Daniel Cohen publie « Il faut dire que les temps ont changé »

Sdílet
Vložit
  • čas přidán 21. 11. 2018
  • La société industrielle s’effondre. Elle laisse place à la société digitale. C’est le constat de Daniel Cohen. Dans son essai « Il faut dire que les temps ont changé » (Éditions Albin Michel), l’économiste s’interroge sur l’évolution de l’économie et des sociétés occidentales depuis cinquante ans, pour mieux comprendre la réalité d’aujourd’hui. Il ouvre également sa réflexion sur les enjeux de la révolution numérique, le transhumanisme ou encore l’avènement du populisme.
  • Zábava

Komentáře • 9

  • @pa7957
    @pa7957 Před 5 lety

    tres interressant et bien explique :))))

  • @perre-marielegov4342
    @perre-marielegov4342 Před 5 lety +1

    la société numérique à remplacée la société industrielle , ouais mais bon il dépend que de nos choix et pratiques , ce n'est pas inéluctable. c'est juste le fruit s de l'individualisme inconscient . en chine par exemple la société industrielle est bien là et la numérique aussi, c'est juste que nos décideurs l'on voulu ainsi pour mettre en pace ce système euro pourrit.

  • @gregregregregregre
    @gregregregregregre Před rokem

    l'industrie n'a pas été remplacée, elle a été délocalisée, et on importe ce que l'on ne produit plus. et d'ailleurs l'agriculture n'a pas disparue avec la révolution industrielle non plus, simplement les gains de productivités ont permis d'aller vers le moins essentiel.

  • @ber075
    @ber075 Před 2 lety +1

    .. comme dit diane tell: "de nos jours c'est chacun pour soi".. et elle poursuit aussi "on se sent économe"

  • @Azedoneuf
    @Azedoneuf Před 4 lety

    Les chinois doivent bien rigoler en écoutant ce ramassis de foutaises...

    • @deporteemile8642
      @deporteemile8642 Před 4 lety

      Excusez moi mais en quoi est ce un ramassis de foutaises selon vous ?

    • @Azedoneuf
      @Azedoneuf Před 4 lety +1

      @@deporteemile8642 Son interprétation de que les emplois dans l'industrie ont disparu au profit de boulots qui se font dorénavant majoritairement devant un ordinateur, et qui sont celui-lui moins contraignants, les dérives du management lui passant manifestement aussi à côté, c'est qu'on est à la pointe de la modernité. Parfait. Continuons donc comme ça... On va quand même pas se salir les mains à fabriquer des choses réelles.