Après la Guerre d'Espagne

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  • čas přidán 17. 06. 2023
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    Sources :
    Pierre Broué et Émile Temime, La Révolution et la guerre d'Espagne, Paris, Les Éditions de Minuit, coll. « Arguments », janvier 1996
    Hugh Thomas (trad. de l'anglais par Jacque Brousse, Lucien Hess et Christian Bounay), La Guerre d'Espagne : Juillet 1936 - Mars 1939 [« The Spanish Civil War »], Paris, éd. Robert Laffont, coll. « Bouquins », janvier 1997
    Joseph Pérez, Histoire de l'Espagne, Fayard, 1996, 926 p
    Aline Angoustures, Histoire de l'Espagne au XXe siècle, éditions Complexe, 1993, 370 p.
    Peter Jean-Pierre. L'histoire à l'épreuve de la guerre d'Espagne. In: Annales. Economies, sociétés, civilisations. 19ᵉ année, N. 1, 1964. pp. 142-174.
    GODICHEAU François, « Les violences de la guerre d’Espagne », Revue d’Histoire de la Shoah, 2008/2 (N° 189), p. 413-430.
    Arnaud Imatz et Pierre Chaunu, La guerre d’Espagne revisitée, 2e éd. mise à jour et Augm, Paris, Economica, 1993, (« Histoire »).
    www.futura-sciences.com/scien...
    www.marianne.net/culture/le-d...
    Arnaud Imatz et Pierre Chaunu, La guerre d’Espagne revisitée, 2e éd. mise à jour et Augm, Paris, Economica, 1993, (« Histoire »).
    Jean-François Berdah, « Épuration et répression politique en Espagne pendant la guerre d’Espagne et la post-guerre (1936-1945) », Amnis
    Sagnes Jean. Les français et la guerre d'Espagne. In: Vingtième Siècle, revue d'histoire, n°27, juillet-septembre 1990. Dossier : La rue et la fête du Front Populaire. pp. 117-119.
    Andrée Bachoud et Bernard Sicot (dir.), Sables d'exil : les républicains espagnols dans les camps d'internement en Afrique du Nord (1939-1945), Mare Nostrum, 2009.
    Blandine Veith, « V. Ortiz, V. Jorge, & A. Lopez. Viva la Républica. Mémoires d’un couple de républicains espagnols », L'orientation scolaire et professionnelle, 34/1 | 2005, 106-108.
    www.histoire-immigration.fr/c....
    www.liberation.fr/apps/2019/0...

Komentáře • 3

  • @max-louisvier595
    @max-louisvier595 Před rokem +2

    Il y a une quinzaine d'année, j'avais rencontrer un français d'origine espagnole.
    Sa famille était venue en France à la fin de la guerre civile.
    Quelques années auparavant, il avait été en Amérique latine et avait retrouver des cousins dont les parents avaient fui l'Espagne à cette période.
    Il en avait retrouvé à Cuba et en Argentine.
    Camilo Cienfiegos, un des commandantes les plus célèbres de la révolution cubaine, juste après les frères Castro et le Che, était d'origine espagnole, ses parents étaient un couple de réfugiés anarchistes espagnols.
    Dans les Cévennes ils y avaient, dans les maquis, beaucoup d'espagnols, ainsi que des anciens des brigades (allemands, autrichiens et italiens).
    Mais c'est sûr que la répression après la guerre civile espagnole, comme celle ayant suivi la Commune, ont grandement détruit les mouvements ouvriers en Europe.
    De même après l'insurrection spatakiste en Allemagne.

  • @lluchvazquez7940
    @lluchvazquez7940 Před 3 měsíci +1

    Et que dirai-je de ma Famille !
    Mon Güelin (Papy en Bable) assassiné en novembre 1937 et jeté dans une fosse commune avec 6 autres, et une vingtaine d'autres à quelques dizaines de mètres. Mon grand-père parce qu'il a préféré subir la torture et la mort plutôt que dénoncer ses 2 fils combattants.
    Mon oncle (ainé de mon père) n'a pas pu s'échapper des Asturies. Avec sa compagne, ils ont commencé une vie de fugitifs errants de bergerie en abri sommaire dans les montagnes asturiennes, ravitaillés clandestinement par des amis et sympathisants quand ils le pouvaient. En février 1940, ils seront débusqués par les fascistes dans un abri de berger. Pour ne pas tomber vivants qui signifiait tortures pour les 2 et viol pour elle avant. Il a tiré l'avant dernière cartouche dans les cœur de sa compagne qui le suppliait de le faire avant de retourner l'arme sur sa tempe et se donner la mort.
    Mon père, 19 ans en 1936, a combattu dans les Asturies, el Frente del Norte, isolées du reste de la République de juillet 1936 à novembre 1937 avant de s'échapper par bateau vers la France.
    Il a refusé d'être interné et a choisi de reprendre le combat sur le front de Catalogne contre les troupes franquistes soutenues par les aviations fascistes de Mussolini et nazi d'Hitler qui ne se sont pas gênés de bombarder les populations civiles des grandes agglomérations et notamment Barcelone.
    Ma mère me racontait qu'après les sirènes d'alertes, les gens les entendaient arriver dans une onomatopée d'un prénom, "ramon, ramon,ramon, ramon, ramon" répétée à l'infini avant qu'un déluge de feux et d'enfer leur tombe sur la tête .
    Participant à l'aide et au secours des blessés, une fois voyant un homme gisant à terre dont le haut du torse et les épaules disparaissaient sous des gravats, c'est un corps sans tête qu'elle a dégagé en le tirant délicatement par les pieds.
    Elle avait à peine plus de 16 ans.
    En février 1939, mon Père passera la frontière parmi les derniers, dans son uniforme de l'Armée de la République Espagnole, récemment blessés face à l'ennemi.
    La Retirada, Premiers soins au fort de Bellegarde (le Perthus) transformé en hôpital militaire, Argelès-sur-Mer, Marseille où il rencontre ma mère quand elle apportait sa gamelle à mon grand-père sur le chantier de la CTE où tous les deux travaillaient.
    Transféré à Gurs le 29 mars 1941, alors qu'il savait ma mère enceinte de ses oeuvres, il s'en évade 11 jours après son arrivée.
    Il retrouve, en Isère, ma mère avec mes grands parents maternels, mon frère ainé naitra à Rioupéroux le 28 novembre 1941.
    Ensuite il rejoindra un groupe de résistants dans les Pyrénées Catalanes, au-dessus de Prades (Valmanya), pour combattre les armes à la main les allemands et la Milice, au sein des AGE, dans les FTP-MOI, eux-mêmes englobés dans les FFI
    Son nom est inscrit dans la partie "Mémoire des Hommes" du Ministère des Armées comme reconnaissance de ces actions dans la Résistance.
    Né en 1950 ma première langue était le Catalan par ma mère et mes grands parents, mais aussi le Castillan, mâtiné de Bable avec mon père.
    Puis l'école primaire "vous ne devez plus parler "étranger" chez vous sinon votre fils sera "inculte" en français".
    "Pero ojala tengo siempre la voz de mi padre en mis orejas cuando intento de hablar castillano" ;
    "pero quan vull parla catala es amb l'accent del principat, l'accent de Sabadell i de Barcelona com em parlaven els meus avis"

  • @beatriceterret-teillard4181

    Je pense au poème d'Aragon qui commence ainsi, lorsque vous reviendrez car il faudra revenr