La catastrophe de l'Euro - Avec Jean-Jacques Rosa (21 novembre 2014) - 2ème partie

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  • čas přidán 8. 09. 2024
  • Le 21 novembre 2014, Paul Deheuvels recevait dans son Libre Journal des Sciences et des Techniques de Radio Courtoisie, Jean-Jacques Rosa, professeur à l’Institut des Sciences Politiques, auteur de "L'euro : Comment s'en débarrasser" aux éditions Grasset (2011), pour une émission particulièrement complète, très pédagogique, retraçant toute l’histoire de l’Euro depuis sa genèse jusqu’à sa situation d’aujourd’hui, relevant les aberrations et les mensonges volontaires ou non qui ont présidé à son instauration, ainsi que les conséquences souvent dramatiques en matière d’ économie et de souveraineté qu’a entrainées le passage tant voulu par notre oligarchie européiste à la monnaie unique dans toute la zone Euro.
    1ère partie : • La catastrophe de l'Eu...
    Marc LEROY - La Plume à Gratter
    « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux » La Boétie
    www.laplumeagratter.fr

Komentáře • 4

  • @edernigforet3925
    @edernigforet3925 Před 9 lety

    C'est sûr que face à la Chine, aux Etats-Unis, au Brésil, à l'Inde, la fin de l'euro et la fin de l'Union nous aidera beaucoup... à accélérer la ruine de la France. Amusant de constater que Maurice Allais le nobel d'économie 1988 (l'époque, donc, où la Chine n'était pas encore la première puissance économique du monde) est cité , mais pas notre prix nobel 2014 Jean Tirole. Enfin bon, on sait bien pour qui roule radio courtoisie.

    • @jacquestachot7665
      @jacquestachot7665 Před 9 lety +1

      pas besoin d'être sorcier pour savoir toi pour qui tu roules!!!!

    • @edernigforet3925
      @edernigforet3925 Před 9 lety

      On se tutoie? Pas très courtois ça...

    • @laetiziagraziani9899
      @laetiziagraziani9899 Před 3 lety +1

      Informez-vous ailleurs que dans les grands medias subventionnés si vous voulez connaître la vérité sur l'euro et l'Union Européenne. Ne vous fiez pas à ce que répètent les medias, leur rôle est de faire vivre les citoyens dans un monde d'illusion et de servir certains intérêts, qui ne sont pas ceux des peuples.