des arabes qui ont tué aussi ,violé ,volé ,.......et leur poison seme encore la division au pays des berberes

    • @berberkamel4751
      @berberkamel4751 Před 2 lety

      bravo l 'algerie algerienne est l' afrique aux africains

    • @ro1988ro
      @ro1988ro Před 2 lety

      @@berberkamel4751 et la France aux français

    • @berberkamel4751
      @berberkamel4751 Před 2 lety

      personne d'autre ne dira le contraire vs avez bien raison , la france au francais (es) mais a ma connaissance les européens d'algerie ont droit de revenir voir leurs pays natal algeriens

  • @brahimayad5029
    @brahimayad5029 Před 4 lety

    Un seul mot insupportable.

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

  • @saidouboukak5296
    @saidouboukak5296 Před 3 lety

    oublier jamai que ca les jamai deranger que on soi des chiens des colons

  • @lauthentiquelepur5534
    @lauthentiquelepur5534 Před 2 lety

    CEST PAS 1 MILLIONS DE PIEDS NOIRS QUI A ETE RAPATRIE EN FRANCE.............IL FAUT PAS OUBLIER QUE 300 000 FRANCAIS SONT RESTES EN ALGERIE.

  • @alibenabi7451
    @alibenabi7451 Před 4 lety +1

    les pieds noirs cachaient dans la soupe et se qui leurs est arrive s'était inéluctable c'est la justice divine.

    • @loubecarut2192
      @loubecarut2192 Před 4 lety

      pas divine, cette fois, mais bien justice des hommes...et des femmes!

    • @Hamani-gy9rn
      @Hamani-gy9rn Před 4 lety

      @@loubecarut2192 non monsieur,tout ce qui se passe dans ce bas monde,se passe avec la volonté de Dieu «Allah» et sa connaissance ,et la vraie juste justice sera accomplie le jour où nous serons tous (du premier homme créé au dernier, qui subira le Grand boum)debout devant nôtre créateur.ce jour ,là soyez sûr justice sera rendu à tous au moindre détail d'une taille d'un atome.Dieu merci qu'il nous a éclairé le chemin dans ce bas monde.

    • @cocoycook8777
      @cocoycook8777 Před 4 lety +4

      La justice divine c est là chaos qui règne en Algérie depuis le départ des pieds noirs et des glorieux harkis.

    • @ahmedbennour9125
      @ahmedbennour9125 Před 2 lety

      L a France officielle appelait ça la pacification ! ...Il est un fait acquis de dire que les colons se sont permis de la distraction sur le compte ayant trait avec la vie des Algériens. Pour eux, il s’agit simplement des hors la loi à exécuter froidement comme si on achève une bête souffrant d’un mal inconnu pour ne pas la laisser à la merci de sa peine. Arrêtons-nous sur un fait suivant faisant la différence : L’intellectuel français et professeur à l’université de la Sorbonne : Roger Garaudy, fut arrêté pendant la guère de l’Algérie par l’armée française et jugé par la cour martiale, et ce, pour sa position de pro-indépendantiste de l’Algérie. La sentence de la mise à mort était le verdict final. Cependant, l’armée française a désigné un engagé d’origine algérienne pour accomplir la besogne. Mais, le simple soldat algérien répondit : - « je ne pourrais faire ça car ma religion m’interdit de tuer un prisonnier et si vous voulez nous tuer tous les deux faites le de vous-même… » Voilà, des croyants, il y a des hommes loyaux de ce qu’ils ont promis à Dieu quant à la stricte application des recommandations.(écolier en 1960) Le temps courait et les décennies se sont commutées aux autres et ont trainé jusqu’à nous enfants cette arrogance. Pas plus tard qu’en 1960, à l’école (1ère année élémentaire classe annexe non loin de l’église à Saint-Léonie/ Arzew département d’Oran, autrefois), un instituteur se permet en plusieurs fois de me poser le pistolet sur le front en disant aux enfants de ses concitoyens français étant mes camarades de classe : Celui-ci est un petit fellaga. Car, étant assis dans à la table d’en face de son bureau. À la récréation, mes condisciples ne se font guère prier, par curiosité, pour venir me poser la question inhérente au pseudonyme articulé par l’instituteur. En conséquence, ma réponse pour eux marquait toujours le même pas en négation catégorique car je ne savais rien de ces questions énigmatiques. En chaque fois que les rejetons de ses concitoyens se calèrent et s’achoppèrent sur une difficulté et faute de dénicher la réponse, il me signifie de monter au tableau pour leur expliquer et c’en était l’opportunité de les tancer et récuser. Mais, au lieu d’aller leur tirer à eux les cheveux, c’est à moi qu’il arrache les miens en me cognant la tête au tableau en serinant la même phrase : vous vous laisser défaire et malmener drôlement par ce minable fils de Falaga, n’éprouvez-vous pas de honte !. Puis, il se ressaisissait et venait m’amadouer de sa main coupable voire outrageuse. Cet instituteur nous haïssait cordialement, nous étions cinq algériens parmi une quinzaine de Français ; deux fillettes, une camarade mitoyenne à la classe annexe, ma sœur Zohra et trois autres garçons. Cette histoire s’est tellement répété car j’étais l’élève qui passait assez souvent au tableau pour la même cause ayant trait aux leçons comme dans l’habituel qu’une camarade de navette quotidienne dont la mère nous a demander d’en prendre soin de sa fille, elle est devenue la camarade la plus proche de nous. Or, ni le prénom et ni le nom n’y sont plus dans mes souvenirs, en cours de sentier de retour à la maison par simple curiosité, a fini par me demander si je savais la signification du mot « Falaga ». Évidemment que mon bas âge ne put me permettre d’avoir une moindre idée dans ce volet ; pour moi, il s’agissait de parole insignifiante ni plus et ni moins. Mais, la camarade a saisi ses parents de la question. Quelques jours après, par un matin en passant l’appeler comme il était de coutume, sa mère ma questionna si l’instituteur disait de moi un petit Falaga, ma réponse pour elle était oui madame. Elle tourna sa tête à 180° en appelant son époux pour écouter le débat rabâché ! Au moment où le maitre s’enlisait dans le cours que subitement, on entendit des coups de poings à la porte donnant sur la cour. Le maitre lança : j’arrive. A sa surprise, ce fut le directeur délégué M. Parison de l’école communale (excusez-moi d’avoir oublié : la mère de la camarade, le condisciple en elle-même et son père et ni de l’instructeur, AOS, ou encore de sa substituante. Pour moi, c’est froissant dans la mesure où l’essence a fui mes souvenirs mais ainsi soit-il). Ce dernier signifia au maitre de sortir de la classe et menèrent en conclave une discussion durant un court laps de temps. Et de sitôt, l’instituteur retourna en classe en me demandant de le suivre. Et là, j’ai retrouvé le père de la camarade qui me dira - : « comment-appelles-tu ?» - j’ai répondu Bennour Ahmed. Puis, ajouta et Falaga - j’ai répliqué que c’est le maitre qui dit ça. - Que te fais le maitre sur le front ? - Un pistolet d’eau en fer ! Et là l’instituteur a failli s’effondrer à terre. La discussion a spontanément pris fin. J’ai vertigineusement regagné la classe et le maitre aussi ; Cependant, le maitre observa un mutisme glacial, hormis qu’il n’ait fait halte de soupirer durant tout le reste jusqu’à ce que la cloche ait sonné. J’ai dit un pistolet d’eau par ce qu’un Français plus âgé que nous, venait en chaque après-midi nous sélectionner en Arabe par là et Français par ici le long du mur de l’église attenante et de suite se mit à nous arroser d’eau nous les enfants arabes en épargnant ses concitoyens (cette histoire est longue à narrer, j’en passe) … Il (l’instituteur) s’agit d’un membre de l’OAS. Personnellement, il m’a été donné l’opportunité d’avoir par pure coïncidence été témoin du fait suivant : C’est en 1960, je reviens de l’école en cet âge là un peu prématurément, lorsqu’ alors un petit véhicule de couleur rouge transportant trois (03) personnes à bord fait halte à proximité d’une personne en uniforme de travail le faisant distinguer des autres personnes. Le conducteur lui demande de leur indiquer le chemin menant vers une direction de la ville d’Arzew dans le district, actuellement se nomme Wilaya, d’Oran dans l’ouest algérien. L’indolent se tourne voulant leur montrer l’itinéraire sollicité. Soudain, des coups de feu éclatent. Il tombe là tout en sanglot, Et succombe suite au saignement en flot prompt ayant coulé du corps. Le véhicule repart roulant à tout allure…Cet individu était un garde champêtre. Il évoluait dans la localité appliquant et suivant les strictes et propres instructions de l’autorité locale; il s’appelle Mr Nekka, c’est un Algérien. Pourtant, cet agent opérait en rendant bien des services forestiers au camp de l’administration coloniale. C’était un des leurs serviteurs un ange gardien des champs et forêts. Les membres de l’OAS s’en prenaient confusément à tout agent algérien employé par l’administration coloniale en se vengeant prématurément; de peur qu’il soit le cadre de demain d’une Algérie souveraine. : - « Il y a dans ce coin des répétiteurs furtifs qui notent toute activité assistante de leurs yeux d’aigle et méchants(Les pareils des Harkis). Toute personne qui se manifeste pour le secourir serait mise sur la liste noire et connaitra en perspective le même sort en cash, en comptant. En martyr, le militant discret est subitement allé au firmament.» me dira, mon père un peu plus tard. En ce qui nous concerne, nous avons tourné la page sans la déchirer. Mais la France officielle fait couler en coulisse une opinion ignoble à l’instar du président Macron. Et qui saura que M. Jean-Luc Mélenchon…

  • @mohamedelwahrani1577
    @mohamedelwahrani1577 Před 4 lety +2

    La rout tourne tout sque vous raconter la vous l'avais mérité sa vous ai plu de prendre les terre des musulman et de les apauvrire abuser de ses faible gens et bien en récolte se que l'on sème g envie de dire