Dommage que nous en soyons là dans ce carcan,dans cette immonde fanche boueuse et puante qu'est le tribalisme. C'est une grosse menace qu'il convient de juguler, avec une approche conséquente,approfondie,et surpassée. Cet embourbement,elaboré par les regents du système aujoulatiste,requier pour tous ceux qui ont pri la pleine mesure de l'urgence d'une conscience proactive,le devoir de réinitialiser,la porté stratégique de l'action pour le mieux être partagé au Kamerun,par le truchement d'une remobilisation politique.Et,lorsque j'affirme la contingence politique du problème,j'exclus de prime abord,dans la perspective de cette pensée les manoeuvres politicienne. Autant les bamilekés sont victimes de l'instrumentalisation tribalistes par certains élites betis vereuses.Autant au sein des différentes composantes ethniques et tribales du Kamerun.Les clivages ethno et tribo-centriques structures et alimentes en substance le jeux et les enjeux du système de prevarications qui tient lieu au Kamerun depuis le rendez vous manqué de l'upecisme le 1janvier 1960. La gravité de la manoeuvre tribaliste est une donnée centrale et épineuse,qui pèse aujourd'hui plus que jamais sur l'avenir et le devenir même des territoires coloniaux "souverainisés"par mandat dès les années 60. Nous pouvons pas ici,que nous soyons bamilekés,betis,sawa, nordiste... ..etc,envisagé l'avenir de cette trappe coloniale qu'est le Cameroun,sans faire l'exegèse de son histoire,sans dresser la radioscopie de son état réel,afin de saisir les points saillants de sont être profond pour réinventer la communauté de destin,auquel notre mémoire collective nous y confonds. À cet effet,les petits phrases malencontreuses,averées ou accident elles des uns et des autres,ne saurai à l'égard de la conscience du Kamerun en avant,que des symptômes d'une maladie congénitale à un ensemble de maux et de tares qui pèse sur nos vies communes. Très humblement.
Wehhe Cameroon
Tu as tout dis frère
Dommage que nous en soyons là dans ce carcan,dans cette immonde fanche boueuse et puante qu'est le tribalisme. C'est une grosse menace qu'il convient de juguler, avec une approche conséquente,approfondie,et surpassée. Cet embourbement,elaboré par les regents du système aujoulatiste,requier pour tous ceux qui ont pri la pleine mesure de l'urgence d'une conscience proactive,le devoir de réinitialiser,la porté stratégique de l'action pour le mieux être partagé au Kamerun,par le truchement d'une remobilisation politique.Et,lorsque j'affirme la contingence politique du problème,j'exclus de prime abord,dans la perspective de cette pensée les manoeuvres politicienne. Autant les bamilekés sont victimes de l'instrumentalisation tribalistes par certains élites betis vereuses.Autant au sein des différentes composantes ethniques et tribales du Kamerun.Les clivages ethno et tribo-centriques structures et alimentes en substance le jeux et les enjeux du système de prevarications qui tient lieu au Kamerun depuis le rendez vous manqué de l'upecisme le 1janvier 1960. La gravité de la manoeuvre tribaliste est une donnée centrale et épineuse,qui pèse aujourd'hui plus que jamais sur l'avenir et le devenir même des territoires coloniaux "souverainisés"par mandat dès les années 60. Nous pouvons pas ici,que nous soyons bamilekés,betis,sawa, nordiste... ..etc,envisagé l'avenir de cette trappe coloniale qu'est le Cameroun,sans faire l'exegèse de son histoire,sans dresser la radioscopie de son état réel,afin de saisir les points saillants de sont être profond pour réinventer la communauté de destin,auquel notre mémoire collective nous y confonds. À cet effet,les petits phrases malencontreuses,averées ou accident elles des uns et des autres,ne saurai à l'égard de la conscience du Kamerun en avant,que des symptômes d'une maladie congénitale à un ensemble de maux et de tares qui pèse sur nos vies communes. Très humblement.