Bonjour, Sur un altimètre à aiguille classique comme celui que vous présentez il n'y a pas 2 mais 3 aiguilles (centaines, milliers et dix-milliers) Il y a bien d'autres inconvénients du QFE qu'un simple problème de calage de l'instrument et ce n'est pas pour rien qu'il n'est utilisé que pour des cas très particuliers. Il ne peut être utilisé que par rapport à une référence au sol (un terrain) et tous les avions du secteur n'auront pas cette référence. Ainsi si des avions évoluent au QFE sur des terrains proches mais qui sont à des altitudes différentes ils ne pourront pas se comprendre. Il me semblait que l'altitude de transition en espace non contrôlé était de 3000 pieds AMSL et non 3000 pieds ASFC. En zone montagneuse il est évident qu'on ne passe pas notre temps à passer du QNH au calage standard, on passerait en effet constamment d'une règle à l'autre donc on reste au QNH même si on a 5000 pieds sous l'avion.
Bonjour, tout d'abord merci pour votre retour ! Vous avez tout à fait raison, j'ai malencontreusement oublié de préciser la 3ème aiguille de l'altimètre étant donné le peu de fréquence de son utilisation en aviation légère. J'en suis désolé. Je laisserai un message en description afin de le préciser. Merci beaucoup. Et pour le QFE vous avez raison, il est clairement plus simple de ne plus l'utiliser même si c'est toujours légal sous les 3000 pieds ASFC. Par contre, l'altitude de transition en espace aérien non contrôlé est bien de 3000 pieds ASFC. Si vous trouvez une source officielle qui en dit le contraire, je suis preneur !
Ces vieilles technologies ne craignent pas le brouillage électronique, continuent à fonctionner lorsque un Switch saute ou qu'un composant électronique est en panne. L'aéronautique n'est pas la recherche de la performance ou du dernier truc technologique mais la recherche de la fiabilité et de la sécurité.
Toujours un plaisir de regarder les vidéos
Merci ! Le plaisir est mien !
Super ta chaîne! Les explications sont claires. Merci beaucoup et bonne continuation !
Merci pour ton retour !
C'est très bien expliqué, bravo et félicitations.☺️👍
Merci beaucoup !!
Merci, car c'est toujours très clair
Merci à vous !
1-QNH : Natural Horizon
2-QNE : Natural Earth
3-QFE : Field Elevation
Très bon mnémotechnique aussi ! Je ne le connaissais pas !
@@PilotePourTous Merci à vous, bonne continuation !
Merci, vous de même !
Bonjour,
Sur un altimètre à aiguille classique comme celui que vous présentez il n'y a pas 2 mais 3 aiguilles (centaines, milliers et dix-milliers)
Il y a bien d'autres inconvénients du QFE qu'un simple problème de calage de l'instrument et ce n'est pas pour rien qu'il n'est utilisé que pour des cas très particuliers. Il ne peut être utilisé que par rapport à une référence au sol (un terrain) et tous les avions du secteur n'auront pas cette référence. Ainsi si des avions évoluent au QFE sur des terrains proches mais qui sont à des altitudes différentes ils ne pourront pas se comprendre.
Il me semblait que l'altitude de transition en espace non contrôlé était de 3000 pieds AMSL et non 3000 pieds ASFC. En zone montagneuse il est évident qu'on ne passe pas notre temps à passer du QNH au calage standard, on passerait en effet constamment d'une règle à l'autre donc on reste au QNH même si on a 5000 pieds sous l'avion.
Bonjour, tout d'abord merci pour votre retour ! Vous avez tout à fait raison, j'ai malencontreusement oublié de préciser la 3ème aiguille de l'altimètre étant donné le peu de fréquence de son utilisation en aviation légère. J'en suis désolé. Je laisserai un message en description afin de le préciser. Merci beaucoup. Et pour le QFE vous avez raison, il est clairement plus simple de ne plus l'utiliser même si c'est toujours légal sous les 3000 pieds ASFC. Par contre, l'altitude de transition en espace aérien non contrôlé est bien de 3000 pieds ASFC. Si vous trouvez une source officielle qui en dit le contraire, je suis preneur !
Dans le soucis d’éviter la sainte Odile il serait temps de changer ces vieilles technologies 😢
Haha ! Effectivement vieilles mais toujours fonctionnelles !
Ces vieilles technologies ne craignent pas le brouillage électronique, continuent à fonctionner lorsque un Switch saute ou qu'un composant électronique est en panne.
L'aéronautique n'est pas la recherche de la performance ou du dernier truc technologique mais la recherche de la fiabilité et de la sécurité.
Tout à fait !