Elisabeth Jacquet de la Guerre cantate le passage de la mer Rouge

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  • čas přidán 21. 08. 2024
  • Elisabeth JACQUET DE LA GUERRE (1665-1729)
    Le Passage de la Mer Rouge (1er livre) - Sonate en trio III en ré majeur
    Le Tendre Amour - Luanda Siqueira, soprano - Adriana Alcaide, violin - Kathryn Elkin, oboe - Sébastien Perrin, traverso - Sofie Vanden Eynde, théorbe - Maria Sanchez, bass violin - Esteban Mazer, harpsichord
    Le Passage de la Mer Rouge (Elisabeth Jacquet de la Guerre)
    1 Ouverture
    00:00:45
    2 Récitatif : Israël dont le Ciel
    00:01:01
    3 Air gravement : Ingrats, que vos plaintes - Ritournelle
    00:03:28
    4 Récitatif : Moyse donne l’ordre
    00:00:35
    5 Mouvement Marqué : Ciel, ciel quel prodige !
    00:01:10
    6 Air : Le trouble et l’horreur
    00:02:04
    7 Bruit de Guerre
    00:00:27
    8 Récitatif : La Mer, pour engloutir son armée
    00:00:30
    9 Air Gay : Peuples, chantez
    00:02:53
    Sonate en trio III
    10 Grave
    11 Vivace e presto, Adagio
    12 Allegro
    13 Adagio
    14 Allegro
    15 Aria affettuoso
    16 Allegro

Komentáře • 6

  • @renesrebrnik673
    @renesrebrnik673 Před 9 lety +2

    Ciel!!!!une femme compositeur au siecle du roi Louis XV.Quelle jouissance,quel plaisir a l'ecoute.Chante en vieux français avec une diction époustouflante .Dommage que l'on ne diffuse pas le NOM de l'interprette.

    • @pilouetmissiou
      @pilouetmissiou Před 8 lety

      Louis XIV son grand admirateur et protecteur.

  • @juliecartedutendre
    @juliecartedutendre  Před 9 lety +1

    à l'attention de René Srebrnik, c'est bien écrit : Luanda Siqueira, soprano, qui a fait le CNR rue de Madrid et qui est brésilienne

  • @michaelstutzman6285
    @michaelstutzman6285 Před 8 lety +1

    Beautiful! I wish the text was available online.

  • @GuntherDebymusique
    @GuntherDebymusique Před 8 lety +2

    Élisabeth Jacquet de La Guerre
    ou
    Élisabeth-Claude Jacquet de La Guerre ,
    Née,17 mars 1665, paroisse Saint-Louis-en-l'Île de Paris,-
    Décédée le 27 juin 1729, Paris) ,
    Compositrice et claveciniste francaise
    Biographie
    Fille d'un facteur de clavecins et enfant prodige, Élisabeth Jacquet joue du clavecin à cinq ans devant Louis XIV, inaugurant sa carrière de virtuose. Elle épouse l'organiste Marin de La Guerre (1658-1704) en 1684. Elle est une des rares femmes compositeurs de cette époque; son œuvre comprend :
    suites pour clavecin (deux recueils : 1687 et 1707) ;
    la tragédie lyrique Céphale et Procris (1694) ;
    des trios (1695) ;
    des sonates pour violon et clavecin (1707) ;
    des cantates sacrées (1708 et 1711) et profanes (Le sommeil d'Ulisse 1715).
    Avec ceux de Chambonnières, Lebègue et d'Anglebert, le recueil de 1687 fait partie des seuls livres de pièces de clavecin imprimés en France au xviie siècle; les autres nous sont parvenus dans des manuscrits.
    « On peut dire que jamais personne de son sexe n'a eu d'aussi grands talents qu'elle pour la composition de la musique et pour la manière admirable dont elle l’exécutait sur le Clavecin et sur l'Orgue »
    - Évrard Titon du Tillet
    Sa contribution au monde de la musique
    Il n'était pas méconnu, à l'époque, qu'une jeune femme pratiquât un instrument de musique en tant qu'amateur du fait de son éducation. Ce qui était plus rare, par contre, était qu'une femme pût se bâtir une carrière indépendante. Outre son éducation au foyer, Jacquet épousa également Marin de La Guerre, issu également d'un milieu musical. C'est ainsi qu'elle put, comme le mentionne Catherine Cessac, se forger une « double identité »en utilisant le renom de deux familles musicales afin de se tisser des liens dans la communauté musicale. De plus, cette musicienne est considérée comme une des premières femmes en France à avoir composé un opéra-ballet et est reconnue pour sa musique pour le clavecin.
    Ses œuvres
    En plus d'enseigner et de jouer en concert, cette musicienne composa plusieurs œuvres. Elle ne composa qu'une seule tragédie lyrique, Céphale et Procris, qui fut interprétée à l'Académie Royale de Musique. Malheureusement, l'accueil fut moins que chaleureux. Certains musicologues diront que la raison n'était pas tant la qualité de la musique que son sexe. Par la suite, il est important de noter qu'elle travailla parfois de pair avec Sébastien de Brossard. Par la suite, elle publia six sonates pour violon et pour le clavecin en 1707, ainsi que ses Pièces de clavecin. C'est à la même époque qu'elle publia également deux collections de cantates françaises tirées de textes d'Antoine Houdar de La Motte. De ces cantates vint l'histoire de Judith. Sébastien de Brossard en fit également sa propre version, et, comme l'explique Cabrini, le compositeur suit de près la narration en mettant l'accent sur les mouvements et l'action, plutôt que sur les personnages et leur développement au fil de la pièce. Jacquet de La Guerre, pour sa part, toujours d'après Cabrini, préféra un accompagnement instrumental et symphonique afin de laisser de la place mélodique à Judith, quoique le texte minimise son rôle. Un fait intéressant de la vie musicale de cette artiste est qu'elle dédia toujours ses œuvres au roi Louis XIV. Toutes sauf ses trois cantates françaises qu'elle dédia à Maximilien II Emmanuel de Bavière.
    Notes et références
    fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lisabeth_Jacquet_de_La_Guerre

  • @paulacorrederacastellano331

    Ta guapita