Merci bcp. Ce serait intéressant que vous nous donniez succinctement votre petite liste de ces quelques points névralgiques de la pensée ainsi qu'une liste de ces concepts dits arachnéens. Bravo pour votre réussite et pour ces exposés passionnants.
@@eremeecoumene : je serais preneur aussi d'une telle comme d'autres sûrement ! Pour ma part, je m'étais fait une liste de 10 livres du canon philosophique que j'aime et que je voulais très bien connaître en me disant que je pourrais couvrir tous les sujets de dissertation avec ces 10 livres, mais votre organisation semble encore meilleure.
Merci pour cette vidéo, est-ce que vous pourriez suggérer quelques-uns de ces textes qui permettent de couvrir un grand nombre de sujets s'il vous plaît ?
Vous parler de votre déficit de connaissance mais vous étiez quand même en master de recherche 😅. Mais oui je suis d’accord avec vous, de toutes manières c’est impossible de vouloir tout relire d’un point de vue de la performance à un concours.
Oui, mais mon master était spécialisé autour de la Renaissance et je n'étais vraiment pas un grand connaisseur de l'histoire de la philosophie dans sa globalité ! Après évidemment, c'est plus difficile si on a jamais fait de philo de sa vie haha
Au fond, s'il n'y avait qu'un seul conseil à retenir c'est celui de la capacité à problematiser , vu que c'est ce qui commande toute la manière de travailler sur les textes. C'est l'exigence de problematisation qui permet de reguler le degré d'érudition à atteindre dans les références exploitées. Et donc la construction d'un problème est toujours consubstantielle dun degré de précision minimal dans l'usage de référence. Par contre cest plus ambigu pour les explications/commentaires, où là, la dimension "contrôle de connaissance " est susceptible d'être davantage discriminante, même si elle reste soumise à l'exigence première de problematisation
@@eremeecoumene En termes de bibliographie, pour la préparation du hors programme de l'agrégation, vous auriez des pistes qui permettraient à minima de faire du "bouchage de trou" pour affronter certains sujets ? Il y en a qui sont vraiment ardus dans leur transversalité. A l'époque des entraînements où je suivais la formation de la fac je n'ai pas réussi à dépasser 7-7,5 sur "le commencement" ou "l'harmonie". De tels sujets tombent souvent qui sont plutôt orientés culture générale avant d'être explicitement philosophiques ; et c’est assez desarconnant. J'ai lu pas mal de choses en suivant les conseils bibliographiques de olivier Tinland dans son guide. Ou ceux de "Méthodologie philosophique " de WFC de chez PUF. Mais je crains que ça ne suffise pas. La solution: augmenter encore la culture littéraire et générale par la lecture des grands classiques de littérature ? + éventuellement un bon bouquin généraliste de culture G du type de ceux utilisés par les étudiants de science po?
Merci beaucoup.
Les affinités et les goûts sont essentiels pour la connaissance ! On l’oublie souvent effectivement
Merci bcp. Ce serait intéressant que vous nous donniez succinctement votre petite liste de ces quelques points névralgiques de la pensée ainsi qu'une liste de ces concepts dits arachnéens. Bravo pour votre réussite et pour ces exposés passionnants.
Oui c'est une bonne idée !
@@eremeecoumene : je serais preneur aussi d'une telle comme d'autres sûrement ! Pour ma part, je m'étais fait une liste de 10 livres du canon philosophique que j'aime et que je voulais très bien connaître en me disant que je pourrais couvrir tous les sujets de dissertation avec ces 10 livres, mais votre organisation semble encore meilleure.
Merci pour cette vidéo, est-ce que vous pourriez suggérer quelques-uns de ces textes qui permettent de couvrir un grand nombre de sujets s'il vous plaît ?
Je vais bientôt faire une vidéo sur mes sources pour bosser !
Vous parler de votre déficit de connaissance mais vous étiez quand même en master de recherche 😅. Mais oui je suis d’accord avec vous, de toutes manières c’est impossible de vouloir tout relire d’un point de vue de la performance à un concours.
Oui, mais mon master était spécialisé autour de la Renaissance et je n'étais vraiment pas un grand connaisseur de l'histoire de la philosophie dans sa globalité ! Après évidemment, c'est plus difficile si on a jamais fait de philo de sa vie haha
Au fond, s'il n'y avait qu'un seul conseil à retenir c'est celui de la capacité à problematiser , vu que c'est ce qui commande toute la manière de travailler sur les textes. C'est l'exigence de problematisation qui permet de reguler le degré d'érudition à atteindre dans les références exploitées. Et donc la construction d'un problème est toujours consubstantielle dun degré de précision minimal dans l'usage de référence.
Par contre cest plus ambigu pour les explications/commentaires, où là, la dimension "contrôle de connaissance " est susceptible d'être davantage discriminante, même si elle reste soumise à l'exigence première de problematisation
Oui, je crois que vous résumez bien mon sentiment !
@@eremeecoumene En termes de bibliographie, pour la préparation du hors programme de l'agrégation, vous auriez des pistes qui permettraient à minima de faire du "bouchage de trou" pour affronter certains sujets ? Il y en a qui sont vraiment ardus dans leur transversalité. A l'époque des entraînements où je suivais la formation de la fac je n'ai pas réussi à dépasser 7-7,5 sur "le commencement" ou "l'harmonie". De tels sujets tombent souvent qui sont plutôt orientés culture générale avant d'être explicitement philosophiques ; et c’est assez desarconnant.
J'ai lu pas mal de choses en suivant les conseils bibliographiques de olivier Tinland dans son guide. Ou ceux de "Méthodologie philosophique " de WFC de chez PUF. Mais je crains que ça ne suffise pas. La solution: augmenter encore la culture littéraire et générale par la lecture des grands classiques de littérature ? + éventuellement un bon bouquin généraliste de culture G du type de ceux utilisés par les étudiants de science po?