Hannah Arendt - The end of work and the misfortune of the modern man, Olivier Dekens
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- čas přidán 27. 08. 2024
- Presentation : Hannah Arendt presents, at the very beginning of the Condition of Modern Man, the end of work as a curse. Not in that work would be endowed with particular virtues, but in that its disappearance, in an era that has bet everything on its value, leaves man helpless. It will be a question of understanding this confusion as part of a broader gesture, the one by which Arendt makes philosophy itself a means of analysing our present, or even an ontology of current events.
Olivier Dekens is a professor of philosophy in literary preparatory classes at the Guist'hau high school in Nantes. He devotes most of his work to the contemporary French philosopher.
Conférence donnée lors des Rencontres de Sophie les 24-26 mars 2017 philosophia.fr/...
Le vrai problème c'est que la plupart des gens s'ils ne sont pas absorbés par une activité tombent dans toutes sortes de dérives comme l'alcool, les drogues, la dépression et autres mauvaises habitudes autodestructrices ... ils sont incapables de rester tranquilles dans le moment présent et d'apprécier le fait d'être vivant
Est que les gens sont formatés a se sentir vivant ? Non dès la naissance, ils sont plongés dans le monde du travail, en vivant ce que vivent leurs parents, et ensuite pour eux dès l'école. Se sentir vivant parmi les morts fait partie d'une minorité de personnes, personnes déterminées par des déterminants qui ne sont pas les mêmes que ceux du plus grand nombre. Sortir de ces déterminants culturaux et comprendrendre les déterminants ceux des autres, permet de comprendre aussi pourquoi les autres se détruisent plutôt que jouir de se sentir vivant, mais si en plus, les gens qui se prétendent se croire vivant, trouvent que le problème c'est l'autre, qui ne fait pas ce qu'il faudrait, ça ne peut renforcer les barrières entre les gens aliénés et ceux en phase d'émancipation.
Merci beaucoup Olivier. Sans que ce soit nécessaire d'être d'accord avec tout ce que vous dites votre conférence est excellente. Intéressante du début à la fin er avec des rapprochements et des articulations qui aident à mieux comprendre, connaître et penser. Merci encore.
Toujours pour vous remercier .
C'était super !
Hannah Arendt présente!
Super contenu . Merci.
Slobodan Despot en parle beaucoup!
Magnifique. Énormément plus qu’une vulgarisation « vulgaire »...
Je craignais de me lancer dans une vidéo de 50 minutes, mais au final j'ai cru n'avoir regardé que 20 minutes ! Captivant
Bravo
Merci
très intéressant
le problème n'est pas le travail... mais la répartition du travail et sa juste rétribution !
Linoventura Bien résumè
Exact.
Si le travail est le problème....
Le travail dans notre modernité est toxique
Moi, en tant que parfait Animal Laborans, quand je rentre dans mon minable appart, je suis trop crever pour oeuvrer à quoi que ce soit. Je suis juste bon à mater des vidéos sur CZcams en bouffant des plats cuisinés. Je ne sais pas cuisiner, je ne suis pas bricoleur, je ne sais pas jouer d'un instrument de musique, je n'aime pas lire, avec ça pour oeuvrer, même avec la meilleure volonté du monde, ce n'est pas évident.
alors ton avenir restera celui d'un esclave Renonce à cette technologie aliénante , travaille juste de quoi survivre , fais ton potager , jette ta télé et lis , lis tout ce que tu peux et tu te sauvera de cette merde , bon courage amigo
en effet...
no pain no gain!ton problème est simple et réversible!moi je suis stoicien et je jouiiii
@@simondor4450 exactement,le stoicisme est ma philo de vie,vive l ataraxie!!
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La fin de l'emploi oui, la fin du travail non normalement.
Et si le salaire minimum universel était une solution? peut être que le concept est trop neuf encore.
cela reste un esclavage collectif
Il faudrait peut être un monde plus sensible aux valeurs essentielles, la survie, l agriculture non massive, l'artisanat, l'art, tout ce dont nous avons besoin pour vivre.
Cme l'explique bien le narrateur cela demande une toute autre façon d être car il nous faut penser le présent. Et nous delivrer de nos egos, nos statuts référant par le travail, c'est échelle sociale dont nous sommes attentifs par le regard des autres. Nous dévêtir de tout cela. Cela serait p être un monde plus juste ou la famine serait enfin aboli puisque la course des gros lobbys, import export ne seraient plus. Le savoir de chacun. Une utopie, je ne sais mais il est certain que le monde doit changer.
C'est un énorme piège qui nous rendrait esclave !
@@abyssea0 esclave de quoi?
@@simondor4450c'est mieux qu'une aliénation individuelle