#FACTSTORY
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- čas přidán 6. 10. 2022
- #histoire #vulgarisation #benin #amazone #womanking #Afrique
Bienvenue dans ce premier épisode de #FACTSTORY dédié aux guerrières "amazones" du Dahomey.
N'hésite pas à t'abonner !
Filmé avec : Huawei mate 20 pro
Monté avec : Première pro
Un grand merci à @othniel.artiste pour les illustrations 🎨 / othniel.artiste
et @sabinevnq pour la miniature. ✨🖼
/ sabinevnq
Retrouve-moi ici 😉 : / thefrenchieblackgirl
Les sources bibliographiques :
Les femmes guerrières du Dahomey- Jardin des sciences bit.ly/3rB3bl2
destinationafrique.io/amazone...
www.jeuneafrique.com/452511/c...
The Women Soldiers of Dahomey (Women in African History) by UNESCO
www.bbc.com/afrique/region-58...
À plus pour une prochaine Factstory !
merci, aujourd'hui j'ai beaucoup appris sur l'histoire des ancêtres. j'espère qu'un jour j'irais labàs
au benin
Merci beaucoup à toi pour ton documentaire. Il m'a permis d'en apprendre davantage sur l'histoire de mon pays le Bénin ancien Danxomè.☺️
Trop cool ce format en épisodes CZcams ! Et toujours aussi intéressant. Hâte de voir la suite 😊💪🏾
Merciiii
👍🏾👍🏾
Tu as gagné un nouvel abonné du Bénin 😘
Bienvenue ! 🇧🇯
Trop stylé !
Super video, très instructive !
Merci 🥹
Merci
Bonjour, très bien parce que beaucoup de gens prétendent vouloir retourner a ce qu'elles/qu'ils sont vraiment et continuent d'utiliser les mots de nos envahisseurs, le changement ne se fera pas d'un claquement de doigt mais selon moi il faut s'y mettre tout de suite...(Bono Kamite de Madinina Martinique vivant à Madinina Martinique pour l'instant colonie française européenne ex-colonie anglaise aussi etc...)
La Martinique n'est pas une colonie c'est un département français doute mer
Pouvez-vous nous parler du règne du roi Adandozan ?
Bonsoir au passage
Très belle question. Le roi qui a mis fin momentanément à la traite des esclaves
Hello, je note ! 😊
On dit annexion pas annexation
Si tu sais que la référence aux Amazones a été appliquée aux Agoodjié par les colons alors pourquoi la reprendre à ton compte dans le titre de ta vidéo ?
Hello, merci pour ton commentaire, j'ai repris le terme amazones en le soulignant entre guillemets justement pour permettre au personnes qui ne les connaissent que sous ce nom de découvrir leur histoire et leur nom d'origine justement. :)
Comment on dit esclave au Dahomey ?
et comment on dit bouffon en rebeu ? Espèce de jaloux lol
À la 5e min ! Faux madame absolument faux ! L'esclavage n'a jamais existé dans la société africaine avant l'arrivée de l'Homme blanc et arabe !
En tant qu'africaine il faut arrêter de s'abreuver aux sources occidentales de cette période sombre de l'humanité !
Et ce n'était pas une traite c'était une razzia !
De cette époque nous connaissons tous les grands empires et les grands rois établis par les us et coutumes ancestrales, qui gouvernaient avec légitimité.
citez parmi ces empereurs ceux qui avaient ordonné de vendre leur population !
Il n'en existe pas ! Même dans les langues africaines authentiques vs ne trouverez pas le mot esclave ça n'existe pas !
Serviteur oui ! Captif oui !
À ce titre bcq de nos historiens (omotoundé, coovi rekmire, klah...) ont déjà évacué cette question, allez les lire vs en apprendrez bcq afin d'éviter de faire le jeux des théoriciens occidentaux de la vente de noirs par les noirs comme un certain zemour !
En tant qu'africaine vs devez maîtriser la vraie histoire de votre continent !
Des rois ont été installés par les esclavagistes et imposés au peuple, ceux là ont traité avec les esclavagistes c'était leur mission avec la totale désapprobation du peuple et c'est à partir de là qu'ils ont construit la théorie du noir qui vent le noir, qui pousse les africains à se détester partout ds le monde et ce sont les propres africains qui nourrissent cette idée par leur ignorance !
Aller chercher votre vraie histoire ne vs la laisser pas conter par ceux qui ont massacré vos ancêtres ou par ceux qui ont été complices,car vs les tuer une 2e fois.
Bonjour, je prend note de votre remarque, je pense que le terme captif ou serviteur aurait été plus approprié en effet. Merci pour le tips sur les historiens africains, j’irais voir de ce côté. 😊
@@thefrenchieblackgirl 🙏🏿 Mme ! Ça commence par cette attitude d'humilité que vs présentez ds votre réponse 👍🏿
Ces livres pourront vs aider:
histoire des "traites négrières", critique afrocentrée d'une négrophobie académique. De klah popo.
La traite négrière européenne vérité et mensonge de JP Omotoundé. Bon courage !
J'attends votre analyse du film sur les amazones pour vs critiquer 😝👊🏿
Ce sont les occidentaux qui nous poussent à nous détester ? 🤣🤣🤣🤣 Tu considères les Africains et noirs comme des gosses incapables de cruauté ? C'est très bien Bisounoursien !
Exactement ! Ces démons parle de l'Afrique comme d'un pays et tout le monde gobe tranquillement qu'autant de cultures africaines différentes aient vendus leur semblable ça n'a juste absolument aucun sens c'est irréaliste !
Nous disposons d’une excellente monographie réalisée par un historien beninois, Félix Iroko, sur un autre de ces marchés, celui d’Hêvié. Ici, la traite européenne apparaît bien comme le prolongement de pratiques africaines traditionnelles. Ce n’est pas une innovation, mais plutôt une évolution du système. Le marché étudié fut créé à l’initiative d’un chef local vers la fin du XVIIe ou le début du XVIIIe siècle et il dura une soixantaine d’années.
18Les captifs étaient drogués, ligotés et bâillonnés, cette dernière précaution ayant pour but de les empêcher de proférer des malédictions contre ceux qui les avaient vendus. Ils étaient liés par des cordes à des pieux enfoncés dans le sol.
19Leur prix était variable en fonction des saisons ; des contingences politiques favorables - les guerres tribales - ou non ; de leur origine ethnique ; de leur sexe ou encore de leur âge. Ils étaient échangés contre la monnaie de coquillages, les cauris, qui parvenaient sur le port de Ouidah où ils étaient déchargés des navires européens. L’unité de prix était le sac de raphia contenant environ 20 000 coquillages. En moyenne, il fallait donner 4 sacs pour acheter un homme adulte et vigoureux et 6 pour une jeune fille.
20Sur ce marché, l’on vendait surtout des femmes pour alimenter une demande locale. L’explication de ce commerce est claire : le prix d’achat d’une captive sur le marché était inférieur aux prestations matrimoniales qu’un homme désirant se marier devait acquitter aux parents de sa future épouse pour obtenir d’eux le droit de l’épouser. De plus, explique l’auteur de l’article, ces femmes étaient particulièrement soumises puisqu’elles n’appartenaient pas au groupe ethnique de leur mari et qu’ainsi elles avaient perdu leurs solidarités familiales protectrices.
21Le marché était quotidien, et toute la journée, à même le sol, l’on comptait les coquillages. Quel fut le total des hommes, mais surtout des femmes, qui furent exposés et vendus sur ce seul marché d’Hêvié ? Le chiffre est énorme, car les ventes portaient sur environ 50 individus par jour ce qui, multiplié par soixante années, donne un résultat d’au moins un million de captifs et de captives.
22Ces femmes étaient achetées par des Africains du voisinage ou par d’autres qui venaient parfois de plus loin. Une fois vendus, les captifs prenaient deux directions. Ou bien ils étaient destinés à la « consommation locale » ou bien ils étaient revendus aux Européens, mais ces derniers sont totalement absents durant la première phase. Catherine Coquery-Vidrovitch [7]
[7]
Coquery-Vidrovitch (C.), « Le pillage de l’Afrique… a remarqué que dans cette région du golfe de Guinée comme à l’intérieur du continent noir, les Européens « se contentaient d’attendre dans quelque rade bien abritée les chargements d’esclaves qui leur étaient livrés par des caravanes descendues de l’intérieur, par les " traitants " professionnels africains spécialisés dans ce trafic de courtage ».
23Seconde erreur, celle qui consiste à prétendre que les activités de traite introduites par les Européens ont eu un autre effet néfaste sur les sociétés africaines, dans la mesure où celles qui se consacrèrent à la capture des esclaves abandonnèrent leurs activités économiques traditionnelles au profit de la recherche de captifs. Il faudrait chercher dans cette seconde raison une cause aggravante du sous-développement de l’Afrique. Là encore, nous disposons d’exemples qui viennent infirmer cette hypothèse. Celui qui est cité par Renault et Daget et qui traite du royaume de Loango et de l’ethnie vili en est une bonne illustration :
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« (...) la vente pour l’exportation ne détériore pas l’institution interne car les captifs vendus aux Occidentaux ne sont jamais capturés à l’intérieur du royaume : ils proviennent de l’extérieur à la suite d’une quête longue, peut-être jusqu’aux grands royaumes Luba et Lunda qui frôlent les grands lacs. Ainsi, la population vili qui n’est pas impliquée dans la traite continue ses activités traditionnelles, agricoles et halieutiques [8]
[8]
Renault-Daget, op. cit., p. 108.. »
25Autre idée reçue, celle des profits tirés de la traite. René Dumont prétend que :
26
« C’est le captif, le paysan vaincu par des tribus plus guerrières et mieux organisées, qui a été vendu comme esclave et qui a fait la fortune des Amériques. Les profits de cette traite sanglante ont facilité la révolution industrielle ; et c’est ainsi que les inégalités entre ceux qui ont ainsi accédé au " développement " et les autres, les " laissés-pour-compte " d’une économie dominante, n’ont cessé de s’approfondir [9]
[9]
Dumont (R.), Pour l’Afrique, j’accuse. Paris, 1986, p. 38.. »
27Deux éléments sont à mettre en évidence dans cette phrase de Dumont. L’auteur connaît bien l’Afrique et il sait que ce sont des Noirs qui ont vendu d’autres Noirs. Mais comme le postulat tiers-mondiste est que les Blancs sont dans tous les cas responsables de tous les malheurs de l’Afrique, c’est donc grâce aux profits réalisés sur ce commerce que la révolution industrielle s’est effectuée. Ainsi, la substance volée aux uns a, par un système de vases communicants, permis l’enrichissement des autres. Cette affirmation, car il ne s’agit que d’une affirmation, a été renvoyée dans le râtelier des armes du tiers-mondisme « de papa » par les nombreuses publications qui se sont intéressées à la question. Quelques remarques supplémentaires permettront d’en prendre toute la mesure.
www.cairn.info/afrique-l-histoire-a-l-endroit--9782262007119-page-127.htm
Merci,chère Soeur ,de grâce ! articulez mieux et parlez moins vite car on ne perçoit pas tout ce que vous dites...RÉÉCOUTEZ VOUS...
Avant de dire des inexactitudes tu devrais mieux te documenter.
Il n' 'y a jamais eu d esclavage en Afrique. Les européens regroupent les pratiques sous le même nom afin de noyer le poisson et se déculpabiliser. Nous ne devons pas entrer dans leur sémantique.
En Afrique on parle plus exactement de domestiques ou de serviteurs. Seuls les européens ont pratiqué l'esclavage barbare et inhumain qui est bien documenté. Ne salissons pas nos ancêtres en les mettant au niveau des européens cruels et inhumains merci.
Mais bien sûr, les peuples d'Afrique sont de pauvres petits bisounours, c'est bien connu.
Ce sont les maures noir musulman musulman qui on pratiqué l'esclavage en Espagne en Provence et ils capturais des soudanais les rrevendais en Afrique du Nord en Inde le roi Renée de Provence a été obligé de faire venir des italiens en Provence pour compenser
Les européens on aboli l'esclavage mais l'esclavage existe toujours en Inde au Pakistan en Mauritanie malgré l'abolition de1983
Tête et accent bizarres..