Moi le coeur de ma vie c'est ma famille. J'imagine que c'est la même chose pour tous qu'importe la langue que l'on parle. Au Québec la langue est entachée de politique identitaire névrotique... une sorte d'idolâtrie angoissante, grandiloquente et survivaliste, un syndrome du mouton noir menacé qui est lourd à porter. Ça me fatigue... l'Américain dans le fin fond de son Iowa possède la paix... il ne se fait jamais rincer l'âme quant à la langue qu'il parle. Il parle et c'est tout...tout simplement... je l'envie...
La langue est la clé de la culture. Sans la langue, on perd l'histoire, la littérature, la musique, la comédie, bref ce qui fait l'âme de notre peuple. Et une partie de ce qui fait notre peuple est notre survivance. 400 ans sur le continent contre l'adversité, en premier temps en l'absence de soutient adéquat d'un roi indifférent, puis sous un régime étranger qui n'aspire que de nous effacer. Même si ce n'est pas à coup de fusil, le combat continue jusqu'au jour où nous pourrons être maîtres chez nous. L'Américain d'Iowa, lui, il l'a déjà eu son indépendance, c'est pour ça qu'il a la paix.
@@PsychicDave Le type en Iowa est fier d’appartenir à la République des États-Unis d’Amérique. On compte 1 drapeau de l’Iowa pour 100 drapeaux de la République là-bas. La séparation d’avec le Canada ne changera rien au fait que la langue sera toujours une préoccupation-obsession jusqu’à ce que nous disparaissions puisque nous ne faisons plus d’enfant. Nous sommes peu et la politique ne peut rien devant le nombre et la majorité. Seules des lois restrictives voire liberticides fonctionneront pour un temps seulement mais elles disparaitront elles aussi.
J'adore la réécouter 😊
Encore meilleure, dans le contexte actuel.
Merci Michel ,j'adore cette chanson ...
Excellent
Une de ses meilleures ....
Très bon !
C'est la langue mon coeur. Qu'elle jamais elle ne meurt
Cette chanson est pour toi, ma belle, ma merveilleuse Rachael Thomas.
C'est bien
Moi le coeur de ma vie c'est ma famille. J'imagine que c'est la même chose pour tous qu'importe la langue que l'on parle. Au Québec la langue est entachée de politique identitaire névrotique... une sorte d'idolâtrie angoissante, grandiloquente et survivaliste, un syndrome du mouton noir menacé qui est lourd à porter. Ça me fatigue... l'Américain dans le fin fond de son Iowa possède la paix... il ne se fait jamais rincer l'âme quant à la langue qu'il parle. Il parle et c'est tout...tout simplement... je l'envie...
La langue est la clé de la culture. Sans la langue, on perd l'histoire, la littérature, la musique, la comédie, bref ce qui fait l'âme de notre peuple. Et une partie de ce qui fait notre peuple est notre survivance. 400 ans sur le continent contre l'adversité, en premier temps en l'absence de soutient adéquat d'un roi indifférent, puis sous un régime étranger qui n'aspire que de nous effacer. Même si ce n'est pas à coup de fusil, le combat continue jusqu'au jour où nous pourrons être maîtres chez nous. L'Américain d'Iowa, lui, il l'a déjà eu son indépendance, c'est pour ça qu'il a la paix.
@@PsychicDave Le type en Iowa est fier d’appartenir à la République des États-Unis d’Amérique. On compte 1 drapeau de l’Iowa pour 100 drapeaux de la République là-bas. La séparation d’avec le Canada ne changera rien au fait que la langue sera toujours une préoccupation-obsession jusqu’à ce que nous disparaissions puisque nous ne faisons plus d’enfant. Nous sommes peu et la politique ne peut rien devant le nombre et la majorité. Seules des lois restrictives voire liberticides fonctionneront pour un temps seulement mais elles disparaitront elles aussi.