Qu'est-ce qui motive les salariés ?
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- čas přidán 10. 02. 2016
- Le bonheur au travail, par André Comte-Sponville : ce philosophe et écrivain de renom s'intéresse au sens du travail et nous propose une réflexion philosophique autour du travail et de la santé. Travailler et être heureux: comment jongler avec nos ambivalences ?
Conférence donnée le 21 janvier 2016 aux Hôpitaux universitaires de Genève.
De temps en temps, je viens voir cette playlist qui contient cet excellent cours, donné par cet excellent professeur. Et je dis simplement "merci". Quel privilège de pouvoir bénéficier de cela gratuitement. Bravo et merci.
Merci pour votre message !
je suis venu a cause du manque de Platon, j'ai serré la main vorace de Shopenhauer puis rapidement Spinoza a surgit et m'a joyeusement posé la main sur l'épaule...
Pourquoi diable avoir scindé cette conférence en 11 séquences?! C'est un tout, c'est un ensemble! Rrrrrr
@Ven. C Parce que sur les réseaux l'attention est courte? C'est à nous d'aller chercher ce qui manque (Platoniciens) pour avoir la joie d'entendre la suite (Spinoziens)
@@TrainingIsArt Selon André une suite, une attente, représente un manque donc j'aurai plutôt dit :"pour re-regarder les séquences qui m'ont procuré une sensation de joie" ;)
Pour ne pas faire peur à un potentiel spectateur qui n'osera pas lancer une vidéo d'une heure ; pour placer onze fois la publicité sur les hôpitaux universitaires de Genève ; pour multiplier par onze la probabilité qu'une des vidéos apparaisse sur le fil des vidéos recommandées (ce qui m'est arrivé, j'ai commencé par la vidéo 8).
Ouais... et c'est galère de courir après l'ordre des vidéos !
Nota bene : Le caractère constructif des diverses remarques ici présentes.
J'ai beaucoup aimé votre conférence ! Ou, devrais-je dire, je me réjouis de l'avoir écoutée :-). Merci !
Donc vous vous réjouissez de ce que vous avez,
plutôt que de vous ennuyer a cause de quelque chose dont vous ne manquez plus . xD
@@themis6958 voilà ! :-)
Un moment de rafraîchissement intellectuel dont nous avons bien besoin ! Merci
Pour être passé de prolétaire à 14 ans en usine, avoir passé 10 ans au PC avec beaucoup de déception, à chef d'entreprise certainement tendance Spinoza, j'admire cette conférence , d'autant que j'ai ouvert mon premier livre de philosophie (Spinoza) à 74 ans.
Bravo et merci Monsieur André Comte Sponville.
Pourquoi avez-vous été déçu par le PC?
Enfant j'habitais un immeuble ouvrier ou tous les locataires avait la même photo sur leur mur, c'etait Staline. J'ai quitté le PC quand j'ai compris ce qu'avait été le stalinisme. S'ajoute le problème palestinien, j'ai choisi les juifs victimes de 2000 ans d'antisémitisme. Il reste que je ne suis plus d'accord avec Marx. Le peuple ne changera pas le monde sous prétexte qu'il n'a rien à perdre. Je veux pas être dirigé par ceux qui avait la photo de Staline dans leur salle à manger. Le peuple n'est pas vertueux, il a voté Hitler... Aujourd'hui il vote FN. Cordialement
Une véritables source synthétisée d'un excellent conseil en managements agile. Bravo et merci 😅
J’ai enfin trouvé grave à vous pour qui voter !
Il nous faudrait Platon en President et Spinoza en 1er ministre
« Tant que les philosophes ne seront pas rois dans les cités ou que ceux que l'on appelle aujourd'hui rois et souverains ne seront pas vraiment philosophes... il n'y aura de cesse aux maux des cités. »
Platon, La République 😇
J'adooooooore ! Il est fabuleux, ce monsieur !
entièrement d'accord!!!!!! rien a redire! vous êtes au top professeur!
J'ai découvert cette playlist en 2022. C'est top!
Merci pour votre commentaire. Nous vous souhaitons une très belle journée, cordialement
Et bien c’était très intéressant !
Merci les HUG et merci à M. Comte-Sponville !
Claire comme de l'eau de roche professeur 👌👌 Merci de nous donnée la chance de vous écoutez
Magnifique, extraordinaire et très belle conférence merci beaucoup professeur
Un charmeur assurément !!
Moi aussi j'ai beaucoup aimé cette conférence.
On peut dire que j'ai écouté cette conférence avec Spinoza.
Super conf ! Hyper interressante !
« À mauvaise paye, mauvais travail ! » Emile Pouget
Une conférence édifiante. Je l'ai découvert pendant le confinement à travers son écrit qui a largement circulé sur la toile et le je le découvre grand orateur qui maîtrise la gestuelle et surtout l'art du conte et de la rhétorique.
Par contre j'ai la question à 1 milliard. J'ai bien saisi la notion de co-responsabilité des manager et des salariés dans le fait pour le premier de créer le contexte de la réjouissance et pour l'autre de se réjouir de ce dont il ne manque pas afin d'être heureux au travail.
Ma question est:" Dans le cadre d'un couple qui est le manager responsable du contexte: conditions de vie du couple, ambiance, utilité sociale et sentiment de participer à une grande aventure?
J'aurai aimé qu'il file la methophore jusqu'au bout parceque je ne suis pas motivé à me mettre en couple à cause de l'ennui, mais là j'ai bien compris qu'il s'agit d'un choix individuel entre schopenhower et Spinoza, mais aussi du contexte, et là je suis moins sûr qu'il s'agisse d'un choix personnel, mais c'est peut-être plus de la responsabilité de l'état d'organiser les bon contexte favorable à l'épanouissement de tous les membres de la famille.
La raison en est simple: la famille est la cellule élémentaire de la société.
dans un couple les 2 doivent créer les conditions de la joie ; ça se fait en choisissant la personne adéquate, et en cultivant le positif en soi et dans la relation (cf. John Gottman ou John Gray)
@@CharlesLeGoff Je suis assez d'accord avec toi. J'aurai cela dit une situation à te soumettre. Prenons une famille plutôt dans la classe pauvre pour que le salaire du père ne suffise pas à nourrir, à abriter et à payer les activités, vacances et divers objets pour chaque membres de la famille.
La femme aurait aimé se charger de l'intendance du foyer, de l'éducation des enfants et créer les conditions de la joie dans la famille et dans son couple. Mais voilà elle doit faire un travail payé à coup de lance-pierre pour contribuer financièrement au fonctionnement du foyer.
Ce travail l'éreinte, idem pour l'homme. Les voilà pris dans un fonctionnement familiale où la pression financière extérieure est tellement forte qu'ils ne disposent de suffisamment de temps et d'énergie pour se consacrer à la création des conditions de la joie dans le couple et dans la famille.
Être mère ou père au foyer c'est un métier: celui de consacrer son temps et son énergie à créer les conditions de la joie dans la famille. Ce métier ne devrait-il pas être rémunéré comme pour contre-balancer la pression financière mise sur le seul petit salaire du couple et reconnaître ce travail comme essentiel au bonheur de la société?
La famille est la cellule élémentaire de toute société. La politique est responsable du bonheur ou du malheur des couples et des familles par la qualité du management qu'elle met en œuvre dans sa gestion des couples et des familles.
@@xaviertiteca-beauport9164 j'arrive un an après mais je ne peux pas laisser ce commentaire sans réponses.
La question ce n'est pas de savoir si l'on a le temps ou l'argent de créer les conditions pour... C'est de trouver ce qui nous réjouit dans le couple ou la famille et le mettre en avant. C'est de l'introspection, de la réflexion avant tout (bref un truc qu"on fait sous la douche, en vacances, en voiture pendant le trajet du boulot etc.)
Et ce questionnement doit être posé par chacun. Un enfant viendra naturellement demander a ses parents de jouer avec lui.
Une fois que les questions sont repondues, on sait quoi faire et le sujet du temps et de l'energie sont à traiter. Il n'existe pas des modes de vies incompatibles avec la vie de couple : un homme et une femme à l'usine en équipe l'un le matin l'autre l'aprem et qui ne se voient pas, ou un chef d'entreprise qui bosse 80h par semaine y compris les dimanches... A chacun de chercher comment faire cohabiter la joie avec son mode de vie. Peut être l'un des deux peut changer de job et avoir des horaires plus classiques, il vaut mieux un peu moins d'argent et une famille heureuse parfois. Peut être le PDG peut il definir des plages horaires dédiées a sa famille, ou faire participer sa famille a des activités "pro" style accompagner en déplacement...
Si ça ne marche pas, c'est que le pdg se réjouit d'avantage de son travail que de sa famille, ou que le couple se réjouit d'avantage de l'argent et du statut social que de son couple. Dans ce cas le problème n'en est pas vraiment un.
Ce commentaire et les réponses associées offrent un complément de compréhension non-négligeable pour appliquer le modèle de Sponville aux couples. C'est dommage qu'il ne soit pas plus mis en avant
Conférence claire et bien rythmée, mais qui hélas, ne va pas au bout. Une question capitale n'est pas soulevée, question à laquelle est pourtant confrontée toute personne qui connait l'ennui et qui aimerait bien le transmuer en joie, dans son couple ou ailleurs : comment faire la différence entre le moment où je dois apprendre à me réjouir de ce que j'ai et celui ou je dois reconnaitre que c'est trop ? Car si parvenir à se réjouir de ce que l'on a c'est bien, cela relève parfois de la lâcheté voire de la soumission car ce que l'on a n'est ni juste ni sain. Certaines situations de couple, certaines situations professionnelles n'appellent pas un travail de résilience mais un ferme claquement de porte. En particulier dans le monde professionnel, une femme de ménage, un livreur, un ouvrier, bref, des métiers où les salariés sont exploités et où rien n'invite à se réjouir mais où tout appelle à se révolter. Sponville se fait ici le garant d'un ordre établi en dépolitisant une question éminemment politique et en enjoignant à se réjouir ceux qui pourraient avoir raison de se révolter.
Bien sûr : comment savoir si il est raisonnable de désirer un peu plus ou si il faut se réjouir de ce qu'on a déjà car c'est déjà très bien ?
Cependant, je pense que la portée du propos est beaucoup plus terre à terre : il finit bien sur une question qui amène à se poser la question, serais-je plus heureux en travaillant ici ou en travaillant ailleurs, un ailleurs qui peut être une idée d'un lieu de travail meilleur.
Bonne soirée
Bonne question, mais je pense que dans le propos de Sponville elle est répondue d'elle même : il s'agit simplement d'être honnête avec ton ressenti. Si dans la situation considéré tu te sens bien, que tu as ENVIE (à ne pas confondre avec besoin) de continuer dans cette situation, alors tu peux te réjouir de ce que tu as, tu montes en Spinoza. Si tu te dis que dans ta situation il y a un malaise ou une souffrance, mais que tu y restes à cause d'un besoin tiers mais que si tu pouvais, tu changerais quelque chose, alors c'est qu'il y a un manque, tu restes chez platon
La motivation et le salaire sont deux choses distinctes.
Pour être motivé il faut être bénéficiaire d’une satisfaction.
Pour gagner une attribution il faut être dépendant d’une certification.
La concordance entre la motivation et le désir nous garanti une rémunération.
merci beaucoup
Exceptionnel
Celui qui fait ce qui lui plaît pour gagner sa vie est l'égal d'un roi .
La morale de l'histoire c'est que le management doit conbattre les pensées platoniciennes des salariés (le désir de travailler dans une entreprise dans laquelle ils ne sont pas)
merci pour cette conférence lumineuse ! qui résonne avec un nombre incroyable de sujets pour moi à la fois dans tout le travail qu'on a entrepris dans notre couple, dans mon boulot et chez nos clients.
Bonjour et merci pour votre retour, nos collaborateurs apprécient de savoir que leur travail rend service. Cordialement.
super conférence merci
Il aurait pu aborder Confucius : Etre heureux c'est aimer ce que l'on a et non avoir ce que l'on aime. Mais sinon c'est tres ludique et tres instructif.
Je dirais que c'est l'ego qui fout le bordel dans tout ça. Il est utilisé , en tout, et pour tout,. Mais il n'ai pas souvent de bon conseil, car il est là somme de nos frustration. Se détacher de cette petite voix intérieure, et la démasqué, ouvre le chan du possible, car , Plus de jugement de soi et de l'autre.
Le pli sort du même tissu cela dépend du geste. Quant au travail, il y a deux façons de l'aborder, soit j execute une tâche, soit je me met au service de de la tâche à accomplir. Et je devient le serviteur universel d'une action qui me dépasse par ça grandeur. Je ne suis pas plus important que mon travail car mon travail est plus grand que moi. Il devient mon enseignant.Et il doit impérativement élevé son élève. Sinon on le quitte.
Grand👌🏽
Tout est dit 👍
Quand je vois les gens rigoler je souffre.
Superbe 🙏🙏🙏
❤✨
Excellent Merci
Bonsoir, j'aime trop la meilleure dont vous expliquez. Merci beaucoup
J'aimerai bien que vous m'aidez à faire le plan de mon exposé: l'approche participative de gestion et la motivation de salariés .
J'ai un doute, est-ce Spinoza aurait apprécié de finir en argument de management ... pas sûr...
Les salariés sont motivé par la penitence de leurs patron qui les emplois.
Dans ce cas il faut être son propre patron ou son propre assureur.
Pour manager la vigueur il faut latteindre .
Le facteur salaire y est pour beaucoup quand même, travaillez ds de bonnes conditions et être rémunéré à coups de triques dissuade d aller ailleurs pour vivre décemment.
Je ne suis pas totalement d'accord et je suis plutôt de l'avis de la philosophe Julia de Funes sur le sujet du bonheur au travail. Ce ne sont pas les conditions de travail qui nous rendent heureux mais notre productivité au travail qui nous donne satisfaction. En gros ce n'est pas un baby-foot ou un jeu de fléchettes qui rendra les employés heureux au bureau, c'est sympa mais le but principal n'est pas atteint, celui de la tâche bien faite. Parfois c'est même un sentiment contraire au bonheur qui peut s'en dégager avec ce genre de jeux puisqu'on avance pas dans son propre travail, avec un sentiment d'avoir délaissé son objectif. Faire bien son job et dans les temps est beaucoup plus source de bonheur et fierté au travail et même après sa journée quand on rentre chez soi, on s'est senti utile et d'avoir optimisé son temps... Donc le plus dur pour les managers est de faire en sorte que les employés soient productifs pour les employés eux mêmes en premier plutôt que pour les intérêts de l'entreprise.
je suis exactement d'accord avec toi !
Je pense que ça ne s'oppose par forcément, tout dépend de ce qu'on entend par "conditions de travail". En effet, si c'est la présence d'un babyfoot ou d'un happiness manager dans l'entreprise... c'est ne rien comprendre à la question de la motivation et de la satisfaction au travail. Mais donner les moyens nécessaires en terme matériel, humain et surtout de temps, à une personne pour qu'elle réalise correctement et avec satisfaction son travail, c'est à mon avis ça de bonnes conditions de travail. J'ai quitté mon précédent emploi justement car mes conditions de travail s'était énormément dégradées, alors même que j'aimais beaucoup ce travail, mais que je n'avais plus les moyens de bien le faire...ce qui a fini par de vider de tout sens. Et l'installation d'un jeux de fléchettes dans la salle de pause n'y aurait rien changé ;-)
@@myosotis1213 je connais pas mal de salariés dont la vision du bonheur au travail est d'en faire le moins possible avec le meilleur salaire possible, et il me semble que ce cas de figure pourtant très répandu, n'est pas abordé dans l'exposé (très theorique)
Parfaite démonstration : est que tous nos dirigeants d'entreprises ont eu cette formation ou information ?????
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J’aime la phylosophie. Elle nous permet juste de savoir sa place dans son existance.
Et vous êtes fâchée avec les dictionnaires on dirait ...
@@verslibs1322 et vous avec les lgbt on dirait ... ca pourrait etre un homme
@@harounlee208 Faché avec les lgbt ? pourquoi ?
@@verslibs1322 vous écrivez " fâchée " alors que keitty n'est pas une femme, c'est un trans
@@harounlee208 comment vous le savez ?
C'est bien le gagné "gain " , sans lui "" il n'est rien , il est son seul bien .
Marcher ou courir travailler ou pas argent en couple ou pas philosopher ou pas marchons dans l’amour la Joie et la Paix
c'est la peur qui motive les salariés
La peur de manquer d'argent, la peur de perdre son travail et donc de souffrir du manque ressentit par le chômeur
@@ipeausimon8192 c bien ça
@@hasnaebecom9216 oui, et il suffit de prendre le métro à 6h00 du mat pour croiser un tas de gens qui manifestement n'ont pas trouvé le bonheur au boulot...
il est genial
Très beau commentaire philosophique. Mais Platon et Spinoza s’y retrouveraient ils?Ce n’est pas sûr.
Profondeur et légèreté, c est un régal. Merci
Ce qui motive les salariés est le salaire. Ca prend pas 10 minutes. Je serais plus intéressé par la question : Qu'est-ce qui motive les non-salariés (bénévoles, agriculteurs, artisans, professions libérales, entrepreneurs, etc.) ?
WWWHHHAAAOOOUUUUUU
Pourquoi.... Pourquoi à l'unaibode Paris lorsque j'étais encore célibataire et sans enfants je n'ai pas accepté l'offre d'emploi aux hug ? 😂😂😂😭😭😭
Que'est que motive les salariés.. la faim.
Et cela me me fait rire, car ce sont ces mêmes arguments qui nous ont fait passer de l'esclavage au salariat...
Je ne suis pas d'accord avec lui je connais beaucoup de gens qui travail par intéligence et non pas par desir !!! Moi par exemple mon bonheur c'est d'être en plein forme sans travail à faire, être 100% free pas d'horaire à respecter pas d'obligation. Mais je travail car je sais que si je ne le fait pas je vais me rouiner après un certain temps. Les gens ne sont pas tous pareil, certain sont motivés par le desir mais d'autre par l'inteligence. Voici un autre exemple les fêtards du samedi soir sont motivés par leur désir. Mais il y a d'autre gens qui préfère ne pas boire et rester sobre le weekend car leur intéligence leur montre le bon chemin.
Reprenons cette idée "je travail car je sais que je vais être ruiner après un certain temps". Voici le désir qui vous anime, le manque est celui de l'argent, voilà pourquoi vous courrez selon cette conférence
@@Penkhas c'est pas un desir c'est une nécessité motivé par une vision du future crée par l'intéligence. Grave à l'intéligence on peut avoir des visions probables du future. Par contre le désir donne des fausses visions du future.
Exemple je vois un menu fast food: mon désir me montre un future proche plein de bonheur avec le ventre plein. mais mon intéligence me montre un future plein de malheur à cause des maladies lié au fast food......
Quand mon désir est plus fort je mange du fastfood. Mais quand mon intéligence prend le relais je fais une salade maison.
C'est tout à fait ce qu'il dit dans la conférence, mon intelligence me sert à discerner quels sont les bons moyens et quels sont les meilleures actions mais pour autant mon désir, c'est a dire la finalité (au sens de but) de mes actions, n'est pas due à ma raison ou à mon intelligence mais bien à mon envie.
Le salaire
Oui sa sais nete ľ agents, met seus qui serves les roid.?
Tout ça pour dire que tout le monde cherche le bonheur, à t’on vraiment besoin de faire référence à des philosophes du passé pour le savoir ?
Encore un qui n'a jamais eu à travailler ...
c'est qui vient tout de suite à l'esprit
Il a trouvé un meilleur système. Il fait payer ceux qui viennent écouter la longue liste de ses petits problèmes personnels. Il aurait besoin d'un bon psychiatre.
Trivial mon pote. Parler pour rien sur du vide…
mon pote pas tres important que tu n’ais pas les capacités à comprendre des concepts philosophiques. Faut voir les 10 vidéos avant celle là, qui est la fin de la conférence . Certaines cumulent 3 millions de vues tellement le cours est bien . Mais ton avis est super important tkt
T'es un p'tit génie toi😊