Cadeau les enfants, les paroles (j'ai peut-être fait des erreurs, tout n'est pas très intelligible) : Levant au ciel nos verres En regardant les ruines De nos contrées si chères Qui jamais ne s'inclinent À l'heure où tous les fous Ont fini de pleurer Sur la beauté de tout Ce qu'ils jadis aimaient Que le moindre clocher Sonne le glas de l'arme Que chacun sous son toit Se dresse avec ses armes Que tout amour lointain Vierge de l'étranger Coure au devant du flot Qui veut nous submerger Et qu'enfin nous puissions Rejoindre le Ciel Le cœur léger L'âme sereine D'avoir tout essayé Contre leur fiel Démesuré Courons sans peine Et qu'enfin nous puissions Rejoindre le Ciel La conscience en paix, Quitter ce règne Qui nous a déracinés, Coupé les ailes Crever sans peine Et poursuivre nos rêves (musique) Que tout chef d'une race et tout enfant pieux Qui sait sous quel gazon repose ses aïeux Jurant de recouvrer cette place usurpée Frappe d'un coup d'un seul s'il manque d'une épée Et faire que nous verrons ces torrents d'ennemis Des villes et des bourgs promptement revomis Et nous redeviendrons d'insultés que nous sommes Libres, maîtres chez nous, comme il sied à des hommes Que tout chef d'une race et tout enfant pieux Qui sait sous quel gazon repose ses aïeux Jurant de retrouver cette place usurpée Frappe d'un coup d'un seul s'il manque d'une épée Que tout chef d'une race et tout enfant pieux Qui sait sous quel gazon repose ses aïeux Jurant de recouvrer cette place usurpée Frappe d'un coup de sa faux s'il manque d'une épée Certes, nous verrons ces torrents d'ennemis Des villes et des bourgs promptement revomis Et nous redeviendrons d'insultés que nous sommes Libres, maîtres chez nous comme il sied à des hommes. Flemme de retranscrire le texte récité par l'homme à la fin, on entendra ce genre de choses bien assez tôt de toute façon, bisous.
Approuvé par Laurent Obertone.
Cadeau les enfants, les paroles (j'ai peut-être fait des erreurs, tout n'est pas très intelligible) :
Levant au ciel nos verres
En regardant les ruines
De nos contrées si chères
Qui jamais ne s'inclinent
À l'heure où tous les fous
Ont fini de pleurer
Sur la beauté de tout
Ce qu'ils jadis aimaient
Que le moindre clocher
Sonne le glas de l'arme
Que chacun sous son toit
Se dresse avec ses armes
Que tout amour lointain
Vierge de l'étranger
Coure au devant du flot
Qui veut nous submerger
Et qu'enfin nous puissions
Rejoindre le Ciel
Le cœur léger
L'âme sereine
D'avoir tout essayé
Contre leur fiel
Démesuré
Courons sans peine
Et qu'enfin nous puissions
Rejoindre le Ciel
La conscience en paix,
Quitter ce règne
Qui nous a déracinés,
Coupé les ailes
Crever sans peine
Et poursuivre nos rêves
(musique)
Que tout chef d'une race et tout enfant pieux
Qui sait sous quel gazon repose ses aïeux
Jurant de recouvrer cette place usurpée
Frappe d'un coup d'un seul s'il manque d'une épée
Et faire que nous verrons ces torrents d'ennemis
Des villes et des bourgs promptement revomis
Et nous redeviendrons d'insultés que nous sommes
Libres, maîtres chez nous, comme il sied à des hommes
Que tout chef d'une race et tout enfant pieux
Qui sait sous quel gazon repose ses aïeux
Jurant de retrouver cette place usurpée
Frappe d'un coup d'un seul s'il manque d'une épée
Que tout chef d'une race et tout enfant pieux
Qui sait sous quel gazon repose ses aïeux
Jurant de recouvrer cette place usurpée
Frappe d'un coup de sa faux s'il manque d'une épée
Certes, nous verrons ces torrents d'ennemis
Des villes et des bourgs promptement revomis
Et nous redeviendrons d'insultés que nous sommes
Libres, maîtres chez nous comme il sied à des hommes.
Flemme de retranscrire le texte récité par l'homme à la fin, on entendra ce genre de choses bien assez tôt de toute façon, bisous.
ces paroles ... un vrai plaisir , continuez.
Excelenteeeeeee!!!
Vraiment sublime !