Conférence Véra Nikolski, écrivaine de "Féminicène", à l'école des Ponts ParisTech
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- čas přidán 21. 03. 2024
- Jeudi 21 Mars 2024, nous avons eu l'honneur de recevoir Véra Nikolski, normalienne, haute fonctionnaire et écrivaine de "Féminicène".
Lors de cette conférence, l'expérience de Monsieur Philippe à Matignon, la place des ingénieurs dans les processus décisionnels de nos démocraties ainsi que les enjeux environnementaux et internationaux auxquels nos démocraties sont confrontés, ont été abordés.
Nous souhaitons remercier chaleureusement l’école des Ponts pour cette opportunité, notamment Fabrice et Ali de l’équipe de captation et vidéos qui ont pris leur soirée pour nous aider à avoir de belles images, et bien sûr Véra Nikolski pour sa disponibilité et sa bienveillance.
00:00 : Présentation
![Qu'est-ce que le radium, je suis maman, prix Nobel, Bronia...: je vous réponds ![Marie Curie/S3-EP6]](http://i.ytimg.com/vi/emM7mgrwi6Q/mqdefault.jpg)
Faut appuyer très fort 😂
Merci pour votre finesse d’esprit
Comment on peut avoir un enfant tous les ans avec 18 mois de gestation ?
Merci pour l’honnêteté de citer le paradoxe Norvégien. (même si il n'est pas nommé).
Quel suspense ! Si ce n’est pas les luttes qui ont fait évolué la situation, alors c’est quoi ?…😮
La révolution industrielle !?… l’énergie à la portée des femmes ! Au niveau force physique, au niveau des tâches, l’évolution leur donne de la disponibilité ! La disponibilité de réclamer l’égalité ! La disponibilité de lutter pour l’égalité !? Ou bien cela va dans le sens de l’histoire ! Tout simplement ! Parce que le patriarcat est dû au fait que les femmes étaient prises par l’enfantement. ?!
Cela ne nous empêche pas de lutter ! Ne serait-ce que parce que c’est vital de lutter contre l’injustice !
Les conditions matérielles qui changent à cause des crises à venir vont évidemment affecter d’abord les femmes… bien sûr !
Les femmes n’avaient pas le choix d’enfanter. L’espèce s’éteint si on ne fais plus d’enfant. Donc rien à voir avec le patriarcat.
C’est la nature qu’il faut blâmer