Penser le présent | Jacques Rancière

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  • čas přidán 30. 03. 2021
  • Dialogue avec Christian Joschke et Alain Berland autour des « Noms du Présent ».
    Jacques Rancière, né à Alger en 1940, a enseigné la philosophie à l’Université Paris VIII de 1968 à 2000. Ses deux principaux domaines de recherche sont l’émancipation intellectuelle et sociale et les révolutions modernes de l’art, de la fiction littéraire et de la pensée esthétique. Il a consacré à ces domaines et à leurs interrelations une quarantaine d’ouvrages, dont La Nuit des prolétaires (1981), Le Maître ignorant (1987), Le Partage du sensible (2000), La Haine de la démocratie (2004) Le Spectateur émancipé (2008), Aisthesis. Scènes du régime esthétique de l’art (2011) et Les Bords de la Fiction (2017). Ses derniers travaux se sont centrés sur les formes de temporalité à l’œuvre dans la politique et dans l’art aujourd’hui. Son dernier ouvrage Les Mots et les torts (en collaboration avec Javier Bassas) vient de sortir aux éditions de La Fabrique .
    C’est en travaillant sur les écrivains prolétaires qu’il développe sa réflexion sur l'égalité des citoyens devant le pouvoir et le savoir, mettant ainsi en question, voire en crise, les positions dominantes du penseur et de l’intellectuel qui disent la vérité du monde, que ce soit dans le domaine du politique ou dans celui de l’esthétique.
    Penser le Présent est réalisé avec le soutien de Société Générale.
    mercredi 24 mars 2021
    Amphithéâtre d'Honneur

Komentáře • 4

  • @wmuy
    @wmuy Před 2 lety +2

    Les présentations et les questions sont d'une lourdeur...

  • @JeanHuguesRobert
    @JeanHuguesRobert Před 6 měsíci

    trop sympa :$ merci !!! ( lol g pirat lordi de mon padre sous son nez no soucy )

  • @Sams.Videos
    @Sams.Videos Před 3 lety +17

    Skip, skip, skip, skip, skip à 8:21
    Pfffffff... ces intros qui ne servent à rien et qui durent toutes une éternité... pénible...
    Ah non, franchement, même dans les livres, les intros qui méandrent à l'infini et qui n'apportent d'habitude rien au contenu principal, je les découpe et je les brûle.

    • @ifradem
      @ifradem Před 3 lety +8

      Ça ne sert pas à rien, ça créé des sas entre le dehors et la discussion, c'est aussi une manière, à l'oral, de bien accueillir. En plus la c'était honnete. Libre a chacun de zapper.