Boris Cyrulnik : Barbara & resilience
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- čas přidán 24. 07. 2024
- "I got through it, since I'm singing," said Barbara. Neuropsychiatrist Boris Cyrulnik analyzes the mystery by which the singer was able to metamorphose her injuries into poetry.
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Comme j'aimerais que la voix douce et l'intelligence du coeur de cet homme accompagne mon mal de vivre!
Alors je vous remercie d'exister et de nous transmettre les secrets de la résilience.
Sans la nommer elle a guidé ma vie. Chaque fois que je vous écoute je comprends mieux comment l'utiliser pour vivre mieux.
Je suis un être qui le mérite mais j'ai eu l'immense privilège de côtoyer Barbara quand j'étais toute petite fille.
Aussi peut être me lirez vous mais je souhaite vous transmettre ce que j'ai entendu et vu auprès d'elle.
D'abord la chanson Nantes. Elle en a parlé mais elle a voulu laisser un voile autour de cette chanson. Elle m'a fait des confidences à ce sujet. Sans la trahir...je veux néanmoins à vous glisser quelques mots. Un peu à mots couverts mais comprennent qui veuille.
Nantes elle a mis de ce qu'elle m'avait raconté...4 ans à l'écrire. Pas comme les autres chansons qu'elle raturait jusqu'à trouver le mot juste, la bonne tournure.
Lâ Nantes elle en a écrit plusieurs versions très différentes les unes des autres et je crois une fois abouties alors elle les détruisait sauf la version publique. Pourquoi ? Parce que elle n'avait pas etudié la psychologie mais à travers l'écriture elle a fait ce travail. Une version remplie de haine et de colère, une version remplie de tristesse et de désespoir...
Elle a du écrire une dizaine de version. Chaque version finie lui plaisait mais elle savait qu'ainsi écrite le public ne pourrait pas la recevoir. D'autant qu'une fois la chanson terminée ses sentiments avaient basculé vers de nouvelles émotions.
Même auprès de moi elle n'osait pas partager le fond sa pensée.
Aussi elle a procédé de la sorte, elle m'a pose des questions m'interdisant d'y répondre.
Pourrais tu me comprendre si je te disais tout ce qui m'est passé par là tête en recevant cet appel? Alors c'est qu'il va mourir ? Va t il vraiment mourir où est ce une excuse pour me revoir. Est ce triste s'il meurt. Est ce grave si j'y mets toute mon énergie et que je n'arrive pas à temps. S'il meurt vraiment me sentirai je enfin soulagée, libérée apaisée. Parviendrai je à lui pardonner. Et si j'accepte son pardon serait ce sincère, le penserai je réellement au plus profond de moi ou me mentirai je à moi même. Si je suis fatiguée en route, que j'ai envie de faire pipi au je le droit de m'arrêter.
J'espère que ce partage aura du sens.
Une fois elle a été excedée et m'a dit combien elle avait été blessée...ce n'était pas au sujet de son père mais son immense déception pour madame qui lui tenait tant à cœur et d'avoir ressenti une blessure profonde. Presque un sentiment de trahison d'avoir eu la sensation d'être incomprise. Cette déchirure était profonde et excessivement douloureuse. Depuis la fin des représentations... malgré les années la douleur était intense et vive.
J'ai besoin de revenir sur deux autres points.
Sa judaïté et son rapport à l'argent.
Régulièrement elle avait des périodes où dans la plus grande intimité elle mettait en boucle sur plusieurs jours des chansons juives. Et là encore elle me questionnait.
Pourquoi j'écoute ça. Je ne suis même pas juive. Si je le suis (alors qu'elle fréquentait les églises catholiques pour se ressourcer). Suis je juive ? Oui, non. Et si je le suis qu'est-ce que ça signifie ? Qu'est-ce que je dois faire ?
C'est une réflexion obsédante qui revenait très souvent.
Son rapport à l'argent... personne ne l'a comprise. Elle "trichait" n'avouait pas qu'elle était une très bonne comptable, Sachant au centime près ce qu'elle faisait.
Elle n'avait pas vraiment digeré cette période où ni sa famille ni son entourage ne la soutenait dans son projet de faire carrière dans la chanson. Elle a vécu au fond de ses entrailles comme une blessure profonde la faim, l'angoisse de la rue...la joie immense de toutes ces petites mains tendues pour l'aider. L'immense richesse d'un bonjour d'un sourire reçu vécus comme des profonds soleil...ou si près de la chanson de l'auvergnat. Sa reconnaissance immense envers des prostituées SDF et gitans qui l'ont aidée.
Parfois en rentrant chez elle, elle croisait des SDF. Toujours elle s'arrêtait leur parlait. Moi comme petite fille je ne comprenais rien mais elle avait un rituel. Elle prenait quelques minutes et pretextait un contretemps rapide. Leur faisait promettre de l'attendre... qu'elle revenait aussitôt. A l'époque je n'y comprenais rien. A peine rentrée chez elle je pensais elle allait peut être se changer, ou leur préparer un sandwich... rien de tout cà. Une fois rentrée elle était comme dans une sorte de crise parlant à voix haute qu'elle aussi avait vécu ça, que certaines elle était de terminer sa vie pauvre. Elle tournicotait dans sa tête ses souvenirs, le témoignage fraîchement reçu, en tournant en rond, comme une ruminante. Puis subitement disait "cà suffit ça a assez duré, il faut se dépêcher d'y retourner". Et lâ elle arrivait sereine et sans filtre faisait s'exprimer dans les moindres détails la personne... pour se comprendre elle même pour tenter d'aider l'autre. Elle donnait beaucoup d'argent à des œuvres mais venait les contrôler sans les prévenir pour savoir si l'argent qu'elle donnait et dont elle connaissait les montants au centime près était bien depensé.
Elle voulait faire plaisir a son entourage. A moi elle me donnait beaucoup d'attention et de tendresse et du coup ne me faisait pas de cadeau sauf une fois une robe sortie d'un film... pour que je me sente fière la plus belle la plus importante. Une robe rose à tulle et paillettes argentées.
A ses collaborateurs elle voulait faire plaisir... mais était dans l'angoisse de mal faire, de se tromper ou de les écraser avec son argent. Alors elle était maline elle faisait ceci. Si quelqu'un lui disait tiens j'aime bien la dernière moto sortie...qu'en penses tu... elle laissais une sorte d'image d'indifférence. En secret allait aussitôt l'acheter. N'en parlait pas...laissait couler l'eau sous les ponts puis inventait des histoires "tiens un jour j'ai croisé un charlatan...il m'en a raconté des vertes et des pas mûres, que sa fille était malade et que pour la soigner il avait besoin d'argent et m'a proposé de lui acheter sa moto. Je ne sais pas pourquoi j'ai dit oui... maintenant je suis embêtée je ne sais pas quoi en faire. Tu ne connaîtrais pas quelqu'un qui serait intéressé que je lui donne. Tu ne fais pas de la moto toi? Car ça me debarasserait".
Voilà la Barbara que j'ai eu l'immense plaisir et privilège de côtoyer.
Une femme merveilleuse.
Non elle savait sa valeur. Le seul point qui n'allait pas elle ne se trouvait pas belle et n'arrivait pas à faire la paix avec son corps.
Sauf son nez que parfois elle partait en vrille et me disait"il est moche ce nez, non? Ça fait juif, enfin c'est ce que Hitler aurait dit, non ? Alors ce nez est sublime. C'est le plus beau nez du monde et éclatait de rire.
Merci à vous pour l'étude de la résilience.
C'est un cadeau précieux.
Un trésor.😘
Quelle sublime réflexion sur Barbara et ses blessures intérieures qui s'expriment par des perles de poésie. Je suis un amoureux de la chanteuse face à ses déclarations d'amour chantées poétiquement. Je reste figé dans son paradis inventé pour l'éternité. Barbara n'est pas morte. Elle vit dans notre mémoire ne serait-ce qu'en l'écoutant. Monsieur Boris Cyrulnik je vous remercie pour votre explication de sa personnalité. Bruno LEROY, éducateur social.
Cet homme nous propulse dans une multiples de références autant psy qu'historiques, philosophiques, sociologiques, poliques... Un vrai humaniste , s'il n'existait pas, il faudrait le créer !
Je viens de réaliser ce qu'il dit "quand on met Barbara, on ne fait rien à côté, on s'assoit et on écoute". Et je me rends compte que c'est exactement ce qu'il se passe pour moi. Je la mets et automatiquement, je dois laisser tout ce que je fais pour me laisser pleinement transpercer par les mots (toujours justes) et la mélodie (toujours simple mais toujours parfaite).
Mais c’est vrai d’habitude quoi que j’écoute je fais toujours quelque chose . Mais quand c’est elle je fais rien . Je reste assis et j’écoute ou chante en même temps.
Merci à Monsieur Cyrulnik pour ces mots, cette vision de la poésie. Depuis toute petite j'écris des poèmes et je viens peut-être d'en comprendre l'origine. J'en apprécie d'autant plus la résonnance.
Une analyse pleine de profondeur et de beaute. Merci!
Faut il embellir la réalité pour résilier
J'avais 16 ans, et je suis tombé amoureux d'elle et cela continu (je suis un quinqua). J'ai eu le plaisir de la voir au Châtelet (Paris) 1987. Quel bonheur. Quel répertoire, une oeuvre gigantesque, une femme pleine d'humanité par ses actions et par son écriture. "au coeur de la nuit " et "l'amoureuse" 2 chansons qui me sont chères. Merci Madame.
Moi je l’ai découverte en 6eme. Elle décédait 2 ans plus tard donc jamais pu la voir en concert
Je découvre Barbara à travers Boris Cyrulnk. :) Merci.
Il ont connu une enfance similaire...lui Juif Russe elle Juif .Les deux pourchassés par la Gestapo?
Analyse passionnante, pleine de finesse…
Un bel hommage, teinté de poésie…
Merci monsieur . je vous souhaite un bon shabbat. Shalom
J'en apprend beaucoup avec Boris, j'aime écouter sa voix, ce qu'il dit.
Je revois volontiers, le regard de Boris sur Barbara, fort intéressant, un grand merci !
oui je suis pleinement d'accord j'ai fait la même chose qu'elle, j'ai transmuté l'horreur de l'inceste et je suis devenue poète. Oui les enfants n'attendent que ça que leurs parents abuseurs sexuels leur disent "je t''aime" et leur demande pardon. Ce n'est pas possible car les familles qui font cela sont dans la haine et la non communication. La transmutation de l'horreur de l'inceste, de l'impensable, en poésie n'enlève pas la souffrance. Il me semble que le problème est que la société ne protège pas les enfants, que lorsque ceux-ci dénoncent les violences sexuelles ils ne sont pas crus. Quand aux peines encourues par les criminels qui violent leurs enfants elles sont dérisoires. il y a bien une impunité de fait de l'inceste. Je dirais même que l'inceste est toléré dans notre société dans la mesure où l'on en parle pas. Chacun est libre de violer ses enfants en secret.
🤔🙁👁🐬
Toujours heureuse d'entendre ce grand monsieur, que j'ai eu le bonheur de rencontrer, il y longtemps. Admirable et en même temps, tellement accessible.
Il parle de choses et de sujets qui nous " parlent " vraiment.
Loin d'avoir vécu ce qu'il a pu vivre, j'ai appris, à l'adolescence et plus tard, (et encore parfois) la résilience. Avec la chanson, la musique, la poésie, la littérature, la danse, le théâtre, etc. Et le rêve..
J'ai appris ce mot bien des années plus tard, mais j'ai compris que j'avais pratiqué la chose dès l'enfance. J'ai toujours chanté, du plus loin que je me souvienne (tiens, du " Barbara "), j'adorais ça, et cela me faisait du bien. De même pour la lecture, et le reste ensuite. D'abord, pour sortir du monde dans lequel je vivais, qui ne me convenait pas. Puis pour " sortir de ma vie ", à l'adolescence, suite à un traumatisme.
[Jean Ferrat, mon mentor, a commencé, à cette époque, à me sauver ,et continue encore, grâce à ses chansons. Beaucoup d'autres, pour ma plus grande joie, ont suivi.]
Le milieu dont j'étais issue, l'éloignement des " métropoles ", la timidité et la paresse aussi (peut-être ?), ont fait que je ne me suis pas tournée vers la chanson, comme métier.
J'ai choisi le domaine de la santé. Mais je n'arrête pas de chanter (j'ai pris aussi des cours, étant adulte), il paraît que j'aurais l'oreille quasi absolue.. je danse aussi, beaucoup; j'ai alors l'impression que la musique fait partie de moi.
J'écris aussi, de la poésie surtout. J'ai plein d'autres idées, et j'ai commencé des romans, mais comme je l'ai dit, je suis paresseuse. J'aime dessiner aussi, et je m'essaie à plein d'autres activités manuelles artistiques. Cela fait, en grande partie, mon bonheur.
Pour oublier l'horreur, qui nous entoure trop souvent.. Amitiés à M. Cyrulnik
J'apprécie et approuve ce que dit Boris Cyrulnique. Excepté le fait que la chanson "Nantes selon moi, n'est pas aussi suggestive, que "l'aigle noir" qui exprime toute son agression avec unepresque clareté.
merci pour les larmes enseignantes que je verse
A 7 ans a Juan les pins, j'ai vu barbara qui marchait vers moi sans me voir. J'ai été sidérée . J'ai crié barbara . Elle m'entend me voit me regarde et me prend dans ses bras émue qu'une petite fille la connaisse.... la reconnaisse. Je chantais dis quand reviendras-tu et bien d'autres.
Magnifique !
@@mireillebernard1696 oui magnifique 🎶🎶
Mais c'est du Prévert, c'est le Barbara de Prévert :
" Il (elle) a crié ton nom
Barbara
Et tu as couru vers (elle) lui sous la pluie
Ruisselante ravie épanouie
Et tu t'es jetée dans ses bras
Rappelle-toi cela Barbara"
Sauf que ça ce passait pas à Juan les Pins mais à Brest.
@@MrAndreasy merci , faut que je te dise , Prevert je l'Aime .... Alicante :
Une orange sur la table
Ta robe sur le tapis
Et toi dans mon lit
Doux présent du présent
Fraîcheur de la nuit
Chaleur de ma vie
Pas étonné . Elle adorait les enfants , qu’elle n’a jamais eu. Elle était très proche des enfants . Le frère de la femme d’un grand oncle n’est autre que Romanelli son accordéoniste qui l’a accompagné toute sa carrière. Et il disait que pas avoir eu d’enfants était son grand regret. Et elle était top avec les enfants qu’elle croisait
Magnifique Boris. Merci pour cette compréhension donnée.
Je comprends mieux Barbara grâce à Boris Cyrulnik, comme il m'a éclairé sur le sens dela vie et la compréhension de l'homme.
Extraordinaire.. je commence à me comprendre
Elle a d'ailleurs souvent dit , sans même qu'on ne lui demande rien que "c'était ce chemin là et qu'il fallait le faire" comme quelque chose d'inéluctable. Elle disait aussi "c'est ma vie, mais ce n'est pas ma vie" que j'ai toujours interprété comme "je me guéris à ma façon, même si cela me fais passer à côté de ma vraie vie"
Je l'ai toujours sentie dans un long processus de reconstruction. les traumatismes n'ont pas manqué dans son enfance, elle a eu cette immense chance de percevoir très tôt son chemin de résilience (enfant, elle jouait à la pianiste chantante disait-elle) D'autres auraient sombré dans la maladie mentale.
C'est en ce sens que son art est extrêmement touchant car il résulte d'une démarche de guérison où la triche n'a pas sa place.
Ce que dit Patrick maillard est hyper juste, mais dire que Barbara était heureuse, je ne pense pas - Je l ai vue (mais je ne peux pas dire où) par secret pro, donc arrivée 'nature' Je veux dire sans maquillage etc.. Je peux vous dire qu'elle avait attiré mon regard+++ Avant de la reconnaitre, j avais vue une immense dame avec des pieds longs +++ Une robe un peu gitane longue, et un chapeau de paille immense - Mais arrivée à moi, je n ai vue qu'une femme aux traits vraiment alcoolisée - Et je n 'écris pas cela pour la 'dénigrer' car j 'adore Barbara. Elle était déjà âgée. Cela m avait fait peine +++ qu'elle s'était t soignée aussi par l 'alcool - Ce n'est pas une critique, car j ignore ce que je serais devenue si j avais vécue ce qu'elle avait enduré. 'Nul ne peut guérir de son enfance' Que cela ce qu'elle avait vécu ou la maltraitance, ou même chez les gens riches qui couvrent de cadeaux et d'argent, de vacances etc.. de luxe et j e passe un enfant, mais qui n a pas 'le biberon essentiel de l amour' Cela crée des maux, car il manque les mots. Ce n'est que mon opinion, peut être n 'est ce que ma vérité, je ne sais pas en vérité- Mais c'est ma façon de réfléchir- Que notre immense BARBARA SOIT TOUJOURS LA TOUJOURS TOUJOURS
Un amoureux de Barbara
Quel homme formidable !!
A travers toute les oeuvres de Barbara l'on sent sa souffrance, on la devine par sa discrétion et sa délicatesse dans ses paroles, mais quand on connaît sa vie c'est très clair, comme l'a si bien expliqué Boris Cyrulnik neuropsychiatre 💘💘 💘💘 💘💘 💘💘
Et dans sa manière d’interpréter ses chansonson sent cette fragilité qui nous touche toutes et tous.
Ses amis étaient jaloux. Merci j'en apprends sur Barbara
Merci 🌟
J'ai un peu connu Barbara à la fin des années 80, elle disait que jeune elle avait tenté la psychanalyse qu'elle avait arrêtée en réalisant que ça l'empêchait d'écrire des chansons.
Ses chansons ont été sa psychanalyse ! Un malheur pour du bonheur donné.
Un vrai savant et bienveillant !🐬
Beau regard sur Barbara
Monsieur Cyrulnik, pourquoi pardonner à son père, pour se faire tant de mal et faire du mal aux hommes de sa vie ? Mais vous avez raison, Barbara est magique
"Elle donne beaucoup parce qu'elle pense qu'elle ne mérite pas"... Je trouve cette analyse particulièrement tranchée et donc singulièrement coincée dans le cadre d'une généralité de psychothérapeute. Elle n'avait pas et tout à coup elle possède quelques biens...pourquoi ne partagerait-elle pas les bienfaits de cette réussite par tendresse, parce qu'elle sait que l'argent n'est pas cette "réussite" que la "réussite" c'est de vivre libre en choisissant son chemin? Pourquoi n'y a-t-il aucune nuance dans le propos de cet homme?
La résilience!!! Barbara en connaissait un "rayon"!
merci
🙏🙏
C'est justement par sa discrétion absolue sur sa vie privée, (elle ne parlait pas de son passé même dans l'intimité), par la connaissance qu'elle avait d'elle-même et sa grande créativité dans son art, qui ne s'est jamais démentie, c'est par tout cela que Barbara n'avait que faire d'une "thérapie", fut-ce avec B. Cyrulnik qu'on a connu, brièvement, ouvert au doute et humble. C'est le fait d'être encensé par des couillons de toutes sortes qui le rend apte à disserter sur tout ?
Ce n'est pas "Le Piano noir", écrit par Charlebois et interprété par Barbara, mais "L'aigle Noir". Quel lapsus !
Boris Cyrulnik fait référence au livre publié post-mortem "Il était un piano noir - mémoires interrompus" dans lequel elle retrace son parcours.
Je ne crois pas que cette artiste soit
Complètement libérée de sa douleur
Cela se voit sur son visage
Quand on écoute Barbara il faut la
Regarder aussi. C est comme pour
J brel...
Mais tellement !!!
Pourquoi donc êtes-vous si timide , comme dans « l’excuse permanente « , dr. Cyrulnik ?
Le piano noir, les paroles sont de Daniel Thibon,
mince elle chantera pas les écorchées vifs de Noir Désir
Mais j'ai LE LIVRE de Martin GRAY GREY
LES FÔRCES de la VIE
Sur ma tâble de
CHEVÊT Ki c'est STILLAL ?
L aigle noir c'est son cauchemar de tts les nuits de souffrance :guerre, enfant cachee.
d'ou a t elle puise cette force et pouvoir surmonter cette souffrance?.???
Madame TOUIT a
De la nécessité même de s'extirper de cette souffrance
LE PIANO NOIR une chanson qui lui colle à la peau mais c est une chanson de Robert Charlebois.
Quelle livre?
Oui j'ai compris! il parle du livre..Pour m'excuser czcams.com/video/O-pbKgIEEaQ/video.html
En évaluations GOUVERNEMÊNTÂLE ?
que sîgnifie?
POUR EVERS' oui MONSIEUR en AngleTERRE .
Monsieur cyrulnick vos paroles sur Mme Barbara sont presque indécentes. Elle ne voulait pas ou ne pouvait pas en parler, pourquoi le faîtes vous à sa place. On n'a pas besoin de vos analyses de comptoir. On avait tout compris en écoutant ses chansons, et depuis bien longtemps. Je trouve que vous ne la respectez pas.