L'élimination du colonel Kokolo s'inscrit diamétralement dans le plan machiavélique de la CIA et de l'occident en général pour faire monter au pouvoir leur pion mobutu préparé depuis la table ronde de janvier et avril 1960. Comme on le dit : éliminer pour mieux régner. Le pauvre diplomate ghanéen n'est que le bouc émissaire d'un plan de mobutu, la CIA et l'occident étaient des complices pour déstabiliser le Congo en vue de son pillage par la suite.
Kokolo a été tué par un soldat tunisien à l'ambassade de Tunisie et non du Ghana. Habib Bourguiba soutenait Lumumba. Kokolo et ses éléments s'étaient introduits par effraction dans la cour de l'ambassade de Tunisie. La réplique lui a été fatal.
Le 21 Novembre 1960, le Lt-Col Kokolo reçut l’ordre du chef d’état-major, le col Joseph Mobutu, de dépêcher un détachement militaire à l’ambassade du Ghana à Léopoldville afin de procéder à l’expulsion de Nathaniel Welbeck, le chargé d’Affaires ad intérim du Ghana, accusé d’ingérence dans les affaires intérieures du Congo, contrairement au respect des usages et règles diplomatiques entre les Etas, et pour avoir manifester sa tendance pro-Lumumba. En fait, le diplomate Ghanéen était devenu " un politicien congolais de nationalité Ghanéenne ".
L'élimination du colonel Kokolo s'inscrit diamétralement dans le plan machiavélique de la CIA et de l'occident en général pour faire monter au pouvoir leur pion mobutu préparé depuis la table ronde de janvier et avril 1960. Comme on le dit : éliminer pour mieux régner. Le pauvre diplomate ghanéen n'est que le bouc émissaire d'un plan de mobutu, la CIA et l'occident étaient des complices pour déstabiliser le Congo en vue de son pillage par la suite.
Rappelons que c’est la dispute sur l’officialisation de la délégation congolaise envoyée à l’ONU qui fut à l’origine de ce conflit. La délégation du Président Kasa-Vubu fut conduite par le Commissaire général aux Affaires étrangères, Justin Marie Bomboko, tandis que la délégation du premier Ministre Lumumba fut conduite par Thomas Kanza. Avant que le Lt-Col Kokolo ne se rende à l’ambassade du Ghana, le commissaire général de l’intérieur, José Nussbaumer avait reçu l’ordre de mettre en exécution la décision du Président Kas-Vubu déclarant le chargé d’Affaires a.i Ghanéen persona non grata. En réalité, il revenait au commissaire des Affaires étrangères, Justin Marie Bomboko d’exécuter ce décret. Ce dernier étant en ce moment à New-York, il revenait à son Adjoint, Ernest Kashemwa de l’exécuter. Et non au commissaire de l’intérieur !
L'élimination du colonel Kokolo s'inscrit diamétralement dans le plan machiavélique de la CIA et de l'occident en général pour faire monter au pouvoir leur pion mobutu préparé depuis la table ronde de janvier et avril 1960. Comme on le dit : éliminer pour mieux régner. Le pauvre diplomate ghanéen n'est que le bouc émissaire d'un plan de mobutu, la CIA et l'occident étaient des complices pour déstabiliser le Congo en vue de son pillage par la suite.
L'élimination du colonel Kokolo s'inscrit diamétralement dans le plan machiavélique de la CIA et de l'occident en général pour faire monter au pouvoir leur pion mobutu préparé depuis la table ronde de janvier et avril 1960. Comme on le dit : éliminer pour mieux régner. Le pauvre diplomate ghanéen n'est que le bouc émissaire d'un plan de mobutu, la CIA et l'occident étaient des complices pour déstabiliser le Congo en vue de son pillage par la suite.@@jeanpaulGODArmyArmeedEleternel L'élimination du colonel Kokolo s'inscrit diamétralement dans le plan machiavélique de la CIA et de l'occident en général pour faire monter au pouvoir leur pion mobutu préparé depuis la table ronde de janvier et avril 1960. Comme on le dit : éliminer pour mieux régner. Le pauvre diplomate ghanéen n'est que le bouc émissaire d'un plan de mobutu, la CIA et l'occident étaient des complices pour déstabiliser le Congo en vue de son pillage par la suite.
Bel souvenir de
Un bel orateur....
L'élimination du colonel Kokolo s'inscrit diamétralement dans le plan machiavélique de la CIA et de l'occident en général pour faire monter au pouvoir leur pion mobutu préparé depuis la table ronde de janvier et avril 1960. Comme on le dit : éliminer pour mieux régner. Le pauvre diplomate ghanéen n'est que le bouc émissaire d'un plan de mobutu, la CIA et l'occident étaient des complices pour déstabiliser le Congo en vue de son pillage par la suite.
Il était aussi journaliste de formation. Un vrai courageux et debrouillar cet homme.
Kokolo a été tué par un soldat tunisien à l'ambassade de Tunisie et non du Ghana. Habib Bourguiba soutenait Lumumba. Kokolo et ses éléments s'étaient introduits par effraction dans la cour de l'ambassade de Tunisie. La réplique lui a été fatal.
Le 21 Novembre 1960, le Lt-Col Kokolo reçut l’ordre du chef d’état-major, le col Joseph Mobutu, de dépêcher un détachement militaire à l’ambassade du Ghana à Léopoldville afin de procéder à l’expulsion de Nathaniel Welbeck, le chargé d’Affaires ad intérim du Ghana, accusé d’ingérence dans les affaires intérieures du Congo, contrairement au respect des usages et règles diplomatiques entre les Etas, et pour avoir manifester sa tendance pro-Lumumba. En fait, le diplomate Ghanéen était devenu " un politicien congolais de nationalité Ghanéenne ".
C'est à l'ambassade du GHANA et non de Tunisîe
NÉ POUR COMMANDER !
LE TEMPÉRAMENT DE CHEF !
L'élimination du colonel Kokolo s'inscrit diamétralement dans le plan machiavélique de la CIA et de l'occident en général pour faire monter au pouvoir leur pion mobutu préparé depuis la table ronde de janvier et avril 1960. Comme on le dit : éliminer pour mieux régner. Le pauvre diplomate ghanéen n'est que le bouc émissaire d'un plan de mobutu, la CIA et l'occident étaient des complices pour déstabiliser le Congo en vue de son pillage par la suite.
Ah bon! En tuant celui-là (Patrice LUMUMBA) qui l’a fait? Kô né pour commander... Espèce d’assassin et d’ingrat!
Voilà au moins lolaka autoritaire
Rappelons que c’est la dispute sur l’officialisation de la délégation congolaise envoyée à l’ONU qui fut à l’origine de ce conflit. La délégation du Président Kasa-Vubu fut conduite par le Commissaire général aux Affaires étrangères, Justin Marie Bomboko, tandis que la délégation du premier Ministre Lumumba fut conduite par Thomas Kanza.
Avant que le Lt-Col Kokolo ne se rende à l’ambassade du Ghana, le commissaire général de l’intérieur, José Nussbaumer avait reçu l’ordre de mettre en exécution la décision du Président Kas-Vubu déclarant le chargé d’Affaires a.i Ghanéen persona non grata. En réalité, il revenait au commissaire des Affaires étrangères, Justin Marie Bomboko d’exécuter ce décret. Ce dernier étant en ce moment à New-York, il revenait à son Adjoint, Ernest Kashemwa de l’exécuter. Et non au commissaire de l’intérieur !
L'élimination du colonel Kokolo s'inscrit diamétralement dans le plan machiavélique de la CIA et de l'occident en général pour faire monter au pouvoir leur pion mobutu préparé depuis la table ronde de janvier et avril 1960. Comme on le dit : éliminer pour mieux régner. Le pauvre diplomate ghanéen n'est que le bouc émissaire d'un plan de mobutu, la CIA et l'occident étaient des complices pour déstabiliser le Congo en vue de son pillage par la suite.
L'élimination du colonel Kokolo s'inscrit diamétralement dans le plan machiavélique de la CIA et de l'occident en général pour faire monter au pouvoir leur pion mobutu préparé depuis la table ronde de janvier et avril 1960. Comme on le dit : éliminer pour mieux régner. Le pauvre diplomate ghanéen n'est que le bouc émissaire d'un plan de mobutu, la CIA et l'occident étaient des complices pour déstabiliser le Congo en vue de son pillage par la suite.@@jeanpaulGODArmyArmeedEleternel L'élimination du colonel Kokolo s'inscrit diamétralement dans le plan machiavélique de la CIA et de l'occident en général pour faire monter au pouvoir leur pion mobutu préparé depuis la table ronde de janvier et avril 1960. Comme on le dit : éliminer pour mieux régner. Le pauvre diplomate ghanéen n'est que le bouc émissaire d'un plan de mobutu, la CIA et l'occident étaient des complices pour déstabiliser le Congo en vue de son pillage par la suite.