Bonjour Otto je me présente je suis Audrey j'ai une chaîne Twitch et je lance une soirée lecture. J'aimerais pouvoir passer des moments de ta vidéo lors d'un live le 5 juin sur j'irai cracher sur vos tombes. Mais pour ce faire j'ai besoin et surtout envie d'avoir ta permission. Évidemment que pendant le live la source sera nommée. J'espère que tu es toujours à tif sur ta chaîne bonne journée Audrey.
Bonjour, Pas de soucis pour utiliser la vidéo :) Tu peux partager le lien de ta chaîne Twitch si tu veux, s'il y a des personnes qui passent par là, ça pourrait les intéresser
Moi qui ne suis pas amateur d'histoire de l'art et qui ai lu ce roman, j'apprécie votre bonus... Boris Vian a été victime d'un kompromat de sensitive readers ! Quel précurseur !
Par contre, je m'aperçois que j'ai lu l'original. Et si le style diffère peut-être des autres romans de Boris Vian ( je ne sais pas, je n'ai lu que celui-là, accroché par le titre), c'est incontestablement " une histoire d'amour." Tchekov a parfois eu le même problème avec son œuvre, et un public qui avait le rire gras, et occultait tout ce qui n'était pas son bon plaisir. Or, on le sait, la littérature russe n'est pas seulement " lourde", elle est " dense" aussi. Mais, si vous entreprenez la lecture de j'irai cracher sur vos tombes, comprenez bien que c'est une histoire d'amour et non une histoire de haine.
Enfin, et vous faites vraiment bien, vous replacez la genèse et la publication de ce roman dans son contexte. Cela en fait " un pavé dans la marre". C'est moins évident pour un lecteur français contemporain, raisonnablement conscient du racisme.
Je n'ai pas revu cette vidéo depuis la publication qui suivait de peu ma lecture de ce livre. Il faudrait peut-être que je me replonge dedans mais je sais que ce n'est pas l'amour qui me reste en mémoire après plusieurs années . "J'irai cracher sur vos tombes" avait une vraie intention de choquer parce que "le biftek vaut son pesant de nougat et le nougat ça coûte cher" (cette phrase a été écrite par Boris Vian dans la préface du 2nd livre de Vernon Sullivan "Les morts ont tous la même peau" dans laquelle il revenait sur la polémique). Chaque personne a sa sensibilité et ce livre n'est pas à mettre entre toutes les mains, il raconte des scènes des violences sexuelles, de pédo-criminalité et de meurtre, et ce dans un style cru. Ce n'est pas pour rien si Vian a décidé de l'écrire sous pseudonyme.
le SON mec, le SON, s'il te plait.
super vidéo merci beaucoup c'étais hyper intéressant
Bonjour Otto je me présente je suis Audrey j'ai une chaîne Twitch et je lance une soirée lecture. J'aimerais pouvoir passer des moments de ta vidéo lors d'un live le 5 juin sur j'irai cracher sur vos tombes.
Mais pour ce faire j'ai besoin et surtout envie d'avoir ta permission. Évidemment que pendant le live la source sera nommée. J'espère que tu es toujours à tif sur ta chaîne bonne journée Audrey.
Bonjour,
Pas de soucis pour utiliser la vidéo :)
Tu peux partager le lien de ta chaîne Twitch si tu veux, s'il y a des personnes qui passent par là, ça pourrait les intéresser
@@Otto_LB Bonjour c'est super gentil , mais ca me gene , je suis heureuse que tu me donnes
ton accord. Bonne journee a toi
excellente vidéo !
Un prédateur de femmes pas soumises je suis.... Andrzej
Super vidéo 👍
Super vidéo. Bravo
Merci beaucoup !
J’adore ce que tu fais continue comme ça tu es top👌
Merci !
Moi qui ne suis pas amateur d'histoire de l'art et qui ai lu ce roman, j'apprécie votre bonus... Boris Vian a été victime d'un kompromat de sensitive readers ! Quel précurseur !
Par contre, je m'aperçois que j'ai lu l'original. Et si le style diffère peut-être des autres romans de Boris Vian ( je ne sais pas, je n'ai lu que celui-là, accroché par le titre), c'est incontestablement " une histoire d'amour." Tchekov a parfois eu le même problème avec son œuvre, et un public qui avait le rire gras, et occultait tout ce qui n'était pas son bon plaisir. Or, on le sait, la littérature russe n'est pas seulement " lourde", elle est " dense" aussi. Mais, si vous entreprenez la lecture de j'irai cracher sur vos tombes, comprenez bien que c'est une histoire d'amour et non une histoire de haine.
Enfin, et vous faites vraiment bien, vous replacez la genèse et la publication de ce roman dans son contexte. Cela en fait " un pavé dans la marre". C'est moins évident pour un lecteur français contemporain, raisonnablement conscient du racisme.
Je n'ai pas revu cette vidéo depuis la publication qui suivait de peu ma lecture de ce livre.
Il faudrait peut-être que je me replonge dedans mais je sais que ce n'est pas l'amour qui me reste en mémoire après plusieurs années .
"J'irai cracher sur vos tombes" avait une vraie intention de choquer parce que "le biftek vaut son pesant de nougat et le nougat ça coûte cher" (cette phrase a été écrite par Boris Vian dans la préface du 2nd livre de Vernon Sullivan "Les morts ont tous la même peau" dans laquelle il revenait sur la polémique).
Chaque personne a sa sensibilité et ce livre n'est pas à mettre entre toutes les mains, il raconte des scènes des violences sexuelles, de pédo-criminalité et de meurtre, et ce dans un style cru. Ce n'est pas pour rien si Vian a décidé de l'écrire sous pseudonyme.