Faut-il instaurer une aide active à mourir ? - Controverse - Nouvelle émission - Yves Thréard
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- čas přidán 13. 09. 2024
- Pour ce premier numéro de "Controverse," alors que l'Assemblée nationale s'apprête à entamer les discussions de la plus grande loi sociétale de ce quinquennat, le public répondra à la question "Faut-il instaurer une aide active à mourir ?", avec en face à face :
- Jonathan David, président de l'ADMD (Association pour le droit de mourir dans la dignité),
- Sara Piazza, psychologue clinicienne en réanimation et soins palliatifs à l'hôpital de Saint-Denis (93).
Sous la forme d'une confrontation empruntée aux exercices d'éloquence des universités anglaises, « Controverse » propose chaque mois un débat contradictoire qui oppose deux points de vue distincts porté par deux intervenants sur des sujets d'actualité, de société ou de géopolitique qui donnent lieu à une controverse et emportent des partisans et des détracteurs.
Yves Thréard, directeur adjoint de la rédaction et éditorialiste au Figaro, assurera la médiation de ces débats contradictoires et recevra deux invités défendant des positions opposées ou divergentes sur le sujet.
Les intervenants disposeront d'un temps limité et rigoureusement identique, sans interruption, pour développer leur thèse.
Avant que l'échange ne commence, le public - une centaine de personnes - donnera sa première opinion sur le sujet posé sous forme de question « pour » ou « contre » ou « oui » ou « non ». À l'issue de la confrontation, le même public votera à nouveau : aura-t-il changé d'avis sur le sujet ?
Une coproduction LCP-Assemblée nationale et Le Figaro TV et en partenariat avec Opinion Square.
Un regard aussi sévère n'est pas celui que j'attendrais jamais d'une psychologue à mon écoute. Bravo à Jonathan Denis, beaucoup plus à l'aise, briant par l'évidence de la cause que vous défendez, dans l'intérêt de tout français devenu trop fatigué après avoir beaucoup travaillé souvent, et donc bien mérité de choisir in fine, ou atteint d'une ou plusieurs mauvaises maladies, etc... Merci beaucoup à vous Mr Denis.
Cette psychologue qui dit que la dépendance fait penser à la déchéance pense t-elle à la déchéance du clergé qui dépend complètement de ses donneurs potentiels ? Et quel culot pardonnez moi, d'oser comparer un bébé rempli d'espoir même s'il porte des couches, avec une personne âgée qui a bien vécu, mais pour qui il n'y a aucun espoir selon elle personnellement, de retrouver un goût de vivre. Et si, madame, la dignité est bien une affaire de personne. Ce qui est digne pour vous peut ne pas l'être pour moi et vice versa. Vous n'osez pas regarder votre public, je vous comprends. Et non, tout le monde n'envisagera pas l'aide à mourir, même s'ils pourront l'envisager.
BEN, y a déjà la TÉLÉ ! Comme aide à mourir "active", l'encéphalogramme Plat.
pour moi ces faux débats ne servent à rien, chacun campe sur ses positions, l'une pro-vie pour une longévité maximale, peu importe la souffrance du patient (on n'en parle jamais.... sauf pour penser à sa place) l'autre pour la liberté de choisir sa façon de mourir, dans une république laique, on doit respecter les deux points de vue: le droit de demander une aide à mourir permettra aussi de ne pas en demander, on semble l'oublier!