Les hommes boudent l'enseignement primaire

Alors que les écoles primaires du Québec sont confrontées à une pénurie de personnel enseignant, les hommes continuent à bouder les programmes de formation en enseignement primaire des universités. Au Québec, ils représentent à peine 12 % des enseignants. Et ils sont encore moins nombreux sur les bancs d'école à choisir ce métier. Le reportage de Jean-Philippe Robillard. bit.ly/2Ph12t3

[@romatesse]

J'ai fait une formation pour les 3-6 j'étais le seul homme à l'international.Ici en Afrique nous sommes nombreux

[@jonathanbienvenue2195]

Je suis un homme encore aux études et j'aspire vouloir enseigner au primaire comme orthopédagogue !

[@patrick8734]

Bon reportage; le professeur a raison de dire que d'avoir a la fois des professeurs homme et femme et avec des approches différente ne fait qu'apporte à l'enfan plus d'expérience et d'outils pour le futur. Un garçon a besoin d'une figure masculine dans son éducation, tout comme une fille une figure féminine!
Les garçons ont besoin de bouger et de pratiquer; rester assis en rangée pendant huit heure c'est pour ça qu'il faut nous droguer avec du ritalin! Wake up.

[@123telamon]

HAHA droguer ouais pendant un moment jme droguais au Ritalin moi aussi, jme suis tanné j'ai arrêté ça.

[@helioslegigantosaure6939]

Cool

[@Kevin-jc1fx]

Il y a une bonne raison pour laquelle on commence par l'école maternelle et non l'école paternelle.

[@tontioo8747]

C'est mal vu pour un homme d'être avec des enfants.. Désolé 2020 c'est comme ça

[@romatesse]

Moi j'aime leur compagnie

[@JoueurDeLOL]

c'est pas mal vu ques tu dis

[@twitteruser5331]

Chaque individu fait des choix

[@ines.dalilathamazighth7522]

Je suis là engagez moi hhhhh je maîtrise le français

[@hmedchabour4343]

une pénurie de personnel enseignant, hhhhhhhhhhhhh il suffit de demander aux enseignants immigrants de nationalté Algerieene ,qui sans sans travail ,,et vous aller recevoir beaucoup de réponses ,,moi je suis sans travail portant en algerie j ai fait tous les paliers de l enseignent ,,jusqu'a l université ....le probleme réside dans la gestion de vos dirigeants éducatifs ...qui sou estiment les niveaux des algériens ou d autres ..tabarnaq